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On est donc sur un marché serré, nous y reviendrons, étroit et sous-
investi en matière de télévision.
En 2006, on retrouvera le niveau d'investissement publicitaire
télévision de 2001, à savoir 17,5 M€ bruts. On est sur un marché qui est
à la fois surconsommé par les Réunionnais et, en même temps, sous
investi par les annonceurs. C'est important, on sera peut-être amenés à
parler du numérique terrestre et c'est un élément à prendre en compte
dans les développements futurs.
Malgré tout, Antenne Réunion a poursuivi son redressement, à la fois au
plan financier, notamment par des effets de rachat de créances, mais
aussi par des résultats positifs qui ont permis à la chaîne de
pratiquement reconstituer ses fonds propres.
En 2004, il y a eu un changement d'opérateur. J'ai eu la chance, grâce
au président du groupe Bourbon, Jacques de Châteauvieux, de pouvoir
acquérir les 40 % d'actions qu'il détenait dans Antenne Réunion au
travers d'une holding personnelle et familiale, ASDL. J'ai donc pu
acquérir les 40 %, et aujourd'hui, il est soumis par ailleurs au CSA la
possibilité que je puisse passer à 52,3 %.
Je précise que cela permet d'avoir un opérateur dont les capitaux sont
100 % à la Réunion et 100 % réunionnais ; nous le verrons dans la
répartition.
En 2004, nous avons trouvé la situation suivante : une bonne image de la
chaîne, un lien très fort avec le public, mais un chiffre d'affaires qui