introduction
Un cancer est un tissu nouveau qui se forme lorsquune ou plusieurs cellules de notre
organisme subissent une transformation et russissent se reproduire anarchiquement. Ces
cellules sont capables denvahir les tissus avoisinants et de prolifrer distance de leur
localisation initiale, formant ainsi des mtastases. Il sagit alors dune tumeur maligne, par
opposition la tumeur bnigne, qui se contente de refouler les tissus voisins sans les envahir.
La croissance anarchique dun cancer est rendue possible par lautonomisation plus ou moins
complte des cellules qui le composent. Elles ne sont plus sous la dpendance du tissu
dorigine et chappent aux mcanismes qui dterminent en gnral la croissance des cellules et
des tissus. Ltendue de nos connaissances en cancrologie progresse continuellement, et lon
connat maintenant la chronologie de la maladie cancreuse, en particulier la lsion cellulaire
initiale qui entrane son dveloppement, ainsi que certains facteurs susceptibles de provoquer
ou de rvler cette lsion. Ces connaissances nous ont permis dlaborer diffrentes stratgies dans
son traitement, qui dpendent notamment de la nature du cancer, de son tat volutif au
moment du diagnostic. Les dcouvertes les plus rcentes, concernant les modifications de
certains gnes qui peuvent prcder lapparition de la tumeur, suscitent un grand intrt et
amneront vraisemblablement les mdecins adopter une nouvelle approche thrapeutique La
cellule cancreuse a/Dfinition les cellules cancreuses par dfinition, sont des cellules qui ont
subit des prolifrations anormales et anarchiques au sein dun tissu sain de lorganisme
formant ainsi des mtastases, ces cellules drivent toutes dune mme clone cellule initiatrice du
cancer qui a acquis certaines caractristiques lui permettant de se diviser indfiniment.
b/caractristiques de la cellule cancreuse
La gntique cellulaire ltude des cellules cancreuse permet dexpliquer, non seulement la
croissance des cancers, mais aussi le pourquoi de leur apparition. Les anomalies acquises
sont transmises leur ligne. Il existe donc un supportgntique, responsable de la prennisation
et de la croissance de la tumeur. Quil existe un tel support ne signifie pas qune personne
transmette lanomalie gntique sa propre descendance, en tant quindividu, encore que cela se
produise dans quelques cas fort rares. On parle ici en effet de gntique cellulaire et non de
gntique humaine. Une production dsordonne les cellules cancreuses sont caractrises par
une dynamique de reproduction bien particulire. On remarque quelles adoptent un rythme de
multiplication bien suprieur celui des cellules de tissu dorigine. Par ailleurs, cette croissance
est anarchique et ne rpond aucune logique beaucoup de ces cellules vont en effet mourir,
faute de pouvoir bien tre bien oxygnes. Elles ont un aspect anormal leur noyau est souvent
volumineux et de taille irrgulire, et on constate frquemment la prsence danomalies
chromosomiques. On peut expliquer aussi la croissance dsordonne dune tumeur maligne par
la modification de la membrane des cellules. Les membranes cellulaires saines ont diverses
proprits qui permettent aux cellules de vivre en harmonie entre elles et avec lorganisme en
gnral. Lorsque lon fait se reproduire des cellules normales au laboratoire, on constate
quelles cessent automatiquement de se diviser ds que la couche cellulaire remplit le fond de
la boite. Le contact direct entre plusieurs cellules normales joue le rle dun signal qui entrane
une inhibition de leur reproduction. En revanche, des cellules cancreuses narrteront pas
spontanment leur multiplication Et vont alors se chevaucher elles ne se reconnaissent plus.
Enfin, les cellules cancreuses conservent parfois la proprit de synthtiser des substances
chimiques comme le feraient les cellules du tissu dorigine ainsi les cellules dun cancer
digestif peuvent secrter le mme mucus que les cellules normales mais souvent de manire
anormale. Il se peut aussi que les cellules cancreuses synthtisent des
nouvelles substances chimiques, dont le dosage permet de suivre lvolution de la tumeur au
cours de son traitement. Une lvation de ce taux peut ainsi tre un signe de rechute. c/aspects
cytologiques de la cellule cancreuse les aspects cytologiques de la cellule cancreuse
associent des modifications du noyau et du cytoplasme et mme de la membrane plasmique
altrations du noyau, cytoplasme et de la membrane plasmique c/les altrations du noyau
interphasique ce sont celles qu on observe le plus frquemment c/ taille des noyaux les
noyaux des cellules malignes cancreuses prsentent des variations de taille. Cest
lANISOCARYOSE. Le degr de lanisocaryose varie dun type de tumeur a lautre. Elle peut tre
Discrte, peine marque ou au contraire particulirement vidente avec des variations du simple
au quadruple ou plus, du diamtre nuclaire apparent c/ morphologie gnrale du noyau la
morphologie gnrale du noyau est plus perturbe, elle se caractrise par des modifications
densemble confrant des formes nuclaires anormales noyaux tirs, dforms, polylobs.. ou bien
par des altrations localises du contour nuclaire encoches plus ou moins profondes, plus ou
moins larges, indentations, protusions chromatiniennes. c/ texture chromatinienne la
modification de la texture chromatinienne est le plus fidle lment du diagnostic cytologique de
la malignit. Elle associe une frquente hyperchromasie par augmentation de la charge du
noyau en acides nucliques et une rpartition inhomogne de cette chromatine en granulations
ou en mottes de tailles ingales. En outre, la chromatine tend se condenser sous la
membrane nuclaire en lui donnant un aspect dpaississement irrgulier. c/ Aspects du nuclole
le nombre et le volume des nucloles dpendent du caractre fonctionnel de la cellule. Ils
augmentent dans les cellules malignes bien diffrencies et fonctionnellement actives
adnocarcinomes digestifs ou ovariens mais loppos ils ne sont pas apparents dans
les carcinomes indiffrencis et non fonctionnels carcinome in situ du col utrin.... Le caractre trs
anormal de la forme de ces nuclolesen massue, en haltres, en accent circonflexe... peuttre
une aide prcieuse dans le diagnostic cytologique de certains cancersex adnocarcinome
prostatique, sminome. c/ Altrations du cytoplasme les altrations du cytoplasme dpendent
essentiellement du degr de diffrenciation de la cellule maligne cellulaire et de son caractre
fonctionnel. Le cytoplasme est pauvre dans les cellules malignes peu diffrencies ou
indiffrencies. Par contre, le cytoplasme peuttre particulirement abondant dans les cancers
bien diffrencis. Caractres fonctionnels du cytoplasme Les adnocarcinomes mucoscrtants
possdent des cytoplasmes abondants creuss de larges vacuoles de secrtions parfois
pluriloculaires adnocarcinomes ovariens, adnocarcinomes du tube digestif Les carcinomes
malpighiens reproduisent la prolifration corne du revtement cutan, sur un mode caricatural
larges cellules malignes aux cytoplasmes orangs, kratiniss. Acquisition de proprits
phagocytaires Il nest pas rare de noter lenglobement par une cellule pithliale dune autre
cellule pithliale, de polynuclaires, dhmaties... Ultrastructure du cytoplasme Il nexiste aucun
critre spcifique permettant de reconnatre la nature maligne dune cellule. Les seules
modifications observes concernent la rarfaction des mitochondries, lhypertrophie de lappareil
de Golgi, et labondance des ribosomes. c/ Membrane cytoplasmique Cette membrane est
hrisse de microvillosits anormales et polymorphes. Le glycocallix est densifi, ce qui
tmoignerait des altrations de lagencement des glycoprotines membranaires. Les zones de
jonction sont galement altres, le plus souvent par dsintgration. Dans quelques cas,
cependant elles persistent comme dans les plages de parakratose des carcinomes
malpighiens. Lensemble de ces modifications morphologiques sont en rapport direct avec le
comportement de la cellule cancreuse.
les diffrents types du cancer la maladie du cancer associ une centaine de types de cancer,
mais les cancers les plus frquents sont les suivants /CANCER DE LANUS ET LE CANAL
ANAL Les cancers de lanus et du canal anal sont des cancers de type pidermode. Ils sont
donc de structure microscopique trs diffrent de celle des cancers du clon et du rectum qui
sont des adnocarcinomes. LES SIGNES Les signes dappel sont varis et il peut arriver quils
passent pour des hmorrodes pendant un certain temps. Le malade peut se plaindre de
dmangeaisons, de douleurs la dfcation ou dun tnesme. Il sagit de lapparition dun besoin
imprieux et douloureux daller la selle. Il se peut aussi que du sang vienne dposer sur les
selles au cours de la dfcation. Le diagnostic mdical sera ais, par lexamen minutieux de la
rgion, le toucher rectal et lanuscopie, celleci permet de plus deffectuer des biopsies. LE
TRAITEMENT Il sera essentiellement effectu par curiethrapie grce des aiguilles diridium si la
tumeur nest pas trop volumineuse. Dans les autres cas, on utilisera la radiothrapie au cobalt
sans dpasser la dose de Grays rads les doses suprieures entranent trop de squelles
douloureuses. / CANCER DE LESTOMAC Aprs tre rest pendant longtemps le premier
cancer masculin, sa frquence ne cesse de diminuer. Il nen reste pas moins trs grave et sa
rpartition diffrente dans divers rgions du mondeleve au japon par exemple laisse supposer
limportance de certains facteurs sans que lon ait russi les impliquer de faon
formellealimentaires fumage des aliments, prsence de nitrosamines gntiques groupe sanguin
A environnementaux rle de lamiante LES SIGNES Il sagit le plus frquemment dun homme de
plus de soixante ans, qui a de vagues douleurs pigastriques qui peuvent parfois simuler un
ulcre mais qui sont plutt tenaces , continues et non rythmes par les repas. Il sy associ une
perte de lapptit, prdominante pour les
graisses et les viandes, un amaigrissement prononc et parfois un dgot du tabac. Mais il peut
se dcouvrir un stade plus avanc, par la palpation de la tumeur abdominale ou lapparition dun
ganglion susclaviculaire ganglion de Troisier. Il se peut aussi qun vomissement de sang plus
ou moins digr hmatmse fasse pratiquer une fibroscopie et amne dcouvrir ce cancer. LES
EXAMENS COMPLEMENTAIRES Le TOGD, ou transit oesogastoduodnal, avec prise de
nombreux clichs radiographiques cous diverses incidences, permet souvent de porter le
diagnostic, mais il faut de toute faon effectuer une fibroscopie. Elle permet de voir
directement la tumeur et surtout deffectuer plusieurs biopsies de cette tumeur. Le bilan
dextension comprendra une tude biologique de la fonction hpatique complte par une
chographie hpatique et /ou par un scanner abdominal qui permettant davoir une ide trs
prcise de cet envahissement, sil existe. LE TRAITEMANT Cest un traitement chirurgical,
mais il sera prcd dune phase de Remise en tat dun malade qui souvent perdu du poids et qui
prsente une anmie du fait de ses saignements rpts. Celleci est fonde sur la ralimentation
parentrale, cestdire des perfusions de soluts nutritifs avec lesquels on obtient dexcellents
rsultats. Lintervention la plus courante est la gastrectomie totale, qui consiste enlever la
totalit de lestomac avec les chanes ganglionnaires qui lui sont rattaches. On rtablit ensuite
continuit par un montage spcial on ferme le moignon duodnal, puis on fait monter une anse
intestinale laquelle est abouch le moignon suprieur montage en Y Malgr un traitement
chirurgical prcoce, la mortalit reste leve, sauf dans les cas o le cancer est rest sous muqueux
premier stade dans la classification internationale. Les autres traitements namliorent pas le
pronostic. Cela pose un rel problme de sant publique au Japon, o lon a envisag de proposer
des fibroscopies systmatiques de dpistage. Les gastrectomiss sujets qui ont subit une
gastrectomie peuvent par la suite avoir des problmes de digestion, qui se manifeste
essentiellement par des malaises survenant aprs le repas. On peut
viter en fractionnant les repas, qui seront pauvres en sucres rapides. Enfin une mauvaise
absorption de certains nutriments pourra entraner des carences et/ou une anmie quil faudra
soigner. / CANCER DU FOIE Il convient dabord de distinguer les tumeurs primitives du foie,
qui sont essentiellement des hpatocarcinomes, et les tumeurs secondaires un autre cancer.
Il sagit alors de mtastases, qui ne seront pas voques ici. EPIDEMIOLOGIE L
hpatocarcinomes est trs irrgulirement rparti travers le monde sa frquence dans les zones
tropicales africaines est en effet fois suprieure celle rencontr dans les pays europens. Il est
galement trs frquent dans le sud asiatique et touche davantage lhomme que la femme. Il est
trs souvent secondaire une cirrhose et son lien avec lhpatite B est maintenant clairement
tabli. On incrimine aussi certaines toxines, notamment laflatoxine qui pollue la farine
darachide en Afrique et la lutoskyrine, qui pollue le riz en Asie. DIAGNOSTIC ET
TRAITEMENT Il est plus souvent dcouvert loccasion des douleurs abdominales, associes un
amaigrissement. La scintigraphie, lchographie, le scanner et/ou lartriographie hpatique sont
utiles pour prciser sa forme, sa localisation et sa vascularisation. Le dosage biologique de
lalphafoetoproteine permet de suivre son volution. Les possibilits de traitement sont
essentiellement chirurgicales elles dpendent de la taille et du sige de la tumeur. Certaines
associations chimiothrapeutiques se sont rvles partiellement efficaces, mais le pronostic
reste sombre. / CANCER DE LSOPHAGE Cest un cancer relativement trs frquent, il est
favoris par lalcool et le tabac. LES SIGNES Il se manifeste essentiellement par une
dysphagie difficult avaler, prdominant au dbut pour les aliments solides. Elle peut tre trs
discrte au dpart. Les autres signes possibles prsentent peu dintrt diagnostique car sont
tardifs ructation, hocquet , mtastases, ..
La dysphagie impose un examen par radiologie et surtout fibroscopie, qui permet deffectuer
des biopsies. Il est important de signaler que dans des cas il existe une autre localisation
cancreuse qui est aussi lie au tabac et lalcool. LE TRAITEMENT Lorsqu il est localis dans la
partie suprieure de loesophage, le traitement sera essentiellement radiothrapeutique, alors
que les cancers du tiers infrieur sont plutt confis au chirurgien. Les cancers du tiers moyen
peuvent bnficier des deux approches Lassociation est galement possible entre ces deux
traitements, mais les rsultats sont trs dcevants dans lensemble. Certaines quipes hospitalires
ajoutent ce traitement une chimiothrapie dont lefficacit n est pas prouve. / CANCER DES OS
Les tumeurs primitives des os par opposition aux mtastases, qui sont secondaires sont des
tumeurs relativement rares, et qui surviennent essentiellement chez les personnes jeunes,
volontiers en priode de croissance. Il faut les diffrencier du mylome, qui touche les
personnes ges et qui est une prolifration de plasmocytes cellules sanguines avec formation
de tumeurs osseuses Le cas le plus frquent est le sarcome ostogne, qui touche les
personnes jeunes entre et ans et particulirement le garon. LES SIGNES La douleur est le
signe qui le premier va faire dcouvrir la tumeur. Sa localisation prcise au niveau dun os des
membres lune de ses extrmits doit faire consulter, surtout si elle est tenace et rebelle aux
antalgiques. Parfois le mdecin pourra palper une tumfaction, mais de toutes faons, il faudra
effectuer un bilan complmentaire. Signalons quelle peut se dcouvrir au moment de la fracture
de los. LES EXAMENS COMPLEMENTAIRES La radiographie avec au besoin des coupes
tomographiques, permet de visualiser la tumeur, mais elle nen prcise pas le type. Il faudra
donc saider dune biopsie osseuse. Des radiographies pulmonaires et de tout le squelette
seront aussi pratiques pour rechercher une ventuelle extension mtastasique. LE
TRAITEMENT
Il ncessite une large exrse chirurgicale, car il nest pas trs sensible la radiothrapie. En
revanche, cette exrse est maintenant prcd et suivie de cures de chimiothrapie. Cette
nouvelle stratgie amliore sensiblement le pronostic de cette tumeur, autre fois dsastreux.
Parmi les autres formes histologiques, les chondrosarcomes tumeurs dveloppes aux dpens
du cartilage, chez les personnes de ans bnficient du mme traitement. En revanche, le
rticulosarcome et le sarcome dEwing rpondent la radiothrapie. / CANCER DU PANCREAS
Cest un cancer qui se dveloppe essentiellement dans la deuxime priode de la vie, plus
souvent chez lhomme. Il pourrait tre favorise par lexistence dune lithiase biliaire, dune
cirrhose hpatique ou dun diabte. Cependant lun des facteurs tiologiques les plus
vraisemblables demeure le tabac. LES SIGNES Sa gravit tient en partie au fait que cest un
cancer sournois, ne faisant pas parler de lui au dbut de son volution lorsque les signes
apparaissent, il est dj un stade relativement avanc. La douleur en est le signe principal, et la
position penche en avant permet de lattnuer, ce qui est assez caractristique du cancer du
pancras. Parfois cest lapparition dun ictre coloration jaune des tguments de la peau, ou dun
amaigrissement et dune grande fatigue. Enfin il se peut que la dcouverte dune mtastase soit
le premier signe de ce cancer. LES EXAMENS COMPLEMENTAIRES Les plus importants
sont lchotomographie et le scanner qui permettent de diagnostiquer la tumeur et den prciser
lextension. Dautres examens sont utiles comme la cholangiowirsungographie rtrograde qui
permet de visualiser lobstacle au cours dun ictre. Il sera parfois effectu une artriographie
slective, qui permet de discuter les possibilits chirurgicales. Dun point de vue biologique
llvation de lamylasmie et de lamylasurie est parfois retrouve. LE TRAITEMENT
Il est essentiellement chirurgical, mais ladministration dune chimiothrapie complmentaire est
souvent effectue fluoro uracile. Les rsultats sont trs dcevants Ce nest qu quelques type de
cancer, ce dernier regroupe pas mal de type, en citant le cancer broncho pulmonaire cancer
de la prostate cancer de la peau cancer du larynx cancer de col de lutrus cancer des ovaires
cancer du sein les traitements du cancer Les progrs dans la connaissance de la maladie
cancreuse ont amen les cancrologues revoir les modalits de traitement de cette maladie. Il
fut un temps ou la chirurgie en tait lessentiel, avec dans la plupart des cas, mais maintenant
les cancrologues amne proposer au malade des traitements diffrents, en associant souvent
plusieurs techniques la chirurgie, la chimiothrapie, la radiothrapie et dautre traitements. / la
chirurgie Elle garde toujours sa place dans le traitement du cancer. Ses objectifs diffrent en
fonction du type de la tumeur, de sa localisation, de son extension et des complications que
celleci peut entraner. On peut oprer une tumeur localise et de petite taille, dans le but de la
gurir dfinitivement. Cest par exemple le cas en ce qui concerne certains cancers de la peau.
Aprs leur ablation simple, ils ne font plus parler deux, la chirurgie a guri le malade. Il se peut
aussi que la chirurgie soit associe dautres traitements, dans des formes de cancer plus
volues, ou pour certaines localisations pour lesquelles le risque de dissmination est plus
grand. Dans ce cas, en enlevant la plus grande partie du tissu cancreux , la chirurgie permet
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