_____________Remerciements
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Remerciements
Cette thèse a officiellement un auteur, moi. On dira : “c’est la thèse de Luis Fidalgo”
et après on ajoutera : “Elle est bien” ou “Ce travail ne vaut pas grande chose”. Je n’en sais
rien de ce que l’on dira. Mais, je sais une chose : je ne serais jamais arrivé là par mes propres
et uniques moyens. Bien évidemment, dans cette thèse il y a beaucoup d’efforts, beaucoup de
temps, beaucoup de pertes, beaucoup de doutes et d’angoisses qui me sont propres. Mais
dedans, il y a aussi la sueur, la peur et des morceaux de vie d’autres personnes. Certaines
d’entre elles m’ont aidé par responsabilité morale, d’autres (exceptionnelles) par intérêt,
d’autres par solidarité, les plus nombreux par simple amitié. Il y a aussi ceux —rares
heureusement— qui m’ont mis de battons dans les roues. Mais, dans ces moments finaux où
le ciel se dégage et où ma vie reprend, je n’ai pas envie de penser à ces derniers. Il vaut mieux
dédier ces premieres pensées soulagées à tous ceux qui m’ont aidé, soutenu, bercé, corrigé,
appris, aimé, guidé, nourri, soigné, encouragé et fait confiance. J’essaie ici de leur rendre
hommage, tout en sachant que ce n’est pas avec ces quelques pages que je pourrais restituer la
valeur de ce que j’ai reçu. À toutes et à tous, et plus particulièrement à María Esther Pita, à
Daniel Aslanian et à Jean-Louis Olivet, je dédie humblement ce travail.
Anecdote
Un jour, Pascal Pelleau est arrivé dans mon bureau et il m’a offert un grand sourire,
une tablette de chocolat (72% cacao) et un tube de comprimés de vitamine C.
Cité en vers libres
Lieu de vie,
cité de rencontres.
Javier Tomás, Marta Zomeño, Daría Terrádez
l’esprit de la découverte
des premiers temps brestois,
Ronan Ar Guen, Stéphane Queau, Gilles Premel-Cabic
années phares
d’intégration
et association,
María Esther Pita, Saleta Dios, Carolina Lanchas, Isabel Pan