Maximisation des benefices des migrants et les

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Anatolie Caraganciu, Viorica Carare, Maximisation des benefices des migrants et les remittences dans l’economie de la
Republique Moldave / Annals of University of Bucharest, Economic and Administrative Series, Nr. 1 (2007) 55-61
Maximisation des benefices des migrants et les remittences
dans l’economie de la Republique Moldave
Prof., PhD Anatolie Caraganciu,
ASE Moldova
Prof., PhD Viorica Carare,
L’Institut d’Economie, Finance et Statistique, Académie de Science du Moldave
Abstract
Le travail en Moldavie est le plus signifiant export.
Le pays se place parmi les plus grands récepteurs du monde des transferts
(virements) d’argent de la part des émigrants. L’import de la force de travail assurait en
2003 24% de PIB, cédant à Liban (25%), Haïti (30%) et Tonga (41%). Tous ces chiffres
reflètent seulement les virements légaux auxquels participent plus de 50% de rémittents.
Ainsi les virements réels ont une plus grande ampleur. Elles continuent augmenter et en
2003/2005.
1. Introduction
La plupart des migrants travaillent dans les pays du bassin
méditerranéen : Grèce ; Turquie ; Cipre ; Portugal ; Espagne ; l’Italie, qui
est déterminée de la même base linguistique latine (commune). Dans le cas
de Turquie il s’agit de l’ethnie Gagaouze, qui habite le Sud du pays (les
turques christianisés en Moldavie). De cette façon les rémittents dirigent les
flux financiers des pays mentionnés vers la Moldavie.
Le baissement de la pauvreté et l’élévation relative du niveau
économique (de l’économie) le dernier temps en Moldavie se produit grâce
aux migrants exploités de cet Etat et pas au gouvernement du pays. Il faut
mentionner le fait qu’une bonne partie de ces migrants sont trafiqués, ce que
nuit l’atmosphère publique de ce pays et qui contribue à la formation des
sources criminelles.
Quelle est la distribution ultérieure de ce bénéfice en Moldavie ?
2. Marché
Il arrive au marché de consommation quotidienne par les parents des
migrants ou au marché des immeubles. Dans le dernier cas il contribue à
l’augmentation des prix aux immeubles, les prix desquelles (il s’agit des
prix des appartements) ont augmenté 3-4 fois de plus. La rente arrivée au
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marché de consommation change le cours de la monnaie nationale ;
contribue à la majoration de la demande sur le marché, contribue à
l’inflation; le dernier temps elle a contribué à l’augmentation des imports.
Il faut observer les « échos » de ce procès sur les différents domaines de
l’économie. Vu que le marché intérieur de la République de Moldova ne peut
pas assurer la demande de consommation, l’offre est formée essentiellement
des imports. Les marchandises importées sont commercialisés pour les « lei »
moldaves ; voilà pourquoi il est nécessaire de convertir la value entrée dans le
pays en « lei » moldaves-la monnaie nationale. Dans ces conditions un rôle
important revient au système bancaire, qui doit satisfaire en permanence la
demande de la monnaie nationale.
Normalement, la quantité de la monnaie nationale est équivalente à
la quantité de la value gagnée à l’étranger par la détermination du prix de
l’équilibre-la tranche d’échange. Quand la quantité des « lei » moldaves »
reste invariable, le dépassement de l’offre de value au marché sur la
demande augmente la pression sur les cours de la value dans le sens de
consolidation de la monnaie nationale.
Le marché des produits internes est avancé à la cause
d’augmentation de la demande formée par la value importée. En même
temps la capacité d’export des produits aborigènes est désavantagée, aussi
que la capacité de concurrence. Celle-ci est déterminée de l’augmentation
des prix des produits autochtones (calculés en value)-la conséquence d’un
continu baissement du cours de la value étrangère.
Conclusion : l’ambiance financière doit baisser la capacité de concurrence
des marchandises importées pour le développement de la production aborigène.
On attend ce but par l’introduction des taxes d’import qui protègent la production
autochtone ou par la maintenance de la tranche d’échange.
La marchandise d’import est avantagée.
Les « lei » moldaves sont changés pour acheter la marchandise
d’import. La marchandise est réalisée au marché interne, pour une somme
majorée, qui est après changée en value.
Dans le délais de temps mentionné, à la cause de l’instabilité sur le
marché des values et de la manque du pronostique de l’évolution du cours
d’échange, les importateurs n’ont pas réduit les prix de leurs marchandises,
ce qui leur a permis d’obtenir des profits essentiels, parce que leurs
encaissements en value ont augmenté.
Conclusion : Les « lei » moldaves dans ce schéma apparaissent
seulement comme une phase intermédiaire. Seul le producteur étranger est
avantagé. Le consommateur interne est exploité en faveur du producteur
étranger et des hommes d’affaire.
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La force de travail (la main d’œuvre) moldave qui travaille à
l’étranger est le fournisseur de la value étrangère importée en Moldavie. Ces
ouvriers avec leurs afférents apparaissent en qualité de consommateurs et
moins en qualité d’économes.
Conclusion : Leur entraînement direct en qualité d’investisseur dans
le procès économiques est moins probable.
A son tour le marché étranger de travail a de considérables
difficultés sociales et politiques.
Tachons de déterminer les moyens de distribution de la value
importée dans le pays. D’abord la value arrive aux consommateurs
individuels. Deuxièmement, cette value contribue à la naissance de certains
procès économiques, comme résultat de leur apparition en qualité de
demande sur le marché des biens de consommation. Les nouvelles activités
participent à la formation du budget, étant les objets des impôts fiscaux et
douaniers. Troisièmement la value importée, en « lei » moldaves arrive aux
retraités, dans des organisations budgétaires, au gouverne.
L’assurance du nécessaire de monnaie nationale pour l’échange
oblige le système bancaire de procéder à l’émission monétaire. Comme
support de l’émission peut être la value forte importée, ou l’augmentation de
la production matérielle reflétée dans l’accroissement du volume des
activités économiques. L’argent émit en support de la value arrive
immédiatement à la consommation. D’ici se fait apparaître une demande
supplémentaire au marché des biens de consommation.
L’émission de la value nationale pourrait créer une demande
inflationniste dans le cas où les biens de consommation seraient produits
seulement dans l’économie nationale. Mais ici on a l’équilibre « monnaie
émie value disponible. » L’accroissement de la monnaie nationale en
circulation est couvert par les marchandises importées.
Actuellement la monnaie obtenue grâce aux ventes n’est pas
employé en but d’investissement, par contre on la change en value à un
cours plus avantagé.
Ainsi, les prix internes augmentent, la tranche d’échange baisse.
On crée un procès amplificateur, qui :
Transforme plus efficace la value gagnée à l’étranger dans
l’économie étrangère.
Accroît le bénéfice d’Etat grâce à la taxe douanière et aux
profits des hommes d’affaires qui font les transactions
d’import.
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Réduit l’effet économique de l’activité de la production
autochtone à cause de la marchandise aborigène qui devient
de plus en plus chère en comparaison avec celle d’import. Le
même motif réduit les possibilités d’export.
Les suivants procès ont lieu dans le cas d’émission monétaire :
L’import est désavantagé à cause d’accroissement de
la tranche d’échange.
La douane alimente le budget de plus en plus moins.
La production nationale est stimulée. Le schéma avec
la domination du produit (local) aborigène sur les
imports a un retard de temps.
Le premier schéma (émission en support de la value importée) ne peut
pas être éliminée. Elle peut être complétée avec la deuxième, ainsi pouvant
réglementer les marchés des produits aborigènes et des imports.
Conformément certains pronostics le flux de value forte qui provient de
différentes sources vont continuer entrer dans le pays, en formant l’offre qui
peut dépasser la demande à cette value. Mais ce procès ne peut continuer sans
fin. Si on continue de cette façon où est-ce qu’on arrivera ? L’Europe va
naturaliser 375 milles des migrants. La Moldavie sera parmi les plus pauvres
pays pas seulement de l’Europe et va créer et créer des problèmes.
Quelle est la solution ? Diriger ces bénéfices dans la sphère de
l’économie réelle pour créer les conditions nécessaires de travail et de vie pour
la population aborigène. Comment faire ? La Méditerranéen finance déjà la
Moldavie même si ce n’est pas volontiers.
Compte rendu de ce fait, dans la République de Moldavie il faut
transformer ce flux d’une force destructive pour l’économie du pays dans une
force constructive.
Entreprises urgentes :
Les banques en 2005 et 2006 vont continuer à acheter la value aux agents
économiques et aux personnes physiques, ce qui provoquera deux problèmes :
• Le problème de la gestion de la liquidité des banques (dès que les
banques achètent la value, ils réduiront leurs réserves de liquidité
disponible.)
• Le problème du placement de la value, qui ne sera pas l’objet de la
demande d’achat à la cause de la tranche d’échange désavantageuse.
Le Banque National de Moldavie continuera à acheter la value à la
cause des raisons suivantes :
o pour éviter l’accroissement excessif du « leu » moldave ;
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o pour éviter l’état de crise de liquidité et le système bancaire,
qui pourrait avoir des conséquences imprévisibles.
En cas où l’achat de la value des banques mènera à l’accroissement
essentiel des réserves excessives dans le système bancaire, le surplus de
liquidité pourra être stérilisé par la vente des titres de valeur du portefeuille
du Banque National de la Moldavie et par les dépôts des banques
commerciaux.
Si ces mesures ne seront pas suffisantes, dans des cas extrêmes le
BNM pourra émettre des obligations pour retirer le surplus de liquidité créé
dans le système bancaire.
Pour résoudre le deuxième problème, le BNM probablement réduira
les limites établies pour les banques au placement du capital à l’étranger.
3. Mesures pour amplifier le procès d’investissement.
Il est nécessaire que l’Etat s’implique directement dans la création
des activités économiques par la privatisation continue contre les moyens
financiers des activités de succès.
A notre avis, une solution réussite pour la stimulation du procès
d’investissement dans la République de Moldova serait la création d’un
banque avec du capital publique pour les investissements, qui achèterait le
surplus de value sur le marché interne des values pour son utilisation dans le
but de financer les projets d’investissement dans le domaine d’innovations.
Pourquoi est-ce qu’il faut que ce soit un banque d’Etat ? Parce qu’à
présent le secteur bancaire privé de la République de Moldavie n’est pas
préparé pour une pareille activité.
Comme exemple on peut présenter les suivantes données du BNM.
En 2004 les activités avec values des banques (exprimées en « lei »
moldaves) ont monté avec 1117,1 mln. lei, 62% desquels ont été placés
sous forme des crédits, enregistrant une réduction de l’activité
d’investissement des banques en value étrangère.
Il faut mentionner aussi le fait que 45,6% du volume des crédits en
2004 ont été placés en commerce. Conséquemment, les banques
commerciales à présent sont orientées plutôt vers l’activité de commerce
que vers le financement de certains projets d’investissement et le dernier,
vers l’import.
Voilà pourquoi, dans notre opinion, au moment, seulement une
banque d’investissement d’état pourrait accomplir la mission de financer
pour longue durée les projets d’investissement, la réalisation desquelles
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pourrait avoir des résultats positifs sur le développement durable de
l’économie nationale.
La banque mentionnée pourrait être un important partenaire pour les
compagnies transnationales, qui auront le désire d’investir dans la
République de Moldavie.
Il faut mentionner que les investisseurs de ce type cherchent de plus
en plus souvent non pas seulement des avantages communs offerts par l’état
pour attirer les investisseurs étranger, mais aussi l’accès aux technologies et
possibilités innovatrices. Ces ressources, au contraire de ces naturelles, sont
créé par l’homme, c’est-à-dire sont « des actives crées ». La possession de
ce type d’actives est un facteur décisif pour la compétitivité des firmes dans
l’économie globalisée. En conséquence, les états qui développent ce type
d’actives sont plus attractifs pour les investisseurs étrangers. Cet
accroissement de l’importance des « actives crées » constitue le changement
le plus important dans la structure des facteurs économiques pour le
placement des investissements étrangers dans les conditions actuelles.
Il résulte d’ici que les pays qui désirent d’attirer les investissements
étrangers réalisés par les compagnies transnationales en but de monter
l’efficacité de leur réseau corporatif, doivent concentrer leurs efforts à la
création de pareilles actives. La gouverne locale joue un rôle important dans
ce procès.
Ainsi la politique orienté vers la consolidation des systèmes
d’investissement et la stimulation de la propagation des technologies est
centrale, puisque elle contribue à la création des actives et au
développement d’une combinaison équilibrée et unique et l’emplacement
d’investissement étranger.
4. Conclusions
Il faut mentionner que les actives crées en même temps développent
la compétitivité des firmes autochtones. La politique qui soutient la
consolidation des actives créée à une grande importance aussi que la
politique de stimulation de la collaboration des firmes aborigènes et
étrangères qui permet le développement des firmes autochtones.
Il faut souligner aussi qu’a présent dans la République de Moldova
certains institutions scientifiques ont élaboré une série d’innovations qui ne
sont pas mise en action manque de finances.
En même temps elles pourraient attirer les investisseurs étrangers.
La nouvelle banque d’investissement pourrait organiser le procès
d’accomplissement des fonctions de gestion du procès d’investissement.
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Pour l’assurance du déroulement du procès d’investissement on
propose que cette activité soit effectuée à la base des concours
d’investissement à l’aide desquels on pourrait assurer la réalisation des plus
efficaces projets d’investissement.
Pour monter l’efficacité de la banque nominalisée, il serait
raisonnable que l’horizons d’investissement soit constitués pendant 5-7 ans,
après quoi les actives de la banque seront vendu au marché.
Cette période, en conformité avec l’expérience d’investissement est
suffisante pour la fondation d’une nouvelle entreprise et l’organisation
profitable de son business.
Bibliographie
www.bnm.org;
Moldova - Opportunities for accelerated growth - a Country Economic
Memorandum for the Republic of Moldova Vol. 1 of 1 (English), The World
bank Report, 2005, www.worldbank.com
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