IV
REMERCIEMENTS
Merci à Tom Bauler, mon directeur de thèse, pour cette opportunité de recherche, pour m’avoir
suivie dans les orientations que j’ai données au traitement de cet objet hybride au fil de ces six
années de recherche ; conseiller au long cours, contribuant tantôt à renforcer, tantôt à apaiser les
vents de paniques qui secouèrent par moment et jusqu’au bout ce navire qui pensait ne jamais
accoster.
Merci aux membres de mon comité de thèse, Marie-Françoise Godart, Edwin Zaccaï, Markku
Lehtonen, pour leurs relectures et leurs conseils avisés au fil des comités. Merci à Isabelle Bruno
d’avoir accepté de les rejoindre dans mon jury de thèse ; merci à tous pour ce temps et cette énergie
intellectuelle investie pour appréhender le travail d’une autre.
Merci à Pierre Ratinaud et Pascal Marchand pour leurs conseils personnalisés concernant le
logiciel Iramuteq. Merci à Christophe Lejeune pour l’organisation du séminaire sur l’analyse textuelle
et à Corinne Gobin pour sa disponibilité qui m’a permis de découvrir la lexicométrie. Je remercie
également toutes les personnes qui m’ont accordé de leur temps dans le cadre des entretiens.
Merci à tous les (ex-)collègues du CEDD, et amis, qui ont défilé durant toutes ces années et ont
tous contribué à faire évoluer mon regard sur la recherche et, parfois, sur la vie. Notamment, merci à
Léa, pour son humour caustique et son sens de l’indignation, à Nicolas pour son regard critique et
aiguisé. Merci à Sophie pour sa rigueur, à Grégoire pour ses foisonnantes idées, à Jérôme pour son
enthousiasme et à tous les trois pour leur soutien dans le cadre des activités pédagogiques. Merci à
Romain pour sa grande classe en toutes circonstances, à Léonard pour sa gentillesse, à Krystel de
m’avoir secouée quand il fallait, à Margaux pour sa sollicitude, à Marine pour son énergie. Merci en
particulier à Georgia, Aude, Géraldine et Valentine, en vrac pour leur optimisme et leur grand cœur,
leur écoute et leur soutien, leurs conseils sur le fond et sur la vie, les discussions et les fous rires !
Merci aux collègues et professeurs de l’IGEAT pour leur soutien spontané, leur écoute, les
discussions au détour d’un couloir ou de la machine à Café. Merci à Martine et à Céline pour leur
bienveillance et leur soutien.
Merci aux amis de toujours, pour leur soutien et leur sollicitude et les bons moments partagés,
même après de longs mois de silence radio. Merci à tout le ‘DES’ (et à la nouvelle génération !), pour
ces soirées et week-end haut en couleur, en chansons et en boustifailles. Merci en particulier pour
l’écoute, le soutien et la confiance en moi que vous avez su m’insuffler.
Merci à tous ceux qui m’ont laissé libre accès à une petite parcelle d’eux-mêmes, leur chez eux,
afin que je puisse m’y enfermer dans ma réflexion, sans interférences, loin de tout et de tous. Ces
séjours dans vos pénates m’ont été très utiles pour pouvoir avancer dans la thèse, et ont aussi été
une manière de me rapprocher de vous.
Merci à toute la famille, ce cocon à la fois protecteur et émancipateur. Merci à Selim pour sa
présence, son humour et les grandes ‘accolades’. Merci à Papy, Mamy et Marraine, qui, comme
quelques enseignants, ont marqué mon enfance et mon adolescence d’un goût prononcé pour
l’étude, l’envie de comprendre et d’être fière du travail abouti. Merci à Sophie pour ton écoute et
ton empathie, ton esprit critique et posé. Merci à papa pour ce goût de la recherche, du débat, du
jusqu’au-boutisme intellectuel que tu m’as transmis. Merci à maman pour ton incroyable énergie et
la volonté d’aboutir, sans flancher, que tu m’as transmise également. Merci enfin à Pierre d’être là,
toujours, mon point d’attache pour ne pas me perdre, ma maison, mon refuge.