Aux sigles utilisés nous ajoutions le glossaire des

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SIGLES USUELS
Des sigles abrègent certains signifiants qui désignent des agrégats de notions. Selon une certaine
logique phénoménologique et en vertu de l’inséparabilité quantique nous usons fréquemment
d’agrégats conceptuels.
DI, Dernière Instance (détermination-en-DI)
DU, Dualité unilatérale.
FP/RP, Forces productives et Rapports de production dont l’unité sous les RP constitue chez Marx la
causalité dite de la « dernière instance ».
I et T, Immanence et transcendance, les deux composants élémentaires les plus généraux, ou encore
les deux variables canoniquement conjuguées dans la philosophie et donc dans la matrice générique.
MQ, Mécanique quantique, nous reprenons pour faciliter l’orientation du lecteur cette ancienne
expression inadaptée mais utile, remplacée parfois par Théorie ou Physique quantique, ou encore
par « quantique », terme que nous utilisons aussi comme généralité indéterminée.
PMS, Principe de mathématique suffisante, l’un des deux principes de précaution ou de prévention
théorique, formule jumelle du PPS, elle implique le suspens de l’usage « suffisant » ou englobant de
la mathématique dans la quantique (et semi-englobant dans la philosophie), c’est le principe de la
limitation générique de l’Idéal mathématique dans ces disciplines.
PPS, Principe de philosophie suffisante, l’un des deux principes de précaution ou de prévention, il
résume le suspens partiel de l’usage « suffisant » de la philosophie comme doublet de la
transcendance, c’est un principe de limitation non pas « critique » mais générique ou nonphilosophique.
GLOSSAIRE DE LA QUANTIQUE GENERIQUE
Aux sigles utilisés nous ajoutions le glossaire des notions propres au traitement générique de la
Quantique. Il résume des notions théoriques nécessaires à la préparation de la Matrice et à la
conduite de l’expérience. Nous laissons donc de côte la terminologie la plus classique de la
philosophie et convoquons surtout celle de la quantique mais dans sa version générique.
L’entrelacement des notions est tel qu’il a fallu se résoudre à suivre l’ordre alphabétique et renoncer
à un glossaire raisonné. Même le dictionnaire d’une langue que l’on supposerait totalement
inconnue peut servir d’introduction et éviter des tâtonnements infinis. D’ailleurs beaucoup des
explications des concepts se font par recours à des synonymes présents dans le texte. Il s’agit de
fixer un minimum de stabilité et de reconnaissance possible dans un usage parfois fluant de ces
concepts formés d’agrégats qui sont des super positions. L’idéal, tout à fait contraire à nos habitudes
de lectures soit d’essais soit d’ouvrages techniques appartenant à un domaine déterminé, serait de
mémoriser un minimum ce vocabulaire à la manière d’une langue étrangère aux physiciens et aux
philosophes mais leur empruntant une partie de leur vocabulaire. La simple lecture de ce glossaire
montre à quel point nous nous éloignons sciemment de la Mécanique quantique dans l’usage de ses
concepts, dans une autre fonction ou un autre système dont les paramètres sont tous de nature
unilatérale. Elle devrait éviter des confusions ou des apparences liées a l’empiètement des concepts
scientifiques et des concepts génériques (ou philosophiques) et qui induiraient les spécialistes dans
une interprétation erronée du sens de cette entreprise.
Amplitude de futuralité ou de virtualité. Equivalent dans la sphère générique de l’amplitude de
probabilité, de la fonction d’onde ou vecteur d’état dans la MQ. Formule ou équation dont la forme
générale est celle de la Matrice et qui programme la transformation quantique en-dernière-instance
d’une Identité conceptuelle corpusculaire, loi de sa sous-détermination et de sa détection. C’est la
condition de-dernière-instance sous la forme d’un non-agir futural et virtuel qui définit l’amplitude
d’une pensée dans le processus d’invention.
Clonalité. Ecriture générique ou particulaire d’un concept obtenue à la suite d’une expérimentation
de pensée faite en Matrice. La clonalité fait complémentarité unilatérale avec la virtualité ou la
futuralité. Quoique actuelle ou réalisée à la différence de l’onde immanente de virtualité, elle
n’existe comme écriture qu’à l’état de clone ou de noème, détectable sous des conditions dedernière-instance qui sont virtuelles. C’est le mode de présence de l’Identité conceptuelle en tant
que particule configurée par l’onde. La proportion des cas réalises ou réellement détectés aux cas
possibles tels que programmes par l’onde de virtualité avec ses variables et son nombre imaginaire
est le type générique de « probabilité » ou le hasard radical et n’est pas une question de quantité
mais de quantum générique.
Clone. Forme ondulatoire mais noématique de la particule comme transcendance tombée enimmanence. Identité-sans-unité en tant qu’appréhendée en-immanence dans sa forme achevée de
particule, front d’onde compris. Se dit en particulaire de la forme-sujet ou ego particulaire sous le
nom de « sujet-Etranger ».
Complémentarité unilatérale. Rapport effectif ou concret des diverses dualités de la SG issues de la
dualité primitive onde/corpuscule. Son essence est la dualité unilatérale et non la dialectique ou
l’exclusion selon Bohr. Mais nous conservons le terme de complémentarité difficilement expugnable.
Il s’agit plutôt d’une sup-plémentarité et d’une sous- plémentarité, la particule étant comme
corpuscule ajoutée à l’onde et à son immanence radicale (supplémentarité) qui la sous-détermine
(sous-plémentarité).
Configuration, effet particulaire ou noématique du non-agir ondulatoire sur la particule, lorsque
l’ondulation s’achevé comme front. Contenu phénoménal, entre autres interprétations de la dualité
onde-corpuscule, de l’ « onde-pilote » ou guide (de Broglie) de la particule.
Dé-numérisation et de-conceptualisation. Procède de réduction des aspects numériques de
l’engobant mathématique (PMS) de la MQ et des aspects suffisants de l’englobant philosophique
(PPS). La quantification générique de la philosophie est un science-sans-nombres ou sans-calcul et
sans-transcendantal. Opération de simplification des doublets (PPS) et de réduction de la sécularité
en général.
En-personne. Caractère phénoménal de l’immanence radicale ou de l’Un, son pouvoir de se montrer
comme uni-latérale ou uni-faciale, unique face-(de)-l’Un ou Un-en-personne. L’En-personne se dit
soit de l’immanence soit de la transcendance tombée en-immanence. Le générique s’oppose à la
singularité individuelle et au tout, il est l’immanence elle-même et donc la face de transcendance ou
la « personne » de l’immanence. Se dit des notions réduites à l’immanence radicale.
Fonction d’onde. Formule ou équation combinant les symboles variables philosophiques ou réelles
(Un, Etre, Autre, Multiple, Etant, etc.), affectées du nombre imaginaire ou complexe compris
géométriquement comme quart de tour ou de cercle, et phénoménalement comme dualité
unilatérale. Désignant la loi d’un processus ondulatoire et non d’un « état », cette ancienne
expression est souvent préférée ici au mathématique « vecteur d’état », la vectorialite du vecteur
étant elle-même un processus et non un simple état objet d’une opération mathématique.
Futural. Etat de ce qui sous-vient comme DI au-devant du sujet-Etranger tel un agir passif. Non-agir
sous-déterminant la transcendance première, sa propre expérience du « future » comprise. La DI ou
le Sujet générique avant-première est futural ou une forme de virtualité.
Idemmanence. Forme radicale, non absolue, de l’immanence lorsqu’elle est obtenue par
superposition de l’idempotence d’origine algébrique et de l’immanence comme concept d’origine
philosophique. Caractérise le plan générique comme transcender simple pour le distinguer du « plan
d’immanence » absolue (Deleuze) comme ayant partie liée avec la double transcendance
philosophique.
Idempotence. Propriété algébrique de certaines opérations (A + A = A), ici interprétée
philosophiquement comme propriété phénoménale de la superposition et de son immanence.
Principe de l’ondulation ou forme a priori de la particule.
Identité conceptuelle. Objet corpusculaire ou supposé en soi, typique de la réalité philosophique,
forme macroscopique par excellence de la pensée dont participe tout représentation philosophique
ou standard (concept, terme, sens, catégorie). C n’est pas spécialement le transcendantal de l’Un
sauf si celui-ci se dit aussi de tout terme philosophique. Reçu comme apparemment simple, c’est
l’objet et le matériau de la déconstruction ondulatoire qui en produit la genèse quantique sous la
forme d’une « micro-identité » particulaire, qui peut se reconvertir par apparence objective en en
soi macroscopique.
Immanental. Directement opposé à transcendantal, son symétrique pour l’immanence radical. Nonrapport de l’immanence (par superposition) à l’expérience c’est-à-dire à la particule et plus loin au
corpuscule. Pouvoir de sous-détermination par la Dernière Instance de la double transcendance qui
tombe en-immanence.
Indirect (discipline indirecte ou interdiscipline). Une discipline générique est indirecte si elle atteint
son objet par une double médiation inséparable, si son objet fait partie de ses moyens, si son moyen
principal est aussi un objet. Une quantique de la philosophie use de la philosophie non-seulement
comme objet mais comme moyen. Une discipline générique de la quantique use de celle-ci comme
moyen et pas seulement comme objet. Tout objet d’une discipline est aussi un moyen de celle-ci.
L’agir vectorial du module ne dépend pas seulement en général de la phase mais l’investit à même
son objet. Une science indirecte est celle des moyens avant d’être celle de l’ « objectivité » simple
ou rationnelle.
Médiat-sans-médiation. Dans le langage de la causalité, l’effet en tant qu’il sous-détermine ou
détermine en-dernière-instance sa cause, donc sans procéder par une simple inversion de l’ordre
causal. Effet d’une médiation dont la cause ou l’acte a été sous-déterminé par cet effet agissant
comme « Dernière Instance ». Statut de ce qui est réel, immanent ou phénoménal et dont l’acte soit
de médiation soit de donation est rejeté comme transcendance particulaire. Immanence mais
indirecte, immédiateté mais sans transparence, action indirect mais immédiate, action à distance
mais par la distance même. Comme le « non », le « sans » n’est pas absolu mais seulement radical,
c’est le pli unilatéral d’un plan générique ou d’une immanence qui transcende sans être parvenue
encore à l’état de transcendance particulaire (simple) qui suppose qu’elle est tombée-enimmanence ou devenue éventuellement perceptible comme biface. Plutôt que l’individu ou la
singularité opposé à l’universel ou bien médiatisé par celui-ci, c’est l’indivi-dualité ou l’uni-latéralité,
soit la généralité sous-universelle ou l’immanence qui engendre de soi une transcendance simple et
non double comme l’universel philosophique. Le médiat-sans-médiation est l’immanence radicale
par superposition des médiations réciproques ou des interprétations mutuelles des variables
quantique et philosophique de la matrice. Il n’est pas absolument « sans » médiation mais ne l’est
que radicalement ou unilatéralement. C’est le milieu qui n’est plus partagé entre deux bornes mais
devenu consistant ou autonome par immanence et non plus par transcendance. Le médiat-sansmediation est ondulatoirement un mi-lieu mais par rapport au cercle philosophique il devrait être dit
un « quart-lieu ».
Nombre imaginaire ou complexe. Représente géométriquement par le quart de tour ou de cercle, il
s’écrit racine carrée de -1. Non réel comme les nombres arithmétiques, il y ajoute le sens de la
direction et de la transformation. Il équivaut phénoménalement et non physiquement au spin ¼ ou
immanent de la Dernière Instance dont il est la partie imaginaire. Principe immanente ou préondulatoire de l’a priori ondulatoire.
Non-agir. Etat spécifique de la Dernière Instance ou du Sujet générique en tant qu’elle n’est pas un
principe d’auto-production, pas davantage un non-agir extrême-oriental ou absolu, mais un non-agir
radical. Le non-agir radicale est un agir virtuel, futural, sollicite occasionnellement ou relancé par le
répétition d’une occasion sur laquelle il agit en la configurant, sous-déterminant sa double
transcendance. Relance du Sujet générique et répétition occasionnelle de l’ondulation forment une
complémentarité unilatérale. La réaction du non-agir que sollicite l’occasion n’est pas constitutive ou
réelle de l’action du non-agir, c’est pour lui une simple relance.
Non-commutabilité. Un des deux principes universels de la MQ, d’origine algébrique, à cote de la
superposition. Il stipule que les produits inverses de deux « quantités physiques » ne sont pas égaux
ou commutables. Transformé ici en ordre unilatéral ou de la Dernière Instance dont il est
inséparable. Il stipule maintenant que celle-ci comme générique et la philosophie qui est son objet
et même son occasion herméneutique ne sont pas commutables ou forment une complémentarité
unilatérale.
Non-einsteinien (cf non-gödelien, non-schrödingerien, non-cohenien, etc.). Le « non » qui modalise
les noms propres assignes à une théorie ou un système de pensée est, comme le « sans », une
caractéristique du générique qui use de la science ou de son pouvoir critique sur leurs propres et
dernières prétentions philosophiques. Le « non » dit l’Un-en-Un d’Einstein, de Gödel, etc. et non pas
leur être. Il a donc une valeur négative extrêmement réduite et n’engage aucune dialectique de
contraires ou d’opposes, aucune opération d’’évidement, à la rigueur une neutralisation ou une
simplification de la transcendance pour le corpuscule passant à l’état de particule, ou encore de
négation de-dernière-instance. En toute rigueur il faudrait parler de non-négation ou de non-néantir
sans en appeler à une dialectique. Son effet est celui d’un « transfert brisé ou unilateral », la
transcendance subsiste en perdant sa forme doublet, l’immanence est ré-affirmée ou radicalisée
comme superposition. C’est l’effet général de la substitution de la superposition à l’identification ou
au doublet philosophique.
Ondulation. Notée algébriquement -1. Objet élémentaire macroscopique puis microscopique dont la
SG pout suit la connaissance particulaire sur la base du quart de cercle « imaginaire ». Sous cette
forme réduite et déduite du quart, c’est l’a priori morphologique de la « correlation » (du nonrapport ou unilation) onde-particule. Ou encore la distance semi-extatique, semi-phénoménologique
ou unifaciale qui donne la particule comme clone du corpuscule.
Ondulatoire. 1. Adjectif ou parfois nom général pour tout ce qui concerne le phénomène et la
thématique des ondes, s’oppose alors plutôt à corpusculaire (les corps individuels ou
macroscopiques dans lesquels on inclut le concept et ses variétés). Dans le passage de cette
physique classique ou newtonienne à une conception quantique de l’ondulatoire et de la particule,
le phénomène ondulatoire obéit alors à des lois nouvelles que nous utilisons pour le vécu
(superposition et non-commutativité, nombre complexe ou imaginaire) et qui ne sont pas celles des
corpuscules mais des particules. Ondulatoire est ici employé pour l’interprétation quantique des
ondes, rarement pour leur interprétation macroscopique. 2. La MQ résorbe mathématiquement la
dualité onde/particule au profit de la particule. Nous donnons plutôt un certain privilège à
l’ondulatoire en général en le distinguant évidemment du corpuscule et partiellement de la particule
dont elle est la forme génétique. Onde et particule sont le « même » et/ou « distinctes », ondeparticule et corpuscule également mais cette fois à une apparence objective près. L’ondulatoire est
aussi particulaire mais pas à la manière classique, l’ondulation n’est que la forme même de la
particule (pas sa matière) comme s’il y avait superposition et non-commutativité de l’onde et de la
particule. Le résultat est la dualité unilatérale de l’ondulation « comme » particulaire. L’onde est un
phénomène d’immanence radicale par superposition, la particule est l’excès de transcendance
« simple » mais bifaciale, achevée sans être fermée, sur l’immanence qu’elle est aussi. On distingue
donc trois modes de réel et réalité. 1. L’ondulatoire inachevé ou l’immanence et son transcender
simple (noèse), 2. L’ondulatoire achevé ou bifacial et particulaire mas non fermé (noème), 3. le
corpuscule comme double transcendance fermée (objet en soi). C’est une interprétation générique
de la formule phénoménologique de la « transcendance en immanence ».
Oraxiome. Mot-valise (axiome et oracle) qui dit, sous la forme d’une unique particule conceptuelle,
la superposition de l’axiome mathématique et de la décision philosophique. Les « axiomes » de la
non-philosophie ou ceux qui « déclarent » la SG et en particulier la DI conjuguent deux types de
décision, l’une mathématique d’ouverture d’une champ formel structure, l’autre philosophique
d’arbitraire mais règle ou de décision indécidable. L’oraxiome est le dit de l’immanence radicale et il
est sous-déterminé par celle-ci. D’autres nuances du terme, le sibyllin, l’énigmatique, l’abyssal ou le
sans-fond, le délirant, appartiennent à la philo-fiction et doivent être transformées selon les mêmes
règles. La futuralité est par excellence ce qui est déclaré ou performe par les oraxiomes.
Particule. Entité hylémorphique associant sans médiation, sous forme de dualité unilatérale, la
forme noématique particulaire proprement dite et la matière venue du corpuscule. Transcendance
simple sans doublet ou donnée en-immanence. Résultat de la déconstruction générique, quantique
et non-textuelle, de la philosophie.
Philosophique. Terme qui reçoit ici un double et non pas un seul usage englobant déployé selon
multiples systèmes. 1. Dans son usage critique, « philosophique » désigne alors la suffisance de la
double transcendance ou de la ré-affirmation englobant d’un phénomène transcendent quelconque
de pensée. 2. Dans son usage descriptif, toute représentation ou pensée est « philosophique » en ce
sens qu’elle continent un moment de transcendance dite simple ou « non-philosophique » dont elle
s’aide comme d’un matériau et d’un moyen. La critique du philosophique ne vise que le premier
usage, le plus universel chez les philosophes mais aussi le plus stérile. Dans le second sens le
philosophique est encore présent quoique très réduit, passe de doublet a simple, par exemple dans
les expressions de « non-philosophie non-standard ».
Plan générique. Superposition de ce que la philosophie distinguerait et corrélait comme pland’immanence et comme plan-de-référence scientifique. L’ondulatoire définit une immanence qui est
un flux et pas un plan, le particulaire une référence sous la forme d’un plan. Ils forment une
complémentarité unilatérale ou un uni-plan. Le plan générique comme référence scientifique achève
sans la refermer l’immanence.
Positivité. Deux usage distincts. 1. Pratique ordinaire ou sous horizon de philosophabilité des
disciplines supposées autonomes, en soi ou suffisantes, philosophie comprise (on parle alors de
« spontanéité »). 2. Pratique générique qui, bien que non-agir d’une condition « négative » et sousdéterminante des complexes science-philosophie, possede en cela un trait positif d’autonomie ou de
consistance qui lui est propre, la Dernière Instance qui détermine sa soustraction d’avec la
transcendance et rend celle-ci à l’état de cause occasionnelle.
Quantification. Désigne ici exclusivement l’interprétation quantique globalement générique et noncalculant, non-numérique, de la philosophie ou des concepts, et qui s’achève par la re-quantification
générique proprement dite. Cet usage est un facilite fournie par les multiples usages et l’extension
de « quantum ». Le quantitatif numérique et le géométrique, comme d’ailleurs le philosophique,
sont « mis entre parenthèses ». Ce ne sont plus que des « artefacts » macroscopiques, ou au mieux
des particules unilatéralisées mais nullement des déterminations levées ou effacées du quantum
d’action puis du quantum générique.
Quart de tour (quartiel). Représentation géométrique du nombre imaginaire ou complexe notée
racine carrée de -1. Appartenance avant-première sous la forme vectoriale de l’immanence et de la
transcendance (du transcender simple), elle constitue la substance pré-ondulatoire de la Dernière
Instance, au moins sa matière sinon sa mise en œuvre. C’est l’élément génétique ou pré-quantique
de l’ondulation. La quantique physique superpose sans délai l’ondulation achevée avec elle-même.
La générique superpose le quart avec soi en le superposant avec l’onde. Elle remonte à la racine préoriginaire et algébrique capable de fonder génériquement une quantique sur le seul imaginaire ou
complexe. Le quart de tour est distinct du « quadriparti » qui est une théorie du quart comme quatre
et donc sous l’horizon corpusculaire du tout.
Réel. Terme très surdéterminé qui désigne 1. soit très rarement la réalité des objets de ase d’une
discipline classique, a. l’arithmétique comme usage ordinaire des nombres à quoi l’on oppose alors
les nombres en leur usage « imaginaire » ou « complexe », b. l’ordre métaphysique de l’Un et du
Multiple en tant qu’ils bordent le mécanisme transcendantal sur ses deux bords et se distinguent de
lui ou sont la matière sur laquelle il empiète par son opération, 2. Soit plus rigoureusement et audelà du transcendantal, le Réel comme générique ou forcé à l’immanence. Le réel est alors
immanental, virtuel et même futural en tant qu’avant-première, il affecte toutes les instances qui
participent de l’immanence radicale, soit directement (la DI, le Sujet générique) soit (la particule,
l’ego par exemple). Le virtuel ne se confond pas avec l’imaginaire et du virtuel philosophique.
Re-quantification. Procède de production de l’immanence radicale par « ré-affirmation » ou relance
de la variable quantique, maintenant comme facteur sous-déterminant l’unité de la philosophie et
de la quantique. Caractéristique de la matrice générique, ce n’est pas un doublement de la
transcendance, un doublet philosophique, mais une superposition, donc immanent, d’un
phénomène de type ondulatoire avec lui-même.
Science Générique (SG). Projet d’ensemble d’une Théorie Unifiée de la philosophie et des autres
savoirs. Ce que devient la « non-philosophie » à la suite de sa compréhension quantique et
générique. Aucune désignation ne donnant une image parfaite ou spéculaire de son objet. Et celle-là
couvrant les tressages de trois apports théoriques, elle contient à la fois, génériquement, la
« science de la philosophie » et la « quantique générique ». Ses deux volets inséparables.
« Philosophe non-standard » est préférable quoique vague, pour des raisons de simplicité,
d’universalité et d’écho à la « non-philosophie », tout en évitant les erreurs d’interprétation
auxquelles donne lieu cette dernière.
Sous- (sous-consistance, sous-détermination, sous-fondation, sous-sujet). Préposition très
indéterminée dans ses usages philosophiques. Effet général du forçage générique (agir du non-agir)
lorsqu’il procède par immanence quantique (superposition) et non par des moyens philosophies ou
dialectiques qui combinent sous- et sur-potentialisation. Par rapport à la suffisance philosophique et
mathématique comme double transcendance, c’est un effet de dé-potentialisation et non de délocalisation. Ne pas confondre les formules « être sous fondation » (c’est-à-dire « en régime d’autofondation » comme la philosophie) qui indique une localisation, et « être sous-fondé » qui indique
au contraire un certain démembrement de l’auto-fondation. « Sous quantique » signifie « en régime
quantique » de re-quantification, mais pas directement l’effet de sous-détermination de la
transcendance.
Sujet-Etranger ou méta-sujet. Par distinction d’avec le Sujet générique ou DI, c’est le sujet
philosophique en tant qu’il est saisi lui-même en-dernière-instance comme clone ou noème
immanent. Agence la matrice ou travaille sous un double statut qu’il cumule par complémentarité
unilatérale, comme corpusculaire ou philosophique mais déjà présuppose comme particulaire, donc
aussi comme symptôme. Le « méta » du méta-sujet n’est pas un signe de domination, il est soustrait
à la double transcendance ou dépotentialisé.
Superposition. L’un des deux principes universels de la MQ (avec la non-commutativité devenue de
son côté « Dernière Instance » et se combinant avec elle pour donner l’unilatéralité), d’origine
algébrique et spécifique du style ondulatoire. Addition idempotente et linéaire de deux phénomènes
ondulatoires qui en donnent un du même type et appartenant au même système. Elle est soit
constructive soit destructive (annulation des amplitudes, interférences) de deux phénomènes
concrets (vagues, ondes) ou abstraits (nombres complexes). Deux ondes qui s’ajoutant sont
immanents en une troisième qui est de même nature, une onde. De ce principe nous faisons ici un
usage phénoménal comme principe d’une pensée par amplitudes et non par objets. La superposition
se dit alors des phénomènes d’essence ondulatoire mais vécus. Ce n’est pas l’identification totale ou
partielle de deux entités transcendantes ou corpusculaires, elles ne s’ajoutent pas comme un
complétement à d’autres pour former un tout, ni comme un supplément venant excéder un tout en
s’y soustrayant (la différance), mais comme une seule vague chaque fois (comme interférence). C’est
donc une notion étrangère a toute la thématique philosophique de la position comme doublet de la
transcendance (pré-. Sur-, auto-, dé-position), elle se dit de phénomènes immanents à transcender
simple. La formule générique de l’ « unité de la science et du sujet (de la philosophie) sous la
science » se réalise en usant méthodiquement et ultimement de la superposition, c’est alors la
relance d’une immanence qui porte celle-ci à sa forme radicale plutôt qu’absolue.
Transcendance. 1. Admise comme homogène et générale par la philosophie, elle est en réalité
double ou en doublet, c’est la structure de répétition la plus générale de la philosophie ou de
n’importe quel concept, Idéal de la philosophie qui la porte à l’absolue par opposition aux
philosophies idéales ou systèmes. 2. Comme simple ou réduite par l’immanence radical, elle
accompagne nécessairement, inséparablement celle-ci sous deux états, a) comme transcender
simple et inachevé de toute immanence (elle forme avec elle une immanence non-planaire ou un
flux, b) comme transcendance achevée ou particulaire mais toujours simple (elle prolonge et achève
l’immanence comme plan scientifique de référence) Dans un objet philosophique on distinguera, 1.
la transcendance matérielle simple qui est inséparable d’une matière ontique et qui devient la
transcendance particulaire ou noématique lorsque l’ondulation s’achève, 2. la transcendance
formelle ou suffisante = X qui double la matérielle ou exprime un contre effet d’attraction
philosophique ou de doublet, cette transcendance formelle sera suspendue de son cote par les
conditions de la Dernière Instance comme générique.
Transcendantal. Invariant ouvrier, operateur ou agent principal des philosophies, leur propriété
spécifique qui peut après interprétation y être retrouvée comme combinaison de la transcendance
et de l’immanence à l’expérience. C’est une modalité ou une « dégradation » de la transcendance en
doublet ou absolue et qui la tire vers un rapport plus ou moins fini et subjectif à l’empirique.
L’invariant transcendantal est un mécanisme secret ou un ressort de toute philosophie qui peut être
décrit à partir de son modèle kantien mais « élargi », sans le contenu doctrinal kantien. Sous cette
formalisation, il reste fondamental (par présence explicite ou revendiquée, implicite, rationaliste,
absolue-dialectique, phénoménologique. C’est plus complètement déployé un système de deux
doublets, empirico-transcendantal et transcendantal-réel, dans lesquels les philosophies viennent se
distribuer. Il est réduit de manière immanentale à une transcendance simple tombée enimmanence.
Uni-latéralité (unilatéralité, dualité unilatérale, complémentarité unilatérale). Propriété de l’Un
comme Un-en-Un ou radicalement immanent d’être unifacial ou de se donner sous une unique face
de transcendance ou uni-latéralement (le front d’onde dans l’ondulation). Principe fondamental de
la première non-philosophie, elle est ici d’origine quantique (non-commutativité) et fait système
avec l’usage d’un autre principe quantique, la superposition. Inséparabilité par/en immanence ou
superposition de l’immanence et de la transcendance simple ou tombée-en-immanence.
Vecteur (vectorial). Modelé géométrique de l’action spécifiquement vectoriale et non plus
vectorielle. Dépouillé de ses dimensions de transcendance géométrique et philosophique, l’invariant
vectorial change d’action. Le non-agir du quart vectorial est un agir non pas à distance, à son terme
ou bifaciale comme la « distance phénoménologique » des philosophies, mais semi-extatique ou par
la distance elle-même, inséparable de as phase et investie à même l’objet. Le vecteur change
d’usage, soumis à un régime d’immanence quantique qu’il contribue à produire, il n’est plus
molécularisé et/ou totalisé dans la transcendance. C’est 1. Une machine module-phase (ou
immanence-transcendance) d’une autre inséparabilité, unilatérale et non bilinéaire, que les
coupure-flux (Deleuze), 2. Le composant matériel dernier ou minimal du quart de tout comme
amplitude du vécu de pensée et non de machines désirantes, 3. ce qui produit par superposition la
Dernière Instance unifaciale ou non-commutable plutôt que le corps sans organes. Les machines
vectoriales ne sont perçues comme étant a deux face en état d’appartenance en général ou comme
« synthèses passives » module-phase lorsqu’elles cessent d’être animées génériquement comme
machines unifacials ou radicalement immanentes.
Versants d’amplitude (la pente et le front). Les deux faces, ascendante et descendante, de
l’ondulation. La face arrière ou ascendante, c’est-à-dire l’immanence en tant qu’elle transcende ou
ascende est la pulsion ou pente d’amplitude, la face-élan par laquelle la montagne ou l’océan
naissant dans leur propre passivité. Sa face avant ou descendante, la transcendance en tant qu’elle
tombe-en-immanence, est le front d’amplitude, face terminale d’achèvement mais non de
fermeture de l’ondulation. La pulsion immanent est inséparable d’un angle d’ouverture mais ne fait
pas encore ondulation. Ce qui se manifeste comme la véritable face est celle par laquelle
l’ondulation fait front et tombe en-immanence. Il faut les considérer dans l’immanence du processus
générique (chaque côté de l’ondulation est soit un arc de cercle simple—un quart de tour—, soit la
répétition d’un quart de tout) ou comme les constituants de la Dernière Instance, non dans une
image extérieure ou physique de survol qui renverrait de toute façon au corpuscule.
Virtualité ou futuralité. Modalité « ontologique » du Réel, donc de la Dernière Instance, plutôt que
calcul ou que nombre, statut plutôt que proportion statistique du Réel à la réalité macroscopique.
Elle est en amplitudes plutôt qu’en objets, en sous-venir ou en sous-venue plutôt que, comme les
physiciens, de probabilité. C’est la « probabilité » non mathématique qu’une particule conceptuelle
écrite et configurée prenne forme de trace vécue illocalisable dans le plan des coordonnées ou des
trajectoires philosophiques (par transcendance horizontale et verticale, Etre et Un, etc.)
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