Communiqué de presse. Un traitement innovant « SMILE » de Zeiss efficacement adapté sur plus de 80.000 yeux. La chirurgie réfractive micro-invasive est de plus en plus appliquée pour la correction des yeux par laser chez les myopes. Aux États-Unis, les essais en clinique sont très répandus. Deux ans après le lancement international, le traitement « SMILE » développé par Zeiss, est devenu la troisième génération des corrections oculaires par laser. Entre-temps, plus de 80.000 yeux furent mondialement traités et avec succès grâce à la chirurgie réfractive micro-invasive ; méthode qui promet une prévisibilité améliorée des résultats de la correction des yeux sans pour cela devoir procéder à une incision dans la cornée. L’agence FDA (Agence Fédérale américaine pour la sécurité et la qualité de chaîne alimentaire) a agréé les prolongations des périodes d’essais en clinique. JENA, Allemagne 04.02.2014. Le traitement « SMILE » développé par Zeiss pour des opérations réfractives, veut dire : « SMall Incision Lenticular Extraction » (extraction d’une lenticule par une petite incision). Il rassemble la dernière technologie du traitement du laser femto-seconde par une extraction précise de la lenticule d’où toute correction oculaire micro-invasive se rendra possible. Au contraire du LASIK (LASIK signifie LASer In situ Kératomileusis, qui signifie littéralement « sculpture cornéenne interne au laser ».) qui nécessite une incision d’une lamelle cornéenne. Par la suite, la lamelle cornéenne est rabattue, ce qui facilitera le traitement par le laser SMILE sans devoir recouper de lamelle. Le laser femto-seconde de Zeiss crée un plan de coupe dans la cornée : la lenticule. Le tout se déroule à l’intérieur de la cornée. Cette ‘lenticule’ est ôtée par une petite ouverture. Le laser excimer ne sera pas nécessaire dans ce cas. « Par le traitement SMILE, les ophtalmologues ont pour la première fois un traitement réfractif à leur disposition qui offre aux patients des excellents avantages ‘presque’ sans intervention : la structure de la cornée reste quasi intacte ; la prévisibilité de la correction oculaire est très juste. Les résultats convainquent de plus en plus les docteurs et patients dans tout le monde entier » nous dit le Docteur Ludwin Monz, président et directeur-général de la société Car Zeiss Meditec. Un de ces docteurs est le Dr Detlev R.H. Breyer de la cliniqueBreyer & Kaymak à Dusseldorf. Étant donné que nos patients sont traités individuellement et sur base moins invasive, SMILE est une annexe précieuse au portefolio des traitements effectués dans notre clinique. Les demandes concernant ce traitement s’accroissent grâce aux recommandations de patients satisfaits ayant subi une intervention SMILE. Le traitement SMILE est décrit dans les publications scientifiques comme étant un « traitement prévisible, efficace, et sans risque » quel que soit l’âge du patient. Le Docteur Jesper Hjortdalm de l’hôpital universitaire Aarhus au Danemark affirme dans une de ses études sur 670 yeux de 335 patients myopes, que le traitement SMILE dans ces trois dernières catégories, n’est en aucun cas inférieur au traitement « Lasik » . Il lui fut attribué la médaille de Waring, une médaille de reconnaissance pour une contribution exceptionnelle au journal de la chirurgie réfractive. Le traitement SMILE qui suit la période de l’opération, s’avère être supérieur à la méthode du « Lasik » : selon des études récentes, on constate moins d’infection après un traitement SMILE et le processus de guérison de la cornée n’en sera que meilleur. Le problème du syndrome de l’œil sec, qui apparaît souvent après une correction au laser, diminue aussi après un traitement SMILE. Ainsi nous informe le Professeur Dan Z. Reinstein de la « clinic Vision » de Londres dans divers écrits. « Étant donné que le trajet des nerfs de la cornée est resté en grande partie intact, le traitement SMILE est un des traitements le moins invasif de tous les traitements réfractifs. Différentes études nous démontrent que le syndrome de « l’œil sec » est rarement un des effets secondaires en comparaison avec le « Lasik ». Les corrections réfractives pour lesquelles on utilise la technologie du laser, ont démontré que cette méthode offre à certains patients le luxe de continuer à vivre sans porter de lunettes. Ces dernières années, le développement de cette technologie vise surtout à contrôler les risques du traitement. La chirurgie réfractive micro-invasive peut maintenant être définie comme un traitement de 3ème génération, après les traitements comme le PRK (« PRK = Kératectomie Photo Réfractive») en le Lasik. Il s’agit d’un traitement qui procure un minimum de chirurgie et où la cornée reste au maximum intacte. Le traitement fut mondialement lancé en septembre 2011 ; il est entre-temps bien introduit en Europe, en Chine, en Inde. Aux États-Unis, des périodes d’essais cliniques sont en cours. Les premiers résultats furent présentés en avril 2013 par le Dr Jon Dishler, instructeur médical américain concernant l’étude du visuMax IDE. En juillet 2013, la FDA (Agence Fédérale américaine pour la sécurité et la qualité de chaîne alimentaire) approuve l’accroissement des périodes d’essais cliniques. « Sur les 79 premières personnes qui furent traitées au SMILE sur base d’une bonne sécurité et d’efficacité, on constate que d’après les résultats révélés (qui ont été déposés à la FDA), celle-ci approuve l’extension des études avec une équipe complète de 360 personnes. Ceci est une importante phase pour l’étude » nous dit le Dr Dishler pendant la réunion annuelle de l’Académie Américaine d’Ophtalmologie (AAO) à la Nouvelle Orléans en début novembre. En décembre 2013, la FDA approuve une prolongation de la période d’essais y compris pour la myopie allant jusqu’à -10 de dioptrie. La période d’essais a débuté aux États-Unis en juin 2012. Le Dr Disher présenta les premiers résultats en avril 2013. Jusqu’aujourd’hui, 255 patients furent traités dans le cadre de la période d’essais dans 5 centres différents des États-Unis. En dehors des États-Unis, plus de 300 chirurgiens ont exercé le traitement SMILE dans plus de 150 centres dans 38 pays.