Bulletin trimestriel du service Symétrie

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Bulletin trimestriel du service Symétrie
Mise à jour trimestrielle des portefeuilles Symétrie
31 décembre 2016
Survol des marchés
Actions canadiennes : Le marché boursier canadien a terminé l’année sur une bonne note avec son quatrième trimestre consécutif en territoire positif. L’indice composé
S&P/TSX a produit 4,5 %. Les secteurs des services financiers (+11,5 %), de l’énergie (+7,0 %) et des produits industriels (+5,3 %) ont affiché les meilleurs rendements,
tandis que les soins de santé (-28,6 %), les matériaux (-6,2 %) et les services de télécommunication (-2,8 %) ont produit les rendements les plus décevants.
Actions américaines : L’indice S&P 500 a produit 3,8 % en dollars américains et 5,8 % en dollars canadiens au cours du trimestre. En dollars américains, sept des dix
secteurs ont affiché des rendements positifs, avec en tête les services financiers (+21,2 %), l’énergie (+7,3 %) et les produits industriels (+7,2 %). L’immobilier (-4,4 %),
les soins de santé (-4,0 %) et la consommation courante (-2,0 %) ont affiché les pires rendements.
Actions internationales : L’indice MSCI EAEO a produit 7,1 % en monnaies locales et 1,3 % en dollars canadiens. La zone euro est le marché qui a affiché le meilleur
rendement en dollars canadiens, soit 3,5 %, tandis que Hong Kong a enregistré un des pires rendements, soit -7,1 %. Les marchés émergents étaient en baisse, avec
l’indice des marchés émergents MSCI produisant -2,2 %. L’Inde, la Chine et la Corée du Sud ont affiché des rendements négatifs, tandis que la Russie a produit un
impressionnant 21 % pour le trimestre.
Revenu fixe : Le marché du revenu fixe canadien, représenté par l’indice obligataire universel FTSE TMX Canada a produit -3,4 %. Les obligations à rendement élevé
continuent d’être la catégorie d’obligations la plus solide pour l’année avec l’indice BofAML US High Yield Master II produisant 1,9 % en dollars américains pour le
trimestre. Les obligations mondiales, mesurées par l’indice Citigroup World Broad Investment Grade en monnaies locales, ont produit 2,7 % pour le trimestre.
Devises : Au cours du trimestre, le dollar canadien a été solide contre le yen, l’euro et la livre, qui ont reculé de 11,3 %, de 4,1 % et de 2,1 % respectivement. Le dollar
américain s’est raffermi contre le dollar canadien et a gagné 2,4 %.
Marchés des titres à revenu fixe
3 mois
CUM
1 an
3 ans
5 ans
10 ans
Indice obligataire universel
FTSE TMX Canada
-3,4
1,7
1,7
4,6
3,2
4,8
Indice des obligations à
rendement réel FTSE TMX Canada
-4,6
2,9
2,9
6,2
1,4
5,1
Indice BofA Merrill Lynch des
obligations américaines à
rendement élevé Master II ($ CA)
1,9
17,5
17,5
4,7
7,3
7,3
Indice mondial général Citigroup
d’obligations de catégorie
d’investissement ($ CA)
-2,7
3,3
3,3
4,0
3,5
4,3
22 000 $
Indice BofA Merrill Lynch des obligations américaines à rendement élevé Master II ($ CA)
Indice des obligations à rendement réel FTSE TMX Canada
Indice obligataire universel FTSE TMX Canada
Indice mondial général Citigroup d’obligations de catégorie d’investissement ($ CA)
20 313 $
18 000 $
16 432 $
15 959 $
15 240 $
14 000 $
10 000 $
6 000 $
Déc. 06 Déc. 07 Déc. 08 Déc. 09 Déc. 10 Déc. 11 Déc. 12
Déc. 13 Déc. 14 Déc. 15 Déc. 16
Marchés des actions
3 mois
CUM
1 an
3 ans
5 ans
10 ans
Indice composé S&P/TSX
4,5
21,1
21,1
7,1
8,2
4,7
Indice S&P 500 ($ CA)
5,9
8,1
8,1
17,7
21,1
8,5
Indice MSCI EAEO ($ CA)
1,3
-2,0
-2,0
6,8
13,1
2,7
Indice MSCI marchés
émergents ($ CA)
-2,1
7,7
7,7
5,7
7,4
3,6
Source : Morningstar, 31 décembre 2016.
25 000 $
20 000 $
15 000 $
Indice S&P 500 ($ CA)
Indice composé S&P/TSX
Indice MSCI marchés émergents ($ CA)
Indice MSCI EAEO ($ CA)
22 555 $
15 859 $
14 287 $
13 011 $
10 000 $
5 000 $
Déc. 06 Déc. 07 Déc. 08 Déc. 09 Déc. 10 Déc. 11 Déc. 12 Déc. 13 Déc. 14 Déc. 15 Déc. 16
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Sommaire du rendement1
Revenu fixe
• Dans l’ensemble, les rendements obligataires ont augmenté au cours du trimestre, ce qui a entraîné des rendements négatifs pour la composante du revenu fixe des
Portefeuilles Symétrie.
• La répartition des portefeuilles dans les obligations à rendement élevé a ajouté de la valeur, car ces obligations poursuivent une hausse entreprise en février et
constituent la catégorie d’actifs obligataires la plus performante pour le troisième trimestre consécutif. Notre décision de réduire l’exposition aux obligations a aussi
ajouté de la valeur. Pour les Portefeuilles Symétrie de revenu prudent à croissance, une répartition plus élevée en obligations gouvernementales a nui à la performance,
car elles comptent parmi les obligations les plus touchées par les rendements en hausse.
• Pour ce qui est des gestionnaires, malgré les rendements absolus négatifs, la majorité des gestionnaires d’obligations de Symétrie ont affiché une bonne performance au
cours du trimestre d’un point de vue relatif, car ils ont été en mesure d’accroître leurs gains individuels par rapport à l’indice repère ou de réduire les pertes. Il convient aussi
de souligner que les différents mandats de l’équipe du revenu fixe Mackenzie, y compris le rendement réel, le rendement élevé, les obligations canadiennes, les obligations
à taux variable et les obligations mondiales ont tous ajouté de la valeur. Le mandat d’obligations canadiennes de 1832 a aussi offert une performance solide.
Actions
• L’exposition en actions des Portefeuilles Symétrie a offert une contribution positive pendant le trimestre.
• La répartition stratégique plus élevée du portefeuille dans les marchés à l’extérieur du Canada et des États-Unis, ainsi qu’une exposition aux devises gérée pour
atténuer les effets d’un dollar canadien solide ont contribué au rendement. De plus, notre décision tactique d’augmenter l’exposition en actions pour les Portefeuilles
Symétrie de revenu prudent à croissance a aussi ajouté de la valeur. Par contre, notre exposition sous-pondérée en actions japonaises et notre exposition surpondérée
dans les actions des marchés émergents ont entravé le rendement.
• Pour ce qui est des gestionnaires, la plupart des gestionnaires d’actions ont produit des rendements absolus positifs, mais leurs résultats relatifs ont été mitigés. Nous
avons observé une performance solide pour certains de nos mandats de valeur, dont le mandat d’actions canadiennes de l’équipe de valeur toutes capitalisations de
Mackenzie et le mandat d’actions américaines de Manulife. Notre mandat d’actions mondiales, géré directement par l’équipe de répartition de l’actif, a aussi affiché
un rendement solide, car il favorise fortement à l’heure actuelle les actions de valeur. Les mandats d’actions mondiales gérés par l’équipe des stratégies systématiques
Mackenzie et l’équipe Ivy Mackenzie ont, entre autres, affiché une performance décevante. Le mandat de moyennes capitalisations américaines de l’équipe de
croissance Mackenzie a aussi offert une performance décevante.
3
mois
CUM
1
an
3
ans
5
ans
10 Depuis le
ans lancement
Portefeuille revenu
fixe Symétrie2
-2,2
3,4
3,4
3,9
3,1
3,8
3,9
Portefeuille revenu
prudent Symétrie3
-0,5
5,1
5,1
5,1
s.o.
s.o.
5,0
Portefeuille prudent
Symétrie4
0,0
5,3
5,3
5,5
6,6
s.o.
8,2
Portefeuille équilibré
Symétrie5
0,9
5,0
5,0
5,9
8,0
s.o.
8,3
Portefeuille croissance
modérée Symétrie6
1,8
5,3
5,3
6,4
9,3
s.o.
8,8
Portefeuille croissance
Symétrie7
2,5
5,4
5,4
6,8
10,6
s.o.
9,4
Catégorie Portefeuille
actions Symétrie8
4,0
5,3
5,3
7,5
12,4
s.o.
4,8
Fonds de série F.
Date de lancement le 29 mars 2004.
3
Date de lancement le 12 décembre 2012.
4
Date de lancement le 24 février 2009.
Date de lancement le 22 décembre 2008.
Date de lancement le 5 janvier 2009.
7
Date de lancement le 4 février 2009.
8
Date de lancement le 8 décembre 2006.
1
5
2
6
Équipe de répartition de l’actif Mackenzie
Alain Bergeron M.Sc., CFA, CMT
Vice-président principal
Todd Mattina, Ph.D
Économiste en chef et stratège
Andrea Hallett, CFA
Vice-présidente
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31 décembre 2016
Perspectives
Pour ce qui est de 2017, trois thèmes se démarquent pour l’économie et les marchés mondiaux. Le dosage de politiques du président désigné Donald Trump
favorables à la croissance et réflationnistes qui se concentrent sur d’importantes réductions d’impôt, l’infrastructure et la déréglementation restera le thème
dominant pour les marchés. Deuxièmement, le risque politique devrait rester une priorité pour les investisseurs, car un calendrier électoral chargé risque d’ouvrir la
voie à un accroissement des politiques populistes en Europe. Troisièmement, les marchés émergents devraient continuer de subir des pressions, surtout si la Chine
continue de rééquilibrer son économie fortement endettée.
Thème 1 : La « Trumponomie » domine les perspectives mondiales
Depuis l’élection surprise de Donald Trump, les marchés ont effectivement tenu compte d’une croissance et d’une inflation plus élevées en 2017. Les écarts de taux
se sont accrus, les marchés boursiers se sont redressés et l’inflation prévue a augmenté pour atteindre 2 %. Toutefois, les perspectives restent fortement incertaines
étant donné le manque de précisions à propos des politiques et de l’échéancier de leur mise en œuvre, et en raison de politiques controversées, potentiellement
défavorables à la croissance, dont le protectionnisme commercial et les limites imposées à l’immigration. Les précisions seront importantes pour les cours des actifs,
tandis que le marché évalue l’impact à court et à long terme sur la croissance et l’inflation. À court terme, trois facteurs se démarquent :
• Réduction des stimulants financiers. La mise en œuvre complète des programmes proposés par Donald Trump pourrait accroître le déficit budgétaire de 3,2 % à
6 % du PIB. Les stimulants financiers réels seront probablement fortement réduits par les républicains au Congrès réfractaires au déficit, ce qui limiterait le déficit
budgétaire à une augmentation d’environ 0,5 % à 0,75 % du PIB avec un impact sur la croissance moins important en 2017.
• Intensification graduelle des dépenses d’infrastructure. Le gouvernement fédéral américain dépense actuellement environ 100 milliards de dollars pour
l’infrastructure, alors planifier et mettre en œuvre 500 milliards à mille milliards de dollars de projets additionnels pendant une période de 10 ans, selon ce qui a
été proposé durant la campagne, serait très difficile en termes de sélection des projets et des partenaires privés. Une augmentation graduelle semble probable, ce
qui reporterait les avantages de croissance aux dernières années de la présidence de Donald Trump.
• Accélération des hausses de taux par la Fed. La mise en œuvre de stimulants financiers lorsque l’économie se rapproche du plein emploi pourrait raviver les
pressions inflationnistes, ce qui intensifierait le rythme des hausses de taux par la Fed, raffermirait davantage le dollar américain et resserrerait les conditions
financières. Ces facteurs pourraient ralentir l’activité économique avant même que le Congrès n’adopte les stimulants financiers.
Dans l’ensemble, nous nous attendons à une croissance d’environ 2,25 % en 2017, comparativement à environ 1,6 % en 2016.
À long terme, la réussite du programme de réforme économique de Donald Trump pour relancer la croissance dépendra de l’augmentation de l’offre dans
l’économie. Les réductions d’impôt, l’infrastructure et la dérèglementation présentent ce potentiel. Toutefois, trois facteurs pourraient contrebalancer les avantages
prévus, soit la restriction de l’immigration et le protectionnisme commercial, le désendettement en raison du budget double croissant et des déficits du compte
courant des États-Unis, et la politisation continue des principales décisions d’affaires à propos des investissements et de l’emploi.
À l’inverse du changement de politiques aux États-Unis, la zone euro et le Japon devraient continuer de se fier aux politiques souples des banques centrales. Dans
la zone euro, la politique monétaire accommodante, l’euro faible et le freinage fiscal réduit soutiendront l’expansion économique résiliente et une normalisation
graduelle de l’inflation. La croissance l’année prochaine pourrait légèrement ralentir pour atteindre 1,4 % comparativement à 1,6 % en 2016. Toutefois, l’Europe
pourrait être affaiblie en raison des risques politiques accrus (voir ci-dessous), des prêts douteux qui portent atteinte au système bancaire et du faible rythme des
réformes de l’offre qui sont d’une nécessité absolue pour revitaliser la croissance.
Au Japon, la croissance économique et l’inflation ont constamment déçu en partie en raison des progrès lents de la « troisième flèche » des réformes de l’offre du
premier ministre Abe. L’inflation reste près de 0 % et la croissance économique a déçu, malgré un assouplissement quantitatif énorme. Le Japon dispose d’une
marge de manœuvre limitée pour un stimulant financier, en raison de sa dette publique nette élevée d’environ 130 % du PIB. Le Japon devrait se fier à sa politique
monétaire extrêmement accommodante et au yen faible pour soutenir la croissance. La cible de 0 % de la Banque du Japon pour les taux d’intérêt à 10 ans pourrait
entraîner une forte augmentation des achats d’obligations si les taux des obligations mondiales continuent d’augmenter.
Thème 2 : Le risque politique et la montée du populisme
Le sentiment populiste pourrait se propager en Europe en 2017, car la France, l’Allemagne et les Pays-Bas tiendront des élections nationales. L’augmentation du
soutien pour les candidats et les politiques populistes menace de mettre à l’épreuve la cohésion de l’Europe et de renouveler les préoccupations à propos de
l’avenir de l’euro. Marine Le Pen, la leader nationaliste française, soutient un référendum sur la sortie de l’euro. En Allemagne, Angela Merkel semble vulnérable à
une réaction populiste contre ses politiques d’immigration. Étant donné le calendrier électoral à venir, les gouvernements européens pourraient aussi retarder les
réformes nécessaires et urgentes, dont le renforcement des banques européennes fortement éprouvées.
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31 décembre 2016
Thème 3 : Les pressions exercées sur la Chine et les marchés émergents
Même si la croissance des marchés émergents devait s’améliorer dans l’ensemble en 2017, le rendement différera selon les pays. De nombreuses économies de pays
émergents continueront de subir des pressions en 2017 en raison de la tempête parfaite, soit des taux d’intérêt mondiaux élevés, une croissance du commerce en
chute et un dollar américain solide. Ces facteurs pèseront le plus sur les pays ayant des positions faibles de la balance des paiements et des sociétés emprunteuses
surendettées qui ont contracté d’importantes dettes en dollars américains, tandis que les rendements des capitaux propres commençaient à reculer. Le rythme
rapide récent des sorties de capitaux privés de nombreuses économies émergentes constitue une autre préoccupation, car les rendements dans les pays développés
sont devenus de plus en plus attrayants.
Le yuan chinois pourrait aussi continuer de subir des pressions en raison du dollar américain solide et des inquiétudes grandissantes à propos de la croissance
économique en ralentissement et d’une montagne de dettes de sociétés. La Chine a géré la dévaluation du yuan en puisant dans ses réserves de change, qui avaient
déjà reculé de près de mille milliards de dollars depuis un sommet de quatre mille milliards de dollars au milieu de 2014. L’intervention continue de la banque
centrale pourrait entraîner un resserrement des liquidités intérieures et un ralentissement de la croissance du crédit, qui ont été essentiels à la croissance de la
Chine. Le pays pourrait aussi nécessiter des contrôles de change plus stricts pour aider à gérer les sorties de fonds. Avec une dette totale d’environ 250 % du PIB,
l’économie chinoise surendettée reste vulnérable à un désendettement plus rapide et à une augmentation des prêts douteux, ce qui exerce des pressions à la baisse
sur la croissance.
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de la stratégie d’investissement recommandée par le service de répartition
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sont fondés sur le rendement annuel composé historique total de chacun
des fonds participants et tiennent compte des variations de la valeur unitaire
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30950 1/17
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