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La réponse immunitaire innée
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Nous avons décrit :
une homologie des sous-populations de phagocytes mononucléés entre plusieurs vertébrés à sang chaud ;
les différences d’expression de certains récepteurs PRR (pattern recognition receptors) et des cytokines associées
selon les segments de l’intestin du porc.
Nous avons étudié la réponse immunitaire innée à différents agents pathogènes, à leurs molécules ou à des
immunostimulants chez les espèces animales suivantes : surtout les bovins, les ovins, les porcins et la poule, parfois la
souris. La réponse inflammatoire au niveau des organes d’entrée des agents infectieux comme l’intestin, le poumon, la
mamelle et la peau, a particulièrement attiré notre attention. Nous avons notamment mis en évidence la fonction
immunitaire des cellules épithéliales qui tapissent ces organes.
Nous avons analysé le déclenchement, la modulation et les mécanismes de la réponse de l'hôte, le plus souvent innée, in
vitro ou in vivo : sur des cellules en culture, chez les animaux ou les plantes. Il s’agissait d’une réponse :
aux infections par :
o les bactéries Escherichia coli intestinales, causant des mammites ou pathogènes
aviaires, Salmonella, Staphylococcus ;
o des virus influenza seuls ou associés :
à la bactérie Mycoplasma ;
au virus du syndrome reproducteur et respiratoire porcin ;
o les parasites Cryptosporidium, Entamoeba, Toxoplasma, Plasmodium ;
à l’action :
o de différentes flores intestinales chez le poussin à l'éclosion ;
o d'un sucre extrait d’algues vertes ;
o de traitements d'infections mammaires à E coli ;
o d’immunostimulants chez le nouveau- ;
o d'éléments des bactéries E coli ou Staphylococcus ;
o de souches virulentes ou non du parasite Toxoplasma ;
o d’une mycotoxine.
Nous avons constaté que la réponse innée à ces stimulations dans les organes ou les cellules épithéliales :
augmente la perméabilité de l’épithélium intestinal ;
peut avoir un effet synergique avec une réponse adaptative à un antigène protéique dans la glande mammaire
bovine ;
se déclenche après une régulation positive de récepteurs Toll like (TLR) et / ou NOD ;
se manifeste par :
o l’expression de cytokines et de chimiokines ;
o le recrutement de cellules inflammatoires ;
se régule ou se modifie avec :
o l’expression de protéines particulières, les protéines SOCs ;
o des levures du genre Saccharomyces ou des prébiotiques ;
o une souche de bactérie lactique.
Nous avons comparé la réponse immunitaire innée d'animaux sensibles et résistants à des infections par :
Salmonella dans les cellules intestinales de la poule ;
Staphylococcus dans des cellules épithéliales mammaires ovines.
Rédaction : Marion Duchet-Suchaux
Date de création : 19 Décembre 2013
Mise à jour : 21 Décembre 2016
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Les cellules dendritiques et la réponse immunitaire adaptative
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Nous avons caractérisé les cellules dendritiques chez les porcins, les ovins, la poule ou la souris ou l'homme, avec leur :
homologie entre des espèces de vertébrés à sang chaud ;
production de cytokines après stimulation par un vaccin BCG recombinant ;
rôle avéré ou possible dans :
o la réponse immunitaire innée contre Cryptosporidium chez le nouveau- ;
o le transport du parasite Toxoplasma ;
collaboration avec les cellules NK au cours de la réponse immunitaire induite par le vaccin contre le cancer du col
de l'utérus ;
flexibilité en fonction de l'antigène ;
maturation et leur capacité à activer ou orienter la réponse cellulaire T après
une infection par la bactérie Salmonella, ou l’action de sécrétions d'Haemonchus.
Nous avons aussi étudié la réponse immunitaire adaptative, avec :
la séroréactivité au lipopentapeptide de Mycobacterium avium paratuberculosis chez des enfants à risque pour le
diabète de type I ;
l’identification d’épitopes :
o de protéines de Mycobacterium ;
o neutralisants du polyomavirus du carcinome de Merkel ;
o spécifique du polyoside O des Brucella ;
sa synergie avec la réponse innée dans la glande mammaire bovine ;
sa stimulation par :
o la profiline du parasite Toxoplasma ;
o de nouveaux vaccins ;
o des infections dues aux :
bactéries Mycobacterium et Salmonella ;
virus influenza faiblement pathogènes, à celui de l’hépatite E, à des polyomavirus humains
et à des variants d’un papillomavirus oncogène ;
o le microbiote intestinal ;
sa régulation potentielle ou avérée par des :
o des neutrophiles recrutés précocement ou tardivement après infectionpar la bactérie Mycobacterium ;
o des cellules T régulatrices induisant une protection contre une infection par le parasite Toxoplasma.
Analysée chez les ovins, les caprins, les bovins la souris ou l’homme, cette réponse est locale et/ou systémique, et
spécifique des antigènes. Elle aboutit à :
la production d’anticorps ;
la prolifération des cellules in vitro ;
la production de cytokines orientant la réponse cellulaire T ;
des corrélats immunologiques de la réponse de la mamelle à l’ovalbumine ;
la mise en place d'effecteurs cellulaires T.
Rédaction : Marion Duchet-Suchaux
Date de création : 20 Decembre 2013
Mise à jour : 03 Janvier 2017
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La réponse immunitaire du nouveau-
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Nos travaux ont aussi porté sur les particularités de l’immunité du nouveau- chez les bovins, les ovins, les porcins ou la
souris :
après une infection à Cryptosporidium et/ou une immunostimulation, avec :
o la caractérisation de cellules de l’immunité innée et adaptative précoce dans l’intestin d’agneaux et de
foetus ovins ;
o le rôle protecteur :
des cellules dendritiques intestinales ;
de la flore intestinale ;
o la comparaison avec la réponse immunitaire innée des adultes ;
en étudiant sa protection grâce à l’immunité maternelle transmise par le colostrum et le lait et stimulée par des
levures du genre Saccharomyces en suppléments alimentaires ;
décrivant les facteurs innés et environnementaux impliqués dans le développement du système immunitaire
intestinal du porcelet.
Rédaction : Marion Duchet-Suchaux
Date de création : 03 Janvier 2017
Mise à jour : 03 Janvier 2017
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