P. BOTERBERGE Page 3
M. DEVILLERS
J.-F. FAGNARD
L’appareil est constitué d’une lame semi-transparente divisant le rayon lumineux en deux bras frappant
chacun un miroir plan et revenant interférer après être repassés au travers de la lame précitée. La lame
compensatrice n’est là que pour assurer d’avoir la même distance parcourue. On peut mesurer la longueur
d’onde utilisée en augmentant la longueur de l’un des bras afin de « faire rentrer » un certain nombre de
cercles d’interférence. Une relation a été établie au cours théorique:
où m est le nombre de cercles
« rentrés », et d la distance entre les deux miroirs ramenés le long du même axe.
II. EXPERIENCE:
Pour la manipulation concernant les fentes de Young, la mesure de l'interfrange nous a permis de déterminer
la longueur d'onde du laser utilisé sur base de la formule énoncée plus haut. Malheureusement, nous avons
égaré le résultat numérique de cette expérience, et ne pouvons donc les présenter ici. Néanmoins, nous avons
trouvé une réponse ayant un bon ordre de grandeur.
Quant au Michelson, nous avons compté 100 cercles « rentrants » et obtenu:
d = 3.125 10-5m ⇒ λ = 625 nm
d = 3.195 10-5 m ⇒ λ = 639 nm
Ce qui donne une valeur moyenne de 632 nm. Nous avions utilisé un laser He-Ne (λ = 632.8 nm).
III. COMMENTAIRES:
• Nous avons obtenu les figures de diffraction attendues ainsi que de bons résultats pour la recherche de la
longueur d’onde du laser.
• Nous nous sommes rendu compte de petits détails pratiques qui font le « charme » de l’expérimentation.
Par exemple, nous avons eu des difficultés pour mesurer les fentes (Young) au microscope. En effet, une
brouette de poussière y résidait, et tenace avec ça!.
• Nous avons également pu constater la sensibilité du Michelson aux vibrations, à la chaleur dégagée par
nos corps, ...
• Enfin, il fut intéressant de rivaliser d’ingéniosité, parfois, pour trouver la bonne position des éléments du
dispositif ... pour que ça tienne!
F. DIFFRACTION:
I. BUT DU LABORATOIRE: