PAUSE SANTÉ MENTALE N O V E M B R E - D É C E M B R E 2 0 1 4 Dans ce numéro : Les déboires de Trina Deux nouvelles 2 venues à l’Éveil Le trouble panique 3 Le deuil 4 Jeu récréatif ou jeu 5 pathologique? La santé mentale chez les aînés 6 La luminothérapie 7 Calendrier des activités 8 Commanditaires 10 L’Éveil, ressource communautaire en santé mentale situé au 240 rue Roy à Coaticook, QC J1A 1J3 Téléphone: 819 849-3003 — Courriel : [email protected] — Site Internet : www.eveilcoaticook.ca Les déboires de Trina Je m’appelle Trina, je suis une jeune maman de 3 enfants et je vis bien tranquillement dans ma maison avec mon chum, mon chien et mes enfants. Je donne l’impression de pouvoir tout maitriser à la perfection, mais il m’arrive aussi de ne pas être excitée a l’idée de me lever en pleine nuit pour ramasser du vomi. Je manque de sommeil, d’énergie et je dois souvent choisir entre trois besoins primaires : manger, dormir ou me laver. Les 30 minutes que j’ai pendant la sieste du matin doivent être utilisées à leur plein potentiel, comme pour faire du lavage, plier du linge, cuisiner des purées ou un bon souper, laver le plancher, arroser les plantes, m’occuper du jardin ou prendre des rendez-vous chez le vétérinaire, le mécanicien, la coiffeuse (pour 5 personnes en même temps), le dentiste, le chiropraticien, l’optométriste, le médecin (eh oui, des enfants tombes malades parfois). Malgré ce que chaque maman peut croire, elle n’est pas seule dans la même situation et quelquefois, ça peut faire du bien d’en parler. C’est pour cette raison qu’à l’Éveil, nous avons eu l’idée de créer un groupe pour les nouvelles mamans qui ont besoin de partager les moments difficiles qu’elles vivent et les différentes problématiques qu’elles peuvent avoir en lien avec leur santé mentale. Pour plus d’informations, contactez Stéphanie au 819 849-3003. Deux nouvelles venues à l’Éveil! 2 Chers membres, Le printemps passé, j’ai intégré la belle équipe de l’Éveil de façon précipitée, donc je n’ai pas eu l’occasion de me présenter officiellement à vous. J’ai le plaisir d’occuper le poste de secrétaire administrative. Je côtoierai donc fréquemment la plupart d’entre vous, ce qui me réjouit particulièrement. Cela fait déjà quelques semaines que je suis présente à l’Éveil. Je voulais profiter de la publication du journal pour me présenter en tant que stagiaire. Je suis présentement aux études en techniques de travail social au Cégep de Sherbrooke, en deuxième année. Je serai à l’Éveil jusqu’à la mi-décembre. Je suis une personne passionnée par l’actualité et les enjeux sociaux. Ainsi, dans le cadre de ce journal bimensuel, j’apporterai quelquefois ma touche personnelle par le biais d’articles de réflexion et d’information en lien avec ces thématiques. Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture et un agréable temps des fêtes! Le domaine de la santé mentale m’intéresse grandement et le fait de pouvoir expérimenter et apprendre l’approche alternative est un atout très captivant pour moi. Je suis ravie d’avoir la chance de côtoyer chacun d’entre vous. Mélissa Boissé, secrétaire Jade St-Martin, stagiaire en administrative techniques de travail social Le trouble panique Certaines personnes qui ont une ou des attaques de panique règlent le problème en changeant leurs habitudes de vie. La panique est une réaction normale devant un danger imminent. Elle déclenche un ensemble de réactions physiques et émotives. Cependant, lorsque cette réaction survient en l’absence de tout danger réel, c'est alors une attaque de panique. Une attaque de panique est une période d'anxiété ou de malaise marquée par une peur ou une terreur associée à des sensations physiques qui sont normalement présentes dans une situation de catastrophe imminente. L'attaque de panique peut survenir dans tous les troubles anxieux et est accompagnée par des symptômes physiques ou émotifs parmi les suivants : Palpitations Rythme cardiaque accéléré Transpiration, sueurs froides Sensation d’étouffement ou de manquer d’air Étranglement Douleur thoracique Vertige ou tête vide Peur de s’évanouir Engourdissement et picotements Nausées, troubles digestifs ou intestinaux Faiblesse musculaire, jambes molles Frissons ou bouffées de chaleur Peur de perdre le contrôle, de devenir fou Peur de mourir Dépersonnalisation, sensation d’être déconnecté de son corps Impression d’être en dehors de la réalité D'autres personnes vont vivre dans la crainte d'une prochaine attaque de panique et s'affolent au moindre symptôme. La peur d'avoir une attaque est suffisante pour en déclencher une réellement. C'est alors devenu un trouble panique. Le trouble panique, caractérisé par des attaques de panique imprévisibles et répétées, touche davantage les femmes que les hommes et se produit plus souvent à l'adolescence ou au début de l'âge adulte. Ce trouble peut quelquefois se présenter avec une agoraphobie, c’est-à-dire d’éviter volontairement des endroits ou des situations qui sont en lien avec d’antécédentes attaques de panique. Traitement La thérapie cognitivo-comportementale est l’un des traitements les plus efficaces pour le trouble panique. Les objectifs sont de diminuer la fréquence et la gravité des attaques de panique et de réduire l’incapacité fonctionnelle liée à l’anxiété. La thérapie permet à la personne de reconnaître les manifestations d’une attaque de panique, développer des habiletés de gestion de ses réactions paniques (relaxation, respiration) et corriger les pensées irréalistes rattachées à ses attaques. Il peut arriver que certaines personnes combinent un traitement pharmacologique (antidépresseur, anxiolytique) à la thérapie afin de mieux contrôler leur anxiété. Sources: http://anxiete.fr http://www.autre-rive.ca/pdf/troubles_anxieux.pdf http://www.fondationdesmaladiesmentales.org/la-maladiementale.html?t=2&i=4 Karine Meunier, technicienne en travail social 3 Le deuil D’une manière générale, le deuil permet de surmonter un évènement critique de la vie. Il est souvent associé à la mort. Par contre, de nos jours, il est bon d’établir des nuances dans ce qu’implique le deuil. En plus de la perte d’un être cher, le terme deuil peut exprimer la transition d’une étape, d’une période de vie, la perte d’un objet, de la santé, indiquant qu’un changement a eu lieu. Les étapes du deuil Cependant, le deuil survenu suite à la mort d’une personne aimée est l’une des plus grandes épreuves de la vie. Nous sommes tous confrontés un jour ou l’autre à la mort et à toutes les questions qu’elle entraîne. Pour 5% d’entre eux, il va provoquer des complications au niveau de la santé physique, mentale, de l’équilibre psychologique et des relations sociales. Le deuil est l’étape liée à la souffrance ressentie suite à la perte d’un être cher. Parfois d’une manière subite, d’autres fois l’adaptation à la perte d’un être cher se fait sur une longue période. Mais peu importe de quelle façon la mort s’annonce, le choc reste la première réaction. Dans la majorité des cas, le deuil suit normalement son cours et arrive à son terme. Chaque deuil est différent en raison de la relation unique qui unissait l’endeuillé à la personne disparue. Pour être bien mené, le suivi du deuil nécessite un accompagnement adapté à la personne, prenant en compte son vécu afin qu’elle puisse découvrir et mettre à contribution ses ressources intérieures pour vivre au mieux cette période. Le deuil nécessite souvent le soutien de l’entourage et peut être réalisé par le biais de tout moyen d’expression créative (dessin, écriture, sculpture…). Une bonne façon de traverser un deuil est de comprendre ce que l’on vit. Les travaux d’Élizabeth Kübler-Ross font ressortir cinq étapes d’un deuil. Ces étapes expliquées plus loin suivent une séquence, mais des retours en arrière peuvent être possibles selon le cheminement de l’endeuillé. 4 Choc, déni : À l’annonce d’un malheur, notre première réaction n’est pas de l’accepter, mais de le refuser. C'est lorsqu'on quitte cette courte phase de deuil que la réalité de la perte s’installe. Colère : Phase caractérisée par un sentiment de colère face à la perte. La colère est un sentiment provoqué par notre impuissance face à la perte, mais permet d’exprimer son désarroi. La culpabilité peut se manifester. Marchandage : Phase faite de négociations, de chantage. La personne essaie de gagner soit du temps, soit une compensation financière ou autre, parfois en marchandant avec Dieu, les assurances, les autorités… Dépression : Phase plus ou moins longue caractérisée par une grande tristesse, des remises en question... Nous essayons d’accepter la perte dans la réalité, mais à l’intérieur de nous, nous renforçons nos liens avec la personne disparue parce que nous ne l’avons plus dans la réalité objective. La fin du deuil est proche. L’acceptation : Dernière étape du deuil. La réalité de la perte est beaucoup plus comprise et acceptée. L’endeuillé peut encore vivre de la tristesse, mais il retrouve peu à peu son plein fonctionnement. On se surprend à regarder vers l’avenir. Diane Carrier, psychoéducatrice Sources : http://www.rose-croix.org/revue/deuil/article.html, Le Deuil, étape de vie http://fr.wikipedia.org/wikiW/Deuil Jeu récréatif ou pathologique? Le jeu récréatif La personne se fixe des limites et les respecte. Lorsqu’elle joue, elle se divertie. Quand elle joue, elle est consciente qu’elle dépense de l’argent. Pour elle, le jeu reste un jeu. Le jeu pathologique La personne a une obsession pour le jeu, elle y pense constamment. Elle augmente ses mises et tente de se refaire. Elle est incapable d’arrêter ou de diminuer le jeu. Elle ressent des symptômes du manque. Elle utilise le jeu comme un moyen de fuite. Elle ment à son entourage. Si l’un de vos proches se retrouve dans la catégorie du joueur pathologique et que vous en souffrez, contactez-nous au 819 849-3003. 5 La santé mentale chez les aînés Depuis plusieurs années, le vieillissement de la population est un phénomène très présent au sein de la société québécoise. Pourtant, la santé mentale des personnes âgées est encore trop souvent un sujet tabou et méconnu. Par exemple, « Saviez-vous que les personnes de plus de 85 ans présentent les taux de suicide les plus élevés de tous les groupes d’âge au Canada ? » (Healthcaretransformation.ca). Certains croient à tort qu’il est de l’ordre naturel des choses que la vieillesse entraîne une souffrance psychologique. Pourtant, à un âge avancé comme à tout autre âge, la santé mentale est davantage liée à différents facteurs de risque et de protection. La vieillesse comporte évidemment son lot d’événements pouvant affecter la vie et l’équilibre émotionnel de la personne âgée. Citons par exemple la retraite qui peut engendrer une perte de repères et le sentiment d’être devenu inutile pour la société. La vieillesse rime aussi avec les deuils d’êtres chers, la maladie, la perte graduelle d’autonomie et de capacités. L’isolement, la diminution de la participation sociale et le sentiment d’être rejeté par sa communauté sont des facteurs de risque majeurs pouvant fragiliser la santé mentale des aînés. Certains projets d’envergure ont été créés pour contrer ces réalités, tel que le projet Municipalités amies des aînés, mis en œuvre par l’Organisation mondiale de la Santé. La MRC de Coaticook prend part à cette initiative présente partout dans le monde. Municipalités amies des aînés encourage les collectivités à adapter leurs structures et leurs services aux personnes âgées, afin que leur milieu soit inclusif, sécuritaire et épanouissant. Dans notre région, plusieurs actions concrètes ont été effectuées, comme la création d’un Café des aînés à Dixville, visant à regrouper les personnes âgées et à leur permettre de demeurer actives et de s’impliquer dans la communauté. De tels projets sociaux sont précieux pour la valorisation de nos aînés. Le second élément d’une importance capitale afin de veiller à la bonne santé mentale des personnes âgées est le respect de leur dignité. Les stéréotypes et la discrimination sont malheureusement souvent vécus par les individus souffrant de maladie mentale. Mais là où le bât blesse encore davantage, c’est qu’à cela s’ajoute l’âgisme, c’est-à-dire les stéréotypes sociaux et la discrimination basés sur l’âge. L’âgisme est un phénomène apparenté au racisme ou encore au sexisme, puisqu’il correspond à une vision négative d’un groupe de personnes en raison d’une caractéristique précise (l’âge dans ce cas-ci). Ainsi, une personne âgée ayant un problème de santé mentale souffre de deux différents types de jugements sociaux à la fois. La dévalorisation des aînés fait tellement partie intégrante de notre culture qu’il peut même devenir ardu de la percevoir, mais en y prêtant attention, on constate rapidement qu’elle est omniprésente. La maltraitance sous ses diverses formes (violence physique, sexuelle, exploitation financière, etc.) cause d’énormes dommages, mais également de simples discours banals impliquant de façon parfois indirecte que les aînés sont des fardeaux et qu’ils « retombent en enfance ». Une personne âgée, qu’elle ait toutes ses capacités cognitives et physiques ou non, demeure un être pourvu d’un important vécu et qui mérite ainsi respect et considération. Finalement, une mesure essentielle dans le but de prévenir l’épuisement émotionnel des aînés est d’offrir du soutien aux proches aidants. Ces derniers sont des personnes prenant soin au quotidien d’un proche ayant des besoins particuliers. De nombreux aînés sont des proches aidants. Par exemple, dans un couple âgé où l’un des deux conjoints est atteint d’une maladie (Alzheimer, cancer, etc.), ce sera souvent l’autre conjoint qui lui apportera son aide jour après jour. Ceci peut mener à un épuisement et c’est pourquoi chaque individu doit y être attentif et sensible afin de prévenir les souffrances émotionnelles et psychiques des personnes âgées. À plus grande échelle, le gouvernement qui, rappelons-le, dirige les programmes sociaux et services qui en découlent, a également un pouvoir d’agir afin de soutenir au mieux les proches aidants. Nous avons tous un rôle à jouer face à cet enjeu de société. Suite p.7 6 Si vous êtes personnellement touché par un sujet présenté dans le texte précédent, voici quelques ressources utiles : APPAMM-ESTRIE (aide aux proches de personnes souffrant de problèmes de santé mentale) : 819 563-1363 AQDR (défense de droits) : 819 849-7716 DIRA-Estrie (maltraitance) : 819 346-0679 Ligne Aide Abus Aînés : 1 888 489-ABUS (1 888 489-2287) Société Alzheimer Estrie – Coaticook : 819 238-5128 Mélissa Boissé, secrétaire administrative Sources : http://www.mentalhealthcommission.ca/Francais/system/ files/private/document/MHStrategy_Strategy_FRE.pdf http://www.mentalhealthcommission.ca/Francais/issues/ seniors http://whqlibdoc.who.int/ publications/2007/9789242547306_fre.pdf?ua=1 http://www.aqps.info/media/documents/ PresentationdeKarineDufour.pdf http://ville.coaticook.qc.ca/fileadmin/documents_siteweb/ fichiers/pdfs/Pol_Fam-Coaticook_WebSP.pdf http://www.mrcdecoaticook.qc.ca/fr/famille/documents/ Delaineauptitdernier-Hiver2013.pdf http://healthcaretransformation.ca/fr/taux-de-suicide-a-lahausse-chez-les-aines-au-canada/ La dépression saisonnière et la luminothérapie L’arrivée de l’automne amène des changements importants : les journées raccourcissent, ce qui entraîne une diminution de l’exposition à la lumière naturelle à laquelle nous sommes habitués durant la période estivale. Le manque de lumière apporte une diminution de la sérotonine (hormone produite par l’exposition à la lumière du jour qui favorise l’état d’éveil et qui touche l’humeur et l’émotivité), et alors la mélatonine, aussi connue sous le nom de l’hormone du sommeil, devient plus présente chez les gens. Ce débalancement peut amener l’apparition de plusieurs symptômes comme une baisse d’énergie, un état de fatigue chronique, de l’irritabilité, une perte d’intérêt, des troubles de concentration, une baisse de la libido, un désir de s’isoler, des sentiments dépressifs et/ou une augmentation de l’appétit, surtout envers les aliments sucrés. Malgré que ce phénomène soit normal et habituellement de courte durée, il arrive que celui-ci persiste et entraîne de la difficulté dans la réalisation des tâches quotidiennes; ce problème devient alors plus sérieux et il est possible qu’il s’agisse d’une dépression saisonnière (ou trouble affectif saisonnier), une forme de dépression récurrente. Ce type de dépression est passager et les symptômes disparaissent progressivement au printemps. Bien que ce trouble soit temporaire, parfois, les symptômes persistants et les difficultés rencontrées lors de la réalisation des occupations de la vie quotidienne sont assez importants pour qu’il y ait nécessité de trouver un traitement. La luminothérapie est un traitement de premier choix pour aider à diminuer les symptômes de la dépression saisonnière. C’est un traitement de substitution au manque de lumière en s’exposant, pour des durées déterminées, à une lampe dont l’intensité lumineuse est de 10 000 lux (unité de mesure de l’éclairement lumineux). De plus, elle induit un réglage du cycle de la mélatonine grâce à une hausse de la sécrétion de la sérotonine, ce qui amène la personne à ressentir un sentiment de bien-être, à avoir plus d’énergie, une meilleure humeur, une meilleure concentration et une augmentation de la libido. Combinée avec une bonne alimentation et de l’exercice physique, la luminothérapie est un traitement privilégié pour contrer ce type de dépression. Par ailleurs, la luminothérapie n’est pas seulement utilisée pour traiter la dépression saisonnière. Elle est aussi employée pour aider les travailleurs de nuit, contrer les troubles du sommeil, le décalage horaire (changements de fuseaux horaires et l’adaptation qui suit), la fatigue chronique, les états dépressifs pré-accouchement et postaccouchement et même le syndrome prémenstruel. De plus, il est même documenté que cette technique a aidé avec la fatigue due à la sclérose en plaques et à la maladie de Parkinson ainsi qu’avec la prise/perte de poids. Pour pallier le manque de lumière pendant la saison hivernale, l’Éveil vous offre la possibilité d’emprunter des lampes ou de venir les utiliser sur place. Nous suggérons de commencer l’exposition avant l’apparition des symptômes de la dépression saisonnière, si possible. Pour toute information, n’hésitez pas à contacter une des intervenantes au 819 849-3003. Jade St-Martin, stagiaire en techniques de travail social 7 Novembre lundi mardi mercredi 3 4 5 jeudi 6 9h30 Groupe nouvelles mamans ven. 7 Fermé 13h30 Atelier de croissance personnelle (l’isolement) 10 13h30 Aquarelle 11 12 13h30 Encoche 13 9h30 Groupe nouvelles mamans 10h Groupe d’échange 13h30 Atelier de croissance personnelle (la confiance en soi) 17 Fermé 13h30 Aquarelle 18 19 13h30 Encoche 20 9h30 Groupe nouvelles mamans 12h Dîner communautaire 13h30 Atelier de croissance personnelle (l’autonomie) 24 13h30 Atelier de croissance personnelle (les limites) 14 13h30 Film 21 Fermé 13h30 Encoche 25 10h Groupe d’échange 13h30 Rendez-vous du mois : TDAH 26 13h30 Aquarelle 27 *9h à 16h Décorations de Noël : souper et 28 dessert servis sur l’heure du dîner : veuillez aviser avant le 26 nov. de votre intérêt. Fermé 13h30 Aquarelle Le rendez-vous du mois Le rendez-vous du mois se veut une rencontre pour aborder différents sujets ou problématiques qui peuvent susciter des questionnements. Cette rencontre a lieu le 4e mardi de chaque mois à 13h30. Les membres de l’Éveil, ressource communautaire en santé mentale sont les bienvenus pour y assister. Lors de cette rencontre, différentes informations sont transmises aux participants sur la thématique du jour. Les commentaires et interrogations de chacun alimentent la discussion. Le prochain rendez-vous aura lieu le 25 novembre et le sujet abordé sera le Trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité. Le mois d’octobre dernier était le mois de sensibilisation à cette problématique de plus en plus diagnostiquée. Nous en profiterons donc pour vous informer sur le TDA/H. Coût membre 8 PRIX Dîner 3.00$ Soupe et dessert 2.00$ Décembre lundi mardi mercredi jeudi ven. 1 2 3 4 5 9h Atelier de croissance personnelle (les mécanismes de défense) 8 9h30 Groupe nouvelles mamans Fermé 13h30 Restauration de guirlandes et de couronnes* 9 13h30 Aquarelle 10h Groupe d’échange 10h Création de bijoux* 10 13h30 Encoche 11 12 Fermé 13h30 Confection de centres de table* 15 16 17 18 19 9h30 Groupe nouvelles mamans 12h Dîner de Noël Fermé 13h30 Film de Noël * Inscription nécessaire pour participer et utiliser le matériel. Coût à déterminer sur place. Pour la période des fêtes, l’Éveil sera fermé du 19 décembre au 4 janvier. Passez un bon temps des fêtes! Solution du mot croisé du journal de septembre et octobre Horizontal : 3. adolescence 4. travail 6. exposition 7. irritabilité 9. incertitude 11.dépression Vertical : 1. relaxation 2.sommeil 5.anxiolytiques 8. cinq 10. TCC Coût membre Dîner PRIX 3.00$ 9 Nos commanditaires 2014-2015 45, rue Main Ouest Coaticook (Québec) J1A 1P3 Tél. : 819 849-6337 Téléc.: 819 849-9283 Merci! PAUSE SANTÉ MENTALE, novembre-décembre 2014 Rédaction: Lyne Lacroix, Diane Carrier, Stéphanie Vachon, Karine Meunier, Mélissa Boissé, Jade St-Martin 10