La longueur de Planck, intervalle élémentaire fossile qui mène au

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La longueur de Planck, intervalle
élémentaire fossile qui mène au proton
Dominique Mareau
Ingénieur-Chercheur
France
Ggsjournal.net/Science-Journals-Papers/Subjects/Unification Theories march 2013
[email protected]
Revision 1 dated March 07 2013
(See : note in conclusion)
Résumé
La paire électron-positron est très différente de tous les autres fermions. Dans le cadre
du modèle OSCAR, elle représente la dualité particulaire unique originelle. La symétrie
de l'univers s'organise autour d'elle. En faisant intervenir la très robuste notion de
localité on montre que la création originelle n'a pu se faire, avec une stricte parité, sur
celle seule énergie de 511 keV. L'expérimentation locale ne reflète pas la réalité de
l'univers. Une simple expérience de pensée (non locale) permet d'imaginer le Big Bang
comme résultant d'une séparation causale généralisée. Des paires d'électron-positron,
forment ainsi un front d'onde sphérique à distribution homogène,{+, ‒, +, ‒,...}. Dans
ces conditions de création non locale, les paires voisines se comportent entre elles
comme des bosons. Elles forment des pseudos condensats de Bose Einstein (BEC),
(neutrons et protons). La simple potentialité d'existence de cette création non locale
résout d'emblée les énigmes les plus fondamentales, telles que la cause de la gravitation,
de l'existence du proton, de la longueur de Planck, de la masse noire, de l'énergie
sombre, de l'antimatière et de la force forte.
Mot clés
non localité ; condensat de Bose Einstein (BEC) ; tachyon stochastique, boson
oscillateur du « rien », synchronisation de Huygens ; enthalpie ; mitose ; Fibonacci ;
nombre d'or ; fractal de Sierpiński ; gravitation ; séparation causale ; accélération de
l'expansion ; matière noire ; collisions de galaxies ; dualité ; causalité réciproque ; préquantique ; principe du rasoir d'Occam ; principe d'action nulle ; longueur de Planck.
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1.
La création non locale de paires d'électron-positron
On a vu [1] que l'électron est très différent de tous les autres fermions. Il est donc fondé d'inclure
cette paire dans l'expérience de pensée de création non locale. Toute la connaissance de la physique
des particules repose sur des expériences locales. On a notamment la statistique de FERMI, la loi
d'exclusion de Pauli et le condensat de Bose Einstein. Les théories construites sur ces bases n'ont ja mais été démenties, à juste titre, localement. La faille énorme tient justement dans le fait que la vali dité de ces expériences n'a jamais été testée dans un cadre non local. On a toujours considéré que, selon le principe cosmologique, que l'expérience locale restait toujours valide à grande échelle. Nous
allons montrer que ce principe est aussi naïf qu'imprudent. On doit néanmoins comprendre qu'au début du siècle dernier, on avait peu d'élément pour raisonner dans le cadre élargi de l'objet-univers. Ce
n'est plus le cas aujourd'hui car on dispose de très nombreuses observables cosmologiques. La fragmentation entre le local et le non local n'est plus permise car tout le monde a compris que les
échelles quantiques et cosmologiques étaient intimement imbriquées. L'expérience de pensée
consiste à imaginer des fronts d'onde sphérique en expansion supraluminique. Chaque front est peuplé de manière uniforme de particules de signature {+, ‒, +, ‒,...}. Peu importe, pour le moment, de
savoir pourquoi chaque paire est en cours de séparation causale. On voit de suite que les éléments
voisins (locaux), de signes opposés, sont amenés à se condenser. Le taux d'annihilation entre deux
voisins directs est fonction de l'angle que forment ces deux éléments voisins, par rapport au centre
de création.
Figure 1
Le taux d'annihilation entre voisins directs est fonction du nombre
de particules, présentes sur une demi circonférence.
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2.
La notion d'annihilation relative
La figure 1 montre qu'une annihilation de type binaire, entre un électron et un positron de la même paire, se
fait dans la condition expresse qu'il soient en opposition. Le taux maximum d'annihilation à 511 keV se
produit pour un recouvrement avec un angle π. C'est exactement ce qui se passe localement en laboratoire car
le photon résultant d'une annihilation entre un électron et un positron est implicitement relatif à un angle π.
En revanche l'annihilation relative entre voisins dans le cadre d'une création non locale avec séparation
causale, dépend de l'angle que forment ces deux voisins. L'angle élémentaire entre voisins direct est fonction
du nombre Np de particules sur la demi circonférence.
ϕ e = π ≈0
Np
(1)
Le taux d'annihilation élémentaire (entre voisins directs) est fonction de la même loi linéaire :
τ e =ϕ e = π ≈0
Np
(2)
On rappelle que selon [2] [3], ce nombre est égal à la racine carrée du nombre total présent sur la sphère 2D
du condensat de Bose Einstein, soit √ξ8 = ξ4 = 1044.
τ e =ϕ e = π4 ≈0
ξ
3.
(3)
La condensation locale et spontanée
La figure 1 montre le principe de deux condensats neutres (N) séparés d'un angle π et deux condensats
positifs, séparés du même angle. Cela montre bien :
- que la notion d'antimatière ne concerne que les seules particules élémentaires,
- que la création locale de baryon et anti baryon n'a aucun sens à grande échelle,
- que la création non locale de paires séparées causalement se traduit localement par des bosons,
- que protons et neutrons sont des pseudo condensats de Bose Einstein fait de bosons leptoniques.
4.
Pourquoi le proton a-t-il cette masse et pas une autre ?
On a vu avec [2], [3], [4] que le condensat de Bose Einstein (BEC) primordial était forcément instable. Cette
instabilité conduisait à une mitose selon la loi de Fibonacci et le nombre d'or associé. Le nombre de mitose
de BEC [6], spécifié à ξ2 correspond au nombre d'étoiles dans l'univers (10 22). Par définition, les intervalles
quantiques s'étirent d'un taux équivalent sur la première couche sphérique en 2D. Ainsi le proton (ou
neutron) devrait contenir, à l'origine, ξ2 particules élémentaires (électron-positron). Cependant la suite de
Fibonacci mène au fractal de Sierpiński qui possède {5+1} homothéties ou étapes. A chaque étape
l'annihilation en 2D élimine un taux de α² et donc, après 6 homothéties nous avons un taux de condensation
réduit à :
12
τ P = α 2 ≈458,82
4ξ
(4)
Comme il ne peut y avoir qu'un nombre entier de particules élémentaires condensées, le nombre entier pair
3
le plus proche est 460. Le modèle de proton selon [3] donne très exactement le rayon du proton (9) mesuré
[5] en considérant 4 groupes de 460 bosons ou 8 groupes en unité {masse élémentaire} soit 1840. Ce calcul
est le seul qui donne correctement le rayon du proton en accord avec la mesure. Une question se pose :
- pourquoi le proton ne possède pas une masse de 1840 électrons mais de 1836,15 ?
Pour la raison simple que l'unité {électron libre} est plus massique que l'unité {électron nu}. On sait depuis
longtemps que l'électron est habillé d'un nuage de particules virtuelles. Par ailleurs le nombre du proton est
forcément impair (1841) puisque sa charge est exactement celle d'un positon. Avec ces contraintes, on
détermine le différentiel de taux d'habillage de l'électron entre son état libre et son état condensé.
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τ eh
1841
τ ph = 1836,15 ≈1,0026
(5)
On montre dans [3] que grâce à ce taux précis, on retrouve très exactement le taux d'anomalie du moment
magnétique de l'électron, avec des arguments purement physiques. On montre également que le neutron
possède 920 paires neutres + 1 paire orpheline soit 1842 éléments en tout. On montre pourquoi la paire
orpheline est instable et pourquoi c'est toujours l'électron qui est expulsé lors de la transition en proton. On
montre également pourquoi le positron émis par un noyau de soufre, de création locale, s'annihile avec un
peu de retard avec le premier électron rencontré.
5.
La condensation du proton sur la première couche d'électron-positron
Il y a compétition entre l'écartement des intervalles (mitose + trous d'annihilation) et la condensation du
proton. Pour cette première couche du BEC primordial, on a le produit en 2D :
trous d'annihilation (α12) x taux d'écartement par mitose (ξ2)
Le proton constitué en couches concentriques (onde sphérique) a la curieuse particularité de présenter le
même nombre d'éléments en 3D, 2D ou 1D. Ainsi le ratio 1D entre le rayon de Compton pour un seul
électron et un des 4 groupes de 460 éléments (rayon du proton) est strictement le même que celui qui est
collecté pour condensation, sur la sphère (2D) de la première couche du BEC-0.
Avec τp = 458,81 dont l'arrondi en terme de paire entière (460), donne précisément le ratio entre la longueur
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de Compton pour un électron et celle du proton (relation 9). Les relations (7 et 8) montrent le ratio entre la
longueur de Planck et la longueur élémentaire et le rayon du proton.
Ainsi la définition physique de la longueur de Planck est la suivante : c'est l'intervalle fossile projeté sur la
sphère de la première couche du BEC-0 avant les phases {mitose + annihilation + condensation en proton}.
La (7) montre cependant que c'est au facteur √τ près, soit 21,42. En revanche, la taille transversale et
l'intervalle fossile du boson subquantique, sont strictement égaux et sont ξ fois plus grand que la longueur de
Planck (1D). C'est la raison pour laquelle le taux de mitose (fonction 2D) est de ξ2 (nombre de BEC-fils ou
nombre d'étoiles primordiales).
paramètres
Fossile (avant mitose)
actuel
Taille transversale des bosons subquantiques
ƛ0 = ξ l p
ƛ0 = ξ l p
Intervalle première couche
Il y a superposition donc séparation causale
l p < ƛ0
Plus de signification car la
distribution est en 3D
Intervalle entre bosons subquantiques de toutes
les couches
ƛ0 = ξ l p
ƛe = ξ2 l p
Longueur des bosons oscillants formant BEC
R=ξ3 ƛe = ξ 4 ƛ 0
R=ξ3 ƛe = ξ 4 ƛ 0
Masse moyenne des bosons oscillants
m0 =
me
ξ
3
m0 =
me
ξ
3
Célérité moyenne des bosons oscillants
c 0 = c ξ3
c 0 = c ξ3
Nombre par couche et par BEC, des bosons
oscillants
ξ8
ξ6
Nombre par BEC, des bosons oscillants
ξ11
ξ9
Nombre de couches par BEC
ξ3
ξ3
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6.
Les explications physiques et les preuves
type
explications
équations
Ratio mesuré entre
coulomb et gravitation
Sur la sphère, la circonférence (1D) comporte ξ4
particules élémentaires et le taux d'annihilation est α.
Le champ de gravitation est la signature de la
séparation causale.
ξ4
e²
=
α
4 π ϵ0 G m2e
Rayon mesuré du
proton
L'espace élémentaire (longueur de Compton de
l'électron) est réduit du taux de condensation + la
dimension de la paire orpheline
Relation mesurée entre La figure fractale favorise les trajectoires croisées des
collisions précoces de
galaxies en expansion. Les collisions se font entre
galaxies et fabrication condensats ayant un angle relatif non négligeable, ce
de masse noire
qui provoque une annihilation partielle qui dégénère
les particules élémentaires et la matière n'est plus en
relation harmonique avec le réseau subquantique.
r p=
ƛe
ƛ
+ e2
460 8 α
τ G = αG =
π
N
1/2
ƛe t e m p
= =
l p t p me
Relation mesurable
entre les paramètres de
l'électron et les unités
de Planck
Les unités de Planck sont nées d'un argument
dimensionnel entre c, G, ℏ avec :
Relation mesurable
entre les paramètre de
l'électron et G
La naissance de G est causée par la séparation
causale du nombre présent sur la demi circonférence
de la première couche du BEC
ξ 4=
ƛe
G me t e
Relation vérifiable
entre le taux
d'annihilation est ξ
On montre que l'annihilation est liée à l'échec de
séparation causale complète par le ratio inertiel entre
l'ensemble des ξ3 couches et la première.
ξ 3=
3 α 15+1
4π
ℏ=me ƛ2e /t e
c=ƛ e /t e
ξ 2=
>0
3
L'exposant 16 de la dernière relation correspond aux 5+1 homothéties du fractal originel, soit 5 homothéties
3D + 1D, et donc : 53+1 = 16. D'autres preuves comme par exemple, les halos [6, 7] de galaxies mesurés à la
taille prévue par ce modèle, viennent s'ajouter à ce tableau.
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7.
Conclusion
Encore une fois, il est difficile de fragmenter les sujets concernant l'univers car tout est logiquement lié. Les
protons et neutrons sont des particules composites mais fondamentales. Nous n'avons pas développé ici le
modèle complet du proton mais on peut le retrouver dans les références du même auteur. Ce modèle conçoit
les quarks comme des entités induites par la dynamique des bosons composants les baryons. Cela ne change
rien à la remarquable loi de composition octuple de Murray Gell-Mann. Cette voie octuple trouve d'ailleurs
son prolongement dans le niveau subquantique. Il y a en effet 5+1 transitions (homothéties) et donc 7 états
entre le tachyon et l'électron. Mais en tenant compte du rayon de Bohr, a 0=ƛe α , on retrouve 8 états ou
intervalles séparant le monde quantique du monde subquantique. Le modèle de proton montre également
comment la condensation en sphères concentriques de bosons (leptons non locaux) explique directement la
courbe asymptotique de la force forte. Cette force est tout simplement la force coulombienne (il n'y en pas
d'autre car elle dérivent toutes du lien causal originel) qui s'exprime quand on cherche à démasquer les
couches enchevêtrées et donc neutres. Enfin, toutes les autres particules sont soit des résonances avec le
réseau subquantique, soit des transports de masse virtuelle (neutrino et photon). Le classement standard
classe ses deux particules respectivement comme lepton et boson. Nous montrons que l'anti neutrino
(observé) est la (petite) partie émergée d'un boson. En effet, la dualité neutrino / anti neutrino, inséparable
comporte une (grande) partie circulant dans le monde subquantique. Cela explique très bien pourquoi cette
particule se propage à la célérité c d'un photon dans le « vide ». Les critères de classement du modèle
standard ne correspondent pas à la réalité physique. Il attache trop d'importance au spin tout en inventant un
être mathématique sensé le sauver de ses profondes contradictions. Les critères fondamentaux reviennent à
distinguer ce qui est d'origine. Le modèle OSCAR, dit en détail comment le boson duel stochastique
(oscillateur du « rien » sans constante) devient une paire électron-positron. Le proton est un pseudo
condensat de Bose Einstein qui montre l'anti matière au travers de la charge très précise du positron (de
création non locale). Nous sommes donc construit en parité exacte avec de l'anti matière. L'anti matière créée
localement au niveau composite (anti proton) ne représente absolument pas la réalité à l'échelle de l'univers.
Les paires électron-positrons originelles sont créées à partir de l'énergie unique propre à la séparation causale
généralisée. Au départ, il y avait exactement une chance sur deux pour que la charge du proton soit positive
ou négative. Après un choix de type aléatoire, c'est la polarisation du niveau subquantique, qui généralise ce
choix. Il est possible que dans les premiers instants de l'univers, la cohabitation des protons positifs et
négatifs ait pu exister. Mais cela n'a pu donner lieu à annihilation, pour les raisons exposées dans cet article.
Après toute la rigueur développée dans le protocole de l'expérimentation locale, il convient de vérifier sa
validité à l'échelle de l'univers. Il est rigoureux, (par au moins le moyen de l'expérience de pensée, hors des
preuves apportées ensuite) de vérifier une éventuelle contradiction de l'expérience locale. La rigueur
académique actuelle, surfant sur un océan d'incertitude réductionniste, peut se révéler être une fausse amie.
Pour la première fois, la longueur de Planck est physiquement validée comme une maille élémentaire fossile
de la première couche. Cette longueur possède les trois niveaux donnés ci-après en ordre décroissant de
raison ξ : l'espace élémentaire de Compton actuel ; la taille corpusculaire de l'électron ou tachyon et
l'intervalle fossile de la (seule) première couche du BEC primordial.
La notion de dualité est un robuste concept qui doit être étendu à toute chose, sans omettre la notion de
localité qui est essentielle et très féconde. La vie comporte également un caractère dual s'agissant de la
localité. On ne trouve que des acides aminés naturels de chiralité gauche. Or on sait localement synthétiser
les deux énantiomères (L and R). Si on avait synthétisé avant de mesurer on aurait conclut à tort à une fausse
symétrie et cela, en toute « rigueur » des protocoles locaux.
éléments
type
Création locale
Création non locale
subquantique
Acide aminé
hélicité
racémique
gauche
droite
proton
charge
neutre
positif
négatif
neutrino
hélicité
gauche
neutre
droite
Dans les états non locaux, le choix est de nature aléatoire. Il est ensuite maintenu par la polarisation du
niveau subquantique que certains appellent « vide » tout en sachant qu'il est loin de l'être. A l'échelle de
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l'univers, tout est boson et neutre, en incluant l'image subquantique.
Figure 2
En se bornant à l'expérimentation locale, on se prive de comprendre
les fondements de l'univers. L'échelle subquantique est paradoxale car
elle est à la fois au cœur du quantique et de type cosmologique.
Les acides aminés font partie du monde quantique comme toutes les autres particules et à ce titre, Ils
possèdent une image active subquantique à l'échelle du BEC cosmologique. Il n'est pas étonnant que
l'exobiologie admet aujourd'hui que la vie suit des règles identiques à l'échelle galactique. Quand Hubert
Reeves dit que nous sommes des poussières d'étoile, sait-il que ce n'est pas seulement une simple
conséquence liée aux transitions des éléments du tableau périodique ?
NB : cet article est en partie amendé par l'article à venir qui plaide pour une longueur de Planck élargie.
8.
Références
1/ gsjournal.net/old/physics/mj; "l'électron un fermion très différent des autres" ; D Mareau; janvier 2013.
2/ gsjournal.net/old/physics/mj; "La dualité de l'univers-oscillateur" ; D Mareau; février 2013.
3/ D. Mareau (2012) "L'univers miroir, né du rien préquantique"; ISBN 978-1-4717-0906-7
4/ site web « modèle OSCAR » ; http://www.cosmologie-oscar.com/
5/ Pour la science.fr; Maurice MASHAAL « le proton, plus petit que
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actualite-le-proton-plus-petit-que-prevu-25516.php.
prévu »;
6/ MP Silverman, RL Mallett ; « Dark matter as a cosmic Bose-Einstein Condensate and possible
Superfluid » ; http://link.springer.com/article/10.1023%2FA%3A1015934027224.
7/ Eckehard W. Mielke, Burkhard Fuchs, Franz E. Schunck ; « Dark Matter Halos as Bose-Einstein
Condensates » ; http://www.researchgate.net/publication/1789341_Dark_Matter_Halos_as_BoseEinstein_Condensates
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