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La diffraction des rayons X est la méthode par excellence
pour connaître parfaitement une métalloprotéine. On obtient avec
précision la position de chaque atome.
Cependant elle est difficile à mettre en œuvre car elle ne
peut être appliquée qu'à des cristaux, qui sont souvent dur à
former. De plus, ces structures contiennent beaucoup de
molécules d'eau qui déstabilisent la structure.
On peut parfois employer la thode Patterson qui
consiste à intercaler des atomes lourds dans la structure. On
observe ainsi sur la carte de distances interatomiques l'atome
lourd placé à l'origine, ce qui aide à la caractérisation de la
protéine.
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B.
.
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X
Cette spectroscopie requiert l'utilisation d'un synchrotron, qui permet
d'obtenir un rayonnement X polychromatique très intense et très focalisé. On mesure
l'absorption des rayons X par la protéine. Cette technique est facile à appliquer aux
matériaux biologiques.
Encore faut-il avoir un synchrotron à portée de main
On obtient ainsi un spectre avec des pics
d'absorption qui sont en fait les énergies
d'ionisation des différents atomes. On identifie
ainsi le type d'atome, son degré d'oxydation ainsi
que sa géométrie de coordination. C'est le principe
de la spectroscopie XANES.
On observe aussi des oscillations après le
pic d'absorbance. Elles sont dues aux interactions
de l'électron éjecté avec les atomes environnants.
On déduit ainsi le nombre et la distance des
premiers voisins. C'est la spectroscopie EXAFS.
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En se servant de la dégénérescence des niveaux d'énergies des spins
électroniques dans un champ magnétique (effet Zeeman), la RPE mesure
l'absorbance entre ces niveaux d'énergie.
Dans le cas des métaux de transition, ils doivent posséder au moins un
électron célibataire. C'est une technique très sensible.
λ
A
XANES
EXAFS
Elle est particulièrement adaptée à Cu(II) puisqu'on peut obtenir l'interaction
hyperfine (interaction entre spins électronique et nucléaire). Le signal obtenu nous
donne la composition et de la géométrie du complexe de coordination.
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(R
RM
MN
N)
)
On utilise souvent la RMN du
1
H et
13
C en chimie organique. Elle étudie les
spins nucléaires.
Voir en L2-SV "Résonance Magnétique Nucléaire"
pour plus d'infos
E
E.
.
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Cet spectroscopie est essentiellement appliquée pour le fer. On mesure
l'absorption des rayons γ de l'atome métallique. L'émetteur est un atome possédant
le même nombre de masse (
57
Co pour
57
Fe).
On obtient ainsi des pics caractérisés par leur déplacement isomérique δ
δδ
δ et
l'éclatement quadripolaire
E
Q
.
Le déplacement isomérique est du à l'interaction entre
les électrons de l'atome et l'environnement dans lequel il se
trouve. C'est l'interaction monopolaire électrique. On
observe ainsi un déplacement de la longueur d'onde
absorbée par rapport à une interaction sphérique. On
détermine ainsi l'environnement de l'atome et sa valence.
L'éclatement quadripolaire est du à l'interaction entre le
quadripôle produit par les électrons et le noyau, qui enlève la
dégénérescence d'un niveau d'énergie. Celle-ci dépend de
l'état de spin de l'atome.
F
F.
.
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