Psychologie clinique DEFINITION : Branche de la psychologie qui

Psychologie clinique
DEFINITION :
Branche de la psychologie qui se fixe comme but l’investigation en profondeur de la
personnalité considérée comme une singularité.
SOMMAIRE :
1 – Technique du Care
2 - La Personnalité
3 – L’approche humaniste (notion d’incongruence) - Rogers
4 – Concept de besoin de considération positive et d’estime de soi
5 – Neurasthénie
6 – Méthode cathartique
7 – Symptôme
8 – Approche historique du comportement pathologique : Hystérie – La folie
9 - La désinstitutionalisation et les types d’hospitalisation
10 - 1850- 1911 : La Psychiatrie classique de Kraepelin
11 - La psychiatrie dynamique de Bleuler
12 - La Psychopathologie
13 - Le Normal et le pathologique – Psychopathologie.
14 - Psychopathologie des psychoses
15 - La psychopathologie de l’enfant
16 – l’Approche existentielle en psychopathologie
17 - L’Ethno-psychopathologie
18 - La Psychanalyse
19 - Développement psychosexuel selon la psychanalyse
20 – Freud : topiques, inconscient, Œdipe - Psychanalyse
21 – Les Psychonévroses de défense : Névrose et psychose
22– La Relève de Lacan ( Psychiatre)
23 – Distinction besoin / demande / désir
24 – Thérapies cognitives et comportementales : TCC
25 - La Systémie
26 - Les Psychoses
27 - Les Psychoses brèves
28 - La Schizophrénie
39 - Les Classifications de la schizophrénie.
30 - Le Modèle biologique de la schizophrénie + Prise en charge
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31 - Le Modèle psychanalytique de la schizophrénie + Prise en charge
32 - Le Modèle cognitif de la Schizophrénie + Prise en charge
33 - Le Modèle Systémique de la schizophrénie + Prise en charge.
34 - Les troubles de la perception
35 - Les Troubles Anxieux
36 - Les troubles de l’humeur
37 - Les troubles des conduites alimentaires
38 - Addiction, dépendance, alcoolisme, troubles liés à une substance
39 - La Paranoïa
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1 – Technique du Care
Carole Gilligan. Ethique du Care : prendre soin, attention portée à ..
Maternage - genré. Abnégation, Travail dévalorisé, transitoire.
2 - La Personnalité
Masque de théâtre.
Phénomène complexe qui caractérise la façon dont une personne se comporte
habituellement.
Traits de personnalité remplace le caractère : disposition : se conduire de manière
particulière dans un contexte particulier.
2 approches complémentaires de la personnalité :
Idiographique : ce qui est spécial et se représente par des signes. Personne unique
avec des caractéristiques propres.
Nomothétique : étude des différences entre individus en fonctions des traits de
personnalité.
3 – L’approche humaniste (opposée à l’approche psychanalytique)
2nd moitié du 19ème siècle. Rogers et Maslows.
Humanistes : les personnes ont la capacité de ressentir et de comprendre ce qui est à la
source de leurs troubles et de leurs souffrances.
Approche centrée sur la personne et non le problème, dans l’ici et maintenant. Thérapie
brève. Quête de la conscience de soi, réorganisation des processus de pensée ou la
disparition des symptômes n’est qu’un bénéfice parmi d’autres.
Rogers : Approche subjective et basée sur la conscience.
Homme foncièrement bon. L’être humain est la valeur suprême de toute chose.
Conception de l’être humain basée sur l’expérience.
Échelles rendant compte de la manière d’agir de façon autonome, la capacité à s’accepter
( estime de soi ), à accepter sa vie affective et à faire confiance aux autres.
But ultime : libérer l’homme de toute servitude. Aider à prendre conscience de sa liberté
de choisir. L’obstacle à vaincre est une distance intérieure de soi à soi.
Soi : idée de se connaître.
Le Client est autonome, responsable, digne de confiance. La personne seule peut se
réparer pour peu qu’elle soit dans un climat conciliant.
Manifester de l’empathie au client et pénétrer dans son monde. Ecoute bienveillante.
Centrée sur les perceptions, sentiments, l’observation de soi, le processus de
changement.
Lorganisme tend à réaliser ses potentialités : l’auto actualisation permet de maintenir la
congruence entre les expériences et le soi.
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Lêtre humain a une liberté intérieure : le libre arbitre ! Il n’est pas entièrement soumis
au déterminisme de l’inconscient ni de l’environnement social et physique.
État d’incongruence : tension, conflit entre l’expérience et la conception soi. En
opposition à la congruence ou l’individu est en accord avec lui-même.
Maslow : tout être tend vers la réalisation de soi, l’actualisation. Pyramide des besoins.
Les besoins supérieurs ne deviennent conscient que quand les besoins inférieurs ont
étés réalisés.
4 – Concept de besoin de considération positive et d’estime de soi (approche
humaniste)
Besoin de considération positive : Rogers : Besoin de chaleur, sympathie, respect et
d’acceptation ; l’enfant doit recevoir une considération positive de manière
inconditionnelle
Quand les considérations sont conditionnelle (si), l’enfant n’a pas le droit de ressentir de
haine or l’ambivalence fait parti de nous. Cette interdiction peut entraîner un déni, rejet,
une déformation des expériences menaçant le moi.
Concept d’estime de soi associé à un éventail de comportements. Permet d’être sur de
soi, créatif et autonome. Milieu familial et environnement ont un rôle mais pas la
richesse, le niveau socioculturel ou la profession.
Interactions parents-enfants dans l’estime de soi : capacité à accepter l’enfant, discipline
et pratiques éducatives démocratiques.
5 – Neurasthénie
Maladie du 19ème siècle. Perte de l’énergie sur fond de fatigabilité. (fatigue industrielle).
Condition dont les symptômes incluent la fatigue, l'anxiété, les maux de tête, la déprime.
Réaction pathologique et transformations de l’esprit liés à un événement extérieur.
6 – Méthode cathartique ( Psychanalyse)
Méthode qui consiste à faire tomber les barrières psychologiques du patient
par hypnose pour réveiller les souvenirs traumatiques enfouis, à l'origine de troubles,
générant ainsi une décharge émotionnelle à valeur libératrice, l'abréaction.
Les sujets non hypnotisables ont des réactions de défense : se souvenir de rien…
Janet : règle des associations libres.
Freud : aider à reconnaître et exprimer ce qui viendrait de l’inconscient soulagement.
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7 - Symptôme
Siège d’un conflit. « trace ombilicale psychique »
Signal d’alerte de bonne santé et de souffrance.
Tension entre la propension à satisfaire ses pulsions sans restriction et la nécessité
d’introduire un manque dans cette course à la jouissance.
8 – Approche historique du comportement pathologique : Hystérie – La folie
Grec. Maladie féminine liée à l’utérus.
Platon : utérus vivant possédé par le désir de faire des enfants.
Hippocrate : -460 à –356 avant JC : démarche scientifique, cause naturelle des maladies
mentales. Rupture avec les pratiques religieuses. Serment d’Hippocrate.
Théorie des humeurs : bile jaune (colériques), bile noire (dépression, mélancolie), sang
(gaie, confiant, optimiste) et phlegme (personne léthargique).
1ère classification : mélancolie / Manie / frénésie.
476 – 1450 : Moyen-âge : conception médiévale diabolique : démonologie, exorcisme :
corps-âme des femmes possédées par quelque chose de plus fort qu’elles. Diable :
ancêtre de l’inconscient freudien. Esprit de charité.
15-17ème : Renaissance : en faire une maladie organique de la femme ou une maladie
psychique ?
Marteau des sorcière (les identifier), début des tests.
Wier critique l’accusation des femmes de sorcières.
Erasme : fonction démasquante et démystifiante des travers de la société.
16 ème
: Maison des insensés.
17-18 ème : Grand enfermement : La folie est une expérience douloureuse de l’être, on
enferme le fou dans les asiles (et les délinquants sociaux) sous des critères sociaux et
non médicaux. Désordre social à exclure. Les asiles sont la pour soigner ou surveiller ?
Foucault : bio pouvoir sur les êtres vivants.
1656 : décret royal pour l’hôpital général.
Descartes : esprits animaux, humeurs.
On soigne par des saignées, vomissements.
18 ème :
Pussin : enlève les chaînes aux fous et les traite humainement.
Pinel : Émergence pensée scientifique, objective la folie en constituant un savoir ->
Maladie mentale. Séparation du mental et pathologique.
Pinel (humaniste) -> traitement moral et sanitaire et non plus juridique. L’aliénation
mentale n’a pas de base anatomo-psychologique.
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