h! ou , ute ape r é oth ne,tifs, HyNpnancy n ie ia , Et oins palLl orraine i m s e Ré férent enrologie d r pa rmier rée Cancé Infi titut d Ins wa ✮ L L Douleurs chroniques e e s s o o n n p p y y h h et sie dans un hypno-analgé en dre ge ar ch ise en rit dans un ca ronique s’insc ire de La pr la ch r me pu m eu po ul co n do tio te de oposée ésenta -hall, contex ypnose est pr oin de la repr ic l’h x us au m où , et de re s et ai ue isciplin pathiq cabaret ressi- plurid aitements allo l’hypnose de og tr ipr x (k au a ux t e te en nn en plém ksonie non médicam eu un com l’hypnose eric e es traitements e dans le mili tr ac au pl s el ies au préalabl sa tu vé en ou év ces sont défin vement tr an sé b s l’o Le et ). ... e, initial thérapie problématique hospitalier. ifiques nési la e nt D n ie lo sc e. u se q es nt ti ud tie pra ses ét e- avec le pa er celui-ci à la De nombreu niques d’imag à autonomis ch d te ose dans un n n x te yp au if l h ct to pe je de l’au rmer e faisant ap nfi ag co ss re le es ti n nu re ve p le sont it, l’ap tiel pour rend rie fonctionnel ession- ce fa ité est essen of ic n pr enti. ro s ss ch re de n e ès d de so xte t aupr s de conte e en charge et t, notammen is ne en ai pr m m érée sa ue id do de s ns go ur ur co en cet ns le – est patient acte i l’utilisent da dre pratique qu ca é cace nt vo sa ns ur da de po – nels n’a pas hypnose le L’ el , s. tif eve ec rè nn b sp tio re érapie e une à un fonc compétences mme une th ces varie entr l’existence d’ co an t sé en e s al rm de od e nfi br im co m ur re de Les résultats une action pl de durer. Le no Il est nécessai rticulier avec rment tion ation initiale. pa ic nfi l nd ière co ta l’i an en es m de m ud t de nd ét men il dépe séance u. Les entre chaque sur le cervea douleur dix, la re se lib de no ps té yp si m l’h te en de un is l’int e…). laisser s’installer. diminue à la fo s états changement uil de toléranc le se que l’hypnose r t, se is en la m ement avec de à ré nn ag tio et és nc s (d fo se » ti eu ce r une nombr on de et le « ressen l’attention su La comparais de pliquées sont n im io re at es ai is al ul al br ng oc ré petit nt (f rus ci Les zones cé tricot pour le nnus du patie éfrontal, le gy un co pr ns ex da rt n co tio le rp de rasabso notamment : rie télévisée, al. es permettant sé br pl ré em cé c ex d’ on tr nt auta antérieur et le rnier…), sont confiance. e relation de uleur se de un do r la ge de ga p en et d’ au cham spéci- surer de l’hypnose tte branche ce L’application », ie és g no-anal une approche nomme « hyp e aux patients os op cu pr se no ulation du vé fique de l’hyp e de la mod qu gi go da pé originale et es rie de techniqu L’objectif de l’hypnose est de faire vivre au douloureux. pose d’une sé m , co » ls se ti u sie o gé à « boîte e un L’hypno-anal à patient un état dissociatif, état dans lequel il pourra es bl ra onnaion compa ajuster à la pers s’ de communicat de faire l’expérience d’un changement de perception, et ainsi nt ta et tils perm ces différents ou . nt percevoir différemment la problématique initiale. Les tie pa préaources du des échanges rs lité et aux ress lo e éé techniques peuvent proposer l’utilisation de métaphores, cr n prala relatio démystifier la de La qualité de et rm pe de phénomènes idéomoteurs, créant par analogie une le e au ntielle, el é indispensabl rit lables est esse cu sé de se correspondance inconsciente avec la douleur et ses éer une ba tique et de cr . ie représentations. érap du corps, les succès de la th ots, la position rL’approche ericksonienne s’inscrit dans une démarche ve s re èt Le choix des m ram autant de pa la re permissive, humaniste, où le patient a toujours le choix la silences sont nt isa rbaux caractér t es r ie de répondre ou non aux suggestions employées. ul baux et non ve ic rt . Ce langage pa , » le el n tion hypnotique Avec l’hypnothérapie, la douleur est perçue autrement n io ose conversat de ue appelé « hypn tiq que comme un phénomène figé, elle ouvre au patient des an à l’aspect sém n tio lla il s’apparente ta ns perspectives jusque-là ignorées, en lui donnant la possibilité i l’i rmettant ains la pratique, pe ce dans sa an de reprendre une certaine forme de contrôle sur nfi co en patient progressive du ses sensations. t. zone de confor 10 aïe! MAI 2015✮n° 5 cer n a c u d r u e l dou n e f i s a v n i t n Traiteme les pompes intrathécales en cancérologie Pourquoi ? ouleur est e où la d in a m o d un ger. Ainsi, logie est ile à soula ro c é fi c if n d a t c e a L nte 0, 53 % ment prése par l’INCa en 201 particulière iques ne liée étude pub uloureux. Ces statist o dans une ours des td cative au c ts se disen des patien d’amélioration signifi milaire de 1995 si pas ne étude traitemontrent nées car u n a ureux. Le s lo u re o iè d ts n e ti l’ 20 dern a p de OMS. 57 % de s 3 paliers le r es su t n e retrouvait em lisation d se classiqu nt de l’uti e e, m é e g p n p ment repo lo lo ve pro lgré le dé libération à s ur e o P rm Mais, ma fo s. é les ulag ues avec nt pas so so s le e n r su morphiniq ts n se des patie tique repo la , ie 10 à 15 % alternative thérapeu rg u chir ts, l’ mme la lces patien nnelles co o ti n lle et l’ana e e n rv n te o s in rventi te in ie g technique lo io pie, la rad radiothéra . ale gésie spin ? Pour qui ? Ce type de traitement permet de soulager les patients qui présentent des douleurs réfractaires malgré de fortes doses d’opioïdes, ou qui présentent des effets indésirables au traitement comme les nausées ou la somnolence. La décision d’implantation de la pompe est habituellement prise après avis d’une réunion multidisciplinaire. Certaines pathologies comme les cancers du pancréas, les cancers pelviens sont les pathologies qui bénéficient le plus souvent de cette technique. Depuis quelques années ces indications se sont élargies aux pathologies thoraciques et ORL. Les médicament s La morphine est le médicament le pl us utilisé par voie thécale, mais seul intrae elle permet rare m ent d’obtenir un lagement complet souen cancérologie. On y associe fréqu ment des anesthés emiques locaux à long ue durée d’action sont très actifs su qui r les douleurs neur opathiques. Depuis quelques années on dispos e également d’un molécule de la e classe des inhibi teurs calciques caractérise par un qui se e action puissan te sans entraîner dépression respira de toire et de tachyp hylaxie. COMMENT ? L a k ê n, ur r. o – Doulesut - Paul r i o e e upnesthéisei de l’Ou D A ’ niesment adncérolog e D épart de C s e ? D titut nger Ins in, A Pap e principe de l’antalgie intrathécale consiste à délivrer les antalgiques au plus près des récepteurs médullaires situés dans la corne postérieure de la moelle épinière. Son fondement repose sur deux avancées majeures dans la compréhension de la transmission du message nociceptif, d’une part la théorie du « gate control » et d’autre part la découverte des récepteurs morphiniques. Cette voie d’administration permet de diminuer considérablement les doses d’antalgiques. Par exemple, 1 mg de morphine par voie intrathécale est l’équivalent antalgique d’environ 300 mg par voie orale. De plus, certains types de traitements ne peuvent être administrés que par cette voie comme les anesthésiques locaux et le ziconotide. Ce mode d’antalgie a bénéficié de la mise à disposition de pompes totalement implantées qui permettent de distribuer les antalgiques en continu. La technique repose sur la mise en place d’un cathéter extrêmement fin dans le liquide céphalo-rachidien en arrière de la moelle épinière, en regard des métamères impliqués dans le processus douloureux afin d’être au plus près des récepteurs. Ce cathéter est implanté le plus souvent par une ponction lombaire et guidé jusqu’au niveau souhaité sous contrôle radiologique. L’intervention, réalisée sous anesthésie générale, dure environ une heure et réclame une hospitalisation de quelques jours afin d’adapter le traitement. La pompe est implantée généralement sous la peau de la paroi abdominale. Le cathéter est tunnélisé sur le trajet sous-cutané entre la partie intrathécale et la paroi abdominale. Elle est constituée d’un réservoir, reliée à une pompe péristaltique électrique commandée par un micro-ordinateur. Elle délivre les produits antalgiques en continu et son débit est adaptable Site d’accès en fonction des activités du patient. Ce dernier peut pour les remplissages également s’administrer lui-même des bolus préprogrammés par le médecin grâce à une télécommande. Dans la mesure où les volumes utilisés sont très faibles, de l’ordre du millilitre par jour et où l’on dispose de produits très concentrés, ces pompes ont une autonomie de plusieurs semaines. La recharge est réalisée par une ponction du réservoir à travers la peau, grâce à un site d’accès au réservoir situé sur la face supérieure de la pompe. En conclusion ! L’analgésie intrathécale est une alternative dans le traitement des douleurs réfractaires en cancérologie. Son développement au cours des dernières années permet d’envisager demain de mieux soulager les patients qui souffrent de douleurs cancéreuses. aïe! MAI 2015✮n° 5 11