VIGI-PHARMA, N°6, Septembre 2006, Page 2
Fdg ;sfqksfjksdfjksdfjsd ;:f,sd ;f,d ;, ;, ;cc,xc ;c,
,,cncn,cn,cn<wcn<cn ;<,wxc ;<wxcnw< ;xc<kcj<s :dk :<kdkfj :ldj/LZEF
Le mois dernier a été déclarée :
une atteinte cutanée généralisée
sous oxcarbazépine
(
TRILEPTAL
*) ayant entraîné
une hospitalisation en
dermatologie.
Atteintes cutanées graves et
réactions d’hypersensibilité ont
déjà été rapportées avec cet
antiépileptique apparenté à la
carbamazépine (
TEGRETOL
*).
En pratique, pour les patients :
surveillance de leur peau, en
particulier lors du 1
er
mois de
traitement et arrêt le plus
précoce possible en cas de
symptômes évocateurs
d’atteinte cutanée.
A
AR
RR
RE
ET
TS
S
D
DE
E
C
CO
OM
MM
ME
ER
RC
CI
IA
AL
LI
IS
SA
AT
TI
IO
ON
N
Prévus pour fin Décembre 2006 :
B
BA
AR
RN
NE
ET
TI
IL
L*
*
(
(S
Su
ul
lt
to
op
pr
ri
id
de
e)
)
C
CL
LO
OP
PI
IX
XO
OL
L
A
AS
SP
P*
*
1
10
00
0m
mg
g
(
(Z
Zu
uc
cl
lo
op
pe
en
nt
ti
ix
xo
ol
l)
)
-
-
(la forme à 50mg reste commercialisée)
R
Ri
is
sp
pé
ér
ri
id
do
on
ne
e
L
LP
P
i
in
nj
je
ec
ct
ta
ab
bl
le
e
(
(
R
RI
IS
SP
PE
ER
RD
DA
AL
L
C
CO
ON
NS
ST
TA
A
*
*)
)
:
:
M
Mo
od
di
if
fi
ic
ca
at
ti
io
on
ns
s
d
du
u
R
RC
CP
P
e
et
t
r
ra
ap
pp
pe
el
l
d
de
e
b
bo
on
n
u
us
sa
ag
ge
e
s
su
ui
it
te
e
à
à
d
de
es
s
n
no
ot
ti
if
fi
ic
ca
at
ti
io
on
ns
s
d
de
e
r
ré
és
su
ur
rg
ge
en
nc
ce
e
d
de
e
d
dé
él
li
ir
re
es
s
e
et
t
d
d’
’é
éc
ch
he
ec
cs
s
t
th
hé
ér
ra
ap
pe
eu
ut
ti
iq
qu
ue
es
s.
.
Depuis Mars 2004, en France, 39 cas de résurgences de délires ou d’hallu
que des échecs thérapeutiques sous rispéridone LP ont été l’objet de notifications
spontanées. Par ailleurs 3,3% des patients inclus dans l’étude de phase IV DEPIST ont
présenté des résurgences de délires ou rechutes. Plusieurs questions on
suite à l’ensemble de ces observations : variabilité inter-individuelle
semaines par rispéridone orale insuffisant en terme de durée
? Possibilité d’utiliser du
Risperdal Consta* chez des patients nécessitant de fortes doses de rispéridone orale
variabilité pharmacocinétique et/ou pharmacodynamique ?
Au vu de ces données et des questions posées, la Commission nationale de
pharmacovigilance a proposé d’ouvrir une enquête officielle de pharmacovigilance.
Pour l’instant, le RCP du produit a été modifié, on peut retenir :
● L’administration de la rispéridone per os doit être poursuivie pendant les
premières
semaines de traitement par RISPERDAL CONSTA* à la posologie efficace
utilisée avant le passage à la voie injectable.
● La posologie initiale de RISPERDAL CONSTA* d
oit tenir compte de la dose de
rispéridone orale reçue avant l’instauration du traitement injectable. Il faut noter qu’entre
4 mg et 6 mg/jour
de rispéridone orale, la dose recommandée de RISPERDAL
CONSTA* est de 50 mg tous les 14 jours.
● Un traitement par RISPERDAL CONSTA* n’est pas recommandé
traités par rispéridone orale à des posologies supérieures à 6 mg car n’ayant
évalué chez ces patients.
● RISPERDAL CONSTA* doit être administré uniquement
avec l’aiguille sécurisée
Needle-Pro* 20G fournie dans le conditionnement.
● Lors de la préparation de la suspension, le flacon doit
être agité vigoureusement
pendant au moins 10 secondes jusqu’à l’obtention d’une suspension homogène.
● Si le produit n’est pas injecté immédiatement après reconstitution,
suspension
est indispensable en agitant la seringue horizontalement et vigoureusement
avant l’injection car le produit sédimente rapidement.
Lettre aux prescripteurs, Laboratoires Janssen-Cilag, Juillet 2006
Commission nationale de Pharmacovigilance du 31/01/2006. Procès verbal.
Afssaps/ http://afssaps.sante.fr
V
VI
IG
GI
I-
-P
PH
HA
AR
RM
MA
A Bulletin d’informations pharmaceutiques
Service Pharmacie
N° 6 / Octobre 2006 Centre Hospitalier Spécialisé du Jura
Rédacteurs : Christel Chalmendrier (Poste 1284) et Guy Martin (Poste 1397)
E
ED
DI
IT
TO
OR
RI
IA
AL
L
Voici deux ans maintenant
que nous éditons ce bulletin,
il est donc grand temps de
faire un premier bilan.
Pour nous, des questions se
posent : ce bulletin
contribue-t-il à une meilleure
déclaration des effets
indésirables médicamenteux
graves ou inattendus ?
Permet-il au prescripteur
d’être mieux informé sur les
effets indésirables et les
interactions ? Contribue-t-il à
garder à celui-ci son esprit
critique vis-à-vis d’un
nouveau médicament
toujours « encensé » par son
fabricant lors de la mise sur
le marché ?
Nous attendons vos réponses
avec impatience.
V
VE
EI
IL
LL
LE
E
S
SA
AN
NI
IT
TA
AI
IR
RE
E
C
Ce
es
s
d
de
er
rn
ni
ie
er
rs
s
m
mo
oi
is
s
o
on
nt
t
é
ét
té
é
m
mi
is
s
e
en
n
l
li
ig
gn
ne
e
s
su
ur
r
l
le
e
s
si
it
te
e
i
in
nt
te
er
rn
ne
et
t
d
de
e
l
l’
’A
Af
fs
ss
sa
ap
ps
s :
● Traitement Hormonal Substitutif de la ménopause. Actualisation des
recommandations et de l’information à destination des femmes. Juillet 2006.
● Guide « Médicaments et Grossesse » : le premier livret qui concernait les
anxiolytiques et les hypnotiques s’enrichit des Neuroleptiques et des
Antiparkinsoniens anticholinergiques. Mai 2006.