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Afin de traiter cette partie du programme, nous
avons décomposé ce chapitre en six doubles
pages avec à chaque fois une phase de sensibili-
sation et une phase d’analyse à partir de supports
variés : photographies, données statistiques, jeu
de rôle, articles de presse, dessin satirique…
La première double page clarifie les notions
de revenu disponible et de pouvoir d’achat. La
phase de sensibilisation passe par un travail sur
des photographies représentant différents élé-
ments qui composent le revenu disponible. La
phase d’analyse formalise le mode de calcul du
revenu primaire et disponible et définit la notion
de pouvoir d’achat. Le document 4 montre le
lien entre l’évolution des prix à la consommation
et l’évolution du pouvoir d’achat.
La deuxième double page aborde l’arbitrage
entre consommation et épargne en faisant in-
tervenir la notion de taux d’intérêt. La fable re-
visitée de La Fontaine, La Cigale et la Fourmi,
sensibilise les élèves aux enjeux de cet arbi-
trage entre consommation et épargne. La phase
d’analyse précise le lien entre taux d’intérêt et
taux d’épargne. Le document 4 est un article de
presse qui présente l’effet de la crise actuelle
sur l’arbitrage des ménages entre épargne et
consommation.
La troisième double page, en phase avec les
indications complémentaires du programme of-
ficiel, présente les différentes formes d’épargne.
Le travail de sensibilisation se fait à travers un jeu
de correspondance entre des photographies publi-
citaires et un texte présentant différents produits
d’épargne (livret d’épargne, épargne retraite…).
La phase d’analyse précise la distinction entre
épargne financière et non financière. Dans une op-
tique plus sociologique, elle aborde aussi à l’aide
des documents 3 (tableau statistique) et 4 (article
de presse) les inégalités sociales face à l’épargne.
La quatrième double page n’est pas directe-
ment en lien avec le programme officiel mais il
RAPPEL DU PROGRAMME
Thèmes d’exploration
et questionnements associés
I. Ménages et consommation
Comment les revenus et les prix influencent-
ils les choix des consommateurs ? (thème obli-
gatoire)
Notions à découvrir : revenu disponible,
consom mation, épargne, pouvoir d’achat.
Indications complémentaires à l’usage des
professeurs : Après avoir constaté que le
revenu disponible se répartit entre consom-
mation et épargne et évoqué les différentes
formes d’épargne, on montrera à partir de
données chiffrées simples que la consomma-
tion des ménages dépend à la fois du niveau
de leur revenu et du prix des biens. On mettra
en évidence les effets dans le temps de l’évo-
lution du pouvoir d’achat sur la structure de
la consommation des ménages. On initiera les
élèves à interpréter les valeurs significatives
que peuvent prendre les élasticités (prix et re-
venu) pour quelques types de biens en mettant
en évidence l’intérêt de cet outil pour l’éco-
nomiste.
But pédagogique et structure
du chapitre
Le titre du programme officiel de seconde
« Comment les revenus et les prix influencent-
ils les choix des consommateurs ? » invite à ex-
pliquer aux élèves les principaux déterminants
économiques de la consommation : les prix et
les revenus. Les quatre notions centrales à trans-
mettre sont le revenu disponible, la consomma-
tion, l’épargne et le pouvoir d’achat. Les notions
d’élasticité-prix et d’élasticité-revenu mention-
nées dans les indications complémentaires se-
ront abordées dans la mesure où elles nous sem-
blent contribuer à la cohérence de ce chapitre.
Comment les revenus
et les prix influencent-ils les choix
des consommateurs?
MANUEL, PAGES 13-28
CHAPITRE
1
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Ouverture de chapitre
MANUEL, PAGE 13
Cette page d’ouverture est structurée autour de
deux documents iconographiques et de deux
titres d’articles de presse couplés deux à deux.
Le but est de faire réfléchir les élèves sur l’effet
du prix sur les choix de consommation.
Le document de gauche fait référence à l’im-
portance du phénomène du hard discount dans
une période de crise les consommateurs sont
de plus en plus sensibles au prix et au thème du
pouvoir d’achat. Le document de droite prend le
contre-pied du premier en montrant qu’en pé-
riode de crise le secteur du luxe se porte bien.
Le premier exercice qui peut être proposé aux
élèves est de décrire les deux images et de faire
le lien entre l’image et le titre de l’article de
presse. On peut ensuite leur demander pour-
quoi ces deux titres de presse sont en apparence
contradictoires ? Enfin, on pourra les interroger
sur les différentes raisons qui expliquent le suc-
cès du hard discount ou la bonne santé du sec-
teur du luxe.
1. Comment mesurer le revenu
disponible et le pouvoir d’achat
des ménages ?
MANUEL, PAGES 14-15
Document 1 (« Découvrir »)
1. Le document a représente une fiche de paie.
Le salaire net est le salaire que perçoit le salarié
après prélèvement des cotisations sociales sur le
salaire brut.
2. Les grandes entreprises du CAC 40 cotées en
Bourse ont reversé 54,2 milliards d’euros aux
actionnaires sous forme de dividendes.
3. Les impôts représentés sur le document c
sont la taxe foncière, la taxe d’habitation et l’im-
pôt sur le revenu.
4. Les allocations familiales sont des aides fi-
nancières distribuées par la CAF pour venir en
aide aux familles ayant au moins deux enfants
de moins de 20 ans.
Document 2
5. 2 400 + 2 200 = 4 600.
Le montant total mensuel des revenus du travail
de ce ménage est de 4 600 euros.
nous a semblé pertinent dans ce chapitre sur la
consommation d’expliquer le fonctionnement de
cette ressource financière qui suscite souvent la
curiosité des élèves : le crédit à la consomma-
tion. La phase de sensibilisation est une simula-
tion sur Internet d’un crédit à la consommation
pour acheter une automobile. Cette phase per-
met de clarifier les notions de capital emprunté,
de mensualité, d’intérêt et surtout de coût total
du crédit. La phase d’analyse aborde, à l’aide
d’un dessin satirique et d’un article de presse,
le fonctionnement et les dangers potentiels du
crédit revolving.
La cinquième double page montre comment
le revenu d’un ménage oriente ses choix de
consommation. La phase de sensibilisation
passe par un jeu de rôle l’élève est amené à
élaborer différents budgets en fonction de ses
ressources. La phase d’analyse étudie, à l’aide
d’un tableau statistique (doc. 3), l’évolution au
long terme de la structure de la consommation
des ménages. Le document 4 présente la notion
d’élasticité-revenu à l’aide d’exemples chiffrés
tirés d’une étude de l’INSEE.
La sixième double page étudie l’impact du prix
sur les choix de consommation des ménages. La
phase de sensibilisation passe par l’étude chif-
frée du lien entre quantité de tabac consommée
et le prix de ce bien. La phase d’analyse présente
la notion d’élasticité-prix et donne des exemples
concrets pour les différents types de biens : les
biens inélastiques avec l’essence, les biens supé-
rieurs avec les produits de luxe et enfin les biens
fortement élastiques avec le cas des changes
pour bébés.
Liens avec d’autres chapitres
Ce chapitre sur les déterminants économiques de
la consommation se prolonge dans le chapitre 2
par une analyse plus sociologique du phéno-
mène : consommation comme effet de signe,
analyse de la mode, etc.
Le chapitre 4 étudie la répartition de la valeur
ajoutée en reprenant des notions étudiées dans
ce chapitre : revenu du travail, revenu du patri-
moine (intérêts, dividendes…).
Enfin, le chapitre 5 reprend la notion d’élastici-
té-prix pour comprendre les stratégies tarifaires
des entreprises.
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Le pouvoir d’achat et le lien entre cette notion et
le revenu disponible est abordé dans le document
4 (question 11) : l’évolution du pouvoir d’achat
dépend de l’évolution du revenu disponible et de
l’évolution des prix à la consommation.
2. Consommer ou épargner :
un choix difficile ?
MANUEL, PAGES 16-17
Document 1 (« Découvrir »)
1. La cigale avoue avoir consommé tout l’été
l’intégralité de ses ressources sans penser à l’hi-
ver. D’où la réponse de la fourmi qui lui conseille
d’épargner à l’avenir en mettant de côté une par-
tie de sa nourriture pour l’hiver.
2. La cigale est décrite comme un animal oisif
qui ne pense qu’à consommer ses revenus sans
se préoccuper de l’avenir. À l’inverse, la fourmi
précautionneuse est jugée plus vertueuse eu égard
à son souci d’épargner une partie de ses revenus.
Document 2
3. Leïla est la cigale alors que Yasmine est la
fourmi.
4. Lépargne est une somme d’argent (le capital)
que l’épargnant peut prêter à une banque. Ce ca-
pital étant prêté, l’épargnant ne peut en disposer
imdiatement pour consommer. De la me ma-
nière qu’un proprtaire d’un appartement perçoit
un loyer en louant son bien, un épargnant peoit
des ints en prêtant son capital à une banque.
5. Plus le taux d’intérêt est élevé, plus l’épargne
va être rémunérée. D’où la tendance des mé-
nages à privilégier l’épargne à la consommation.
6. À l’inverse, si les taux d’intérêt sont proches
de zéro, les ménages auront tendance à privilé-
gier la consommation à l’épargne, c’est-à-dire à
adopter un comportement plus proche de la ci-
gale que de la fourmi.
Document 3
7. Le revenu disponible est le revenu restant
après avoir ajouté au revenu primaire les presta-
tions sociales et soustrait les impôts directs et les
cotisations sociales.
8. D’après la revue Alternatives économiques, le
taux d’épargne des ménages en 2007 en Espagne
était de 3 % du revenu disponible.
6. Les trois exemples de revenus du patrimoine
évoqs sont : le loyer, les intérêts et les dividendes.
7. Les revenus mixtes sont les revenus des tra-
vailleurs indépendants (artisan boulanger, plom-
bier à son compte ou médecin libéral).
8. 2 400 + 2200 + 600 + 5 + 10 + 2 400 = 7 615
Le revenu primaire mensuel de ce ménage est de
7 615 euros.
Document 3
9. Revenu disponible = revenus primaires co-
tisations sociales impôts directs + prestations
sociales.
10. Salaire revenu du travail ; honoraires
d’un médecin revenu mixte ; taxe foncière
impôt direct ; dividendes revenu du patri-
moine ; allocations CAF prestation sociale ;
aide au logement prestation sociale ; intérêts
de livret A revenu du patrimoine ; cotisation
vieillesse cotisation sociale.
Document 4
11. Les deux éléments à prendre en compte pour
mesurer l’évolution du pouvoir d’achat d’un mé-
nage sur une période donnée sont : l’évolution
de son revenu disponible et l’évolution des prix
à la consommation.
12. Le pouvoir d’achat, à revenu disponible
constant, diminue si les prix à la consommation
augmentent.
13. Une entreprise de grande distribution comme
E. Leclerc peut « [défendre] votre pouvoir
d’achat » en essayant de vendre ses produits
moins cher que les autres enseignes en luttant
contre la hausse du code barre !).
Faire le point
Avant de pouvoir calculer le revenu disponible,
il faut connaître la notion de revenu primaire. Le
document 2 permet à l’élève de comprendre les
différents éléments à prendre en compte pour
calculer le revenu primaire : revenus du travail,
revenus du patrimoine (intérêts, dividendes,
loyers…) et revenus mixtes.
La formule pour calculer le revenu disponible se
trouve dans le schéma du document 3. Ce docu-
ment permet de préciser les notions de cotisa-
tions sociales, d’impôts directs et de prestations
sociales.
12
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9. Le taux d’épargne des ménages américains est
très faible (0,5 %), ce qui laisse présager que ces
derniers sont plutôt « cigales » que « fourmis ».
10. L’écart entre le taux d’épargne des ménages
en France et aux États-Unis est de 11,5 points
de pourcentage. Ce qui signifie que ce taux est
24 fois plus élevé en France qu’aux États-Unis
pour l’année 2007 ! L’enseignant peut profiter
de cette réponse pour faire une digression sur la
crise des subprimes et le surendettement d’une
catégorie des ménages nord-américains.
Document 4
11. D’après ce texte, le taux d’épargne des mé-
nages en France pour 2009 pourrait atteindre
16,3 %.
12. Les ménages français ont décidé d’épargner
davantage en raison de la crise et « pour faire
face aux coups durs ».
13. Dans cette période économiquement dif-
ficile, la volonté des ménages d’accroître leur
épargne entraîne nécessairement une diminution
de la consommation : « Dans ce contexte d’in-
certitude, 60 % des Français disent “faire plus
attention à leurs dépenses”. »
Faire le point
Les notions d’épargne et de consommation sont
définies dans le « Point Notion » du document 1.
Le taux d’intérêt est une variable déterminante
pour comprendre l’arbitrage entre consom-
mation et épargne (document 2) : plus le taux
d’intérêt est élevé, plus le taux d’épargne, toutes
choses égales par ailleurs, sera important. Le
taux d’épargne moyen diffère d’un pays à un
autre (doc. 3) et dépend aussi étroitement de la
conjoncture économique (doc. 4) : en période
de récession ou de crise, les ménages ont ten-
dance à accroître leur épargne et à diminuer leur
consommation « afin de se protéger face à l’ave-
nir et de pouvoir faire face au quotidien ».
3. Quelles sont les différentes formes
d’épargne ?
MANUEL, PAGES 18-19
Document 1 (« Découvrir »)
1. Les deux grandes familles d’épargne sont
l’épargne financière et l’épargne non financière.
2. a livret d’épargne ; b épargne retraite ;
c action ; d épargne logement ; e contrat
d’assurance-vie ; f épargne salariale ; g in-
vestissement immobilier.
3. Livret d’épargne intérêts ; contrat d’as-
surance-vie rente ; épargne logement in-
térêts ; épargne retraite rente ou intérêts ;
épargne salariale intéressement ou divi-
dendes ; investissement immobilier loyer.
Document 2
4. D’après l’INSEE, le taux d’épargne des mé-
nages français en 2008 était de 15 %.
5. La courbe orange et la courbe rose correspon-
dent à l’épargne non financière.
6. Si l’on additionne les données des courbes
rose, bleue et orange, on obtient la courbe verte.
En effet, l’épargne totale est égale à l’épargne
financière et à l’épargne non financière.
7. La composante principale de l’épargne des
ménages en 2008 était l’investissement immo-
bilier. Celle qui a le plus augmenté entre 1987
et 2002 est l’épargne financière.
Document 3
8. D’après l’INSEE en 2007 : 83,2 % des mé-
nages possédaient au moins un livret d’épargne.
50,3 % des ménages ayant un cadre comme
personne de référence possédaient des actions.
17,3 % des ménages de moins de 30 ans possé-
daient un patrimoine immobilier.
9. Le livret d’épargne est un produit d’épargne
populaire dans la mesure plus de 80 % des
ménages en possédaient au moins un en 2007. À
l’inverse, seul un ménage sur quatre en moyenne
possédait des actions à cette même date.
10. Le patrimoine immobilier et dans une
moindre mesure l’assurance-vie et l’épargne re-
traite sont les produits d’épargne où il existe une
inégalité importante des ménages en fonction
de l’âge. Concernant la CSP de la personne de
référence du ménage, c’est sur les actions et le
patrimoine immobilier que l’on observe le plus
d’écart entre les cadres et les ouvriers.
11. On imagine qu’un cadre possède des re-
venus plus importants qui lui permettent d’ac-
quérir plus rapidement qu’un ouvrier un bien
immobilier. Par ailleurs, on comprend aisément
qu’un ménage constitué de personnes de moins
14
15
de 30 ans a moins de chance d’avoir accumulé
des richesses suffisantes pour investir dans l’im-
mobilier qu’un ménage de personnes de plus de
50 ans.
Document 4
12. La composante principale du patrimoine des
Français est l’investissement immobilier et plus
particulièrement la résidence principale. Ce ré-
sultat confirme ce que nous avions étudié dans le
document 2 (question 7).
13. La répartition du patrimoine des ménages est
très inégalitaire dans la mesure la moitié de
celui-ci est entre les mains de seulement 10 %
des ménages. De plus, la moitié des ménages les
moins riches ne possède que 10 % du patrimoine
total.
14. Un ménage qui a de faibles revenus ne pour-
ra bien souvent pas mettre de l’argent de côté
une fois payé le loyer, la nourriture et les dé-
penses courantes à la fin du mois. À l’inverse,
un ménage à fort revenu pourra plus facilement
épargner.
Faire le point
Le document 1 décrit les deux grandes fa-
milles d’épargne : l’épargne financière (livret
d’épargne, action, épargne logement, etc.) et
l’épargne non financière (investissement im-
mobilier ou investissement des entreprises in-
dividuelles). Chaque produit d’épargne étant
associé à des revenus du patrimoine (intérêts,
dividendes, loyers, rentes, etc.).
Par ailleurs, les choix des produits d’épargnes
sont étroitement corrélés à l’âge ou à la CSP
(doc. 3) : le livret d’épargne est le produit d
épargne « populaire » par excellence, alors que
les actions ou l’investissement immobilier sont
des produits d’épargne relativement peu fré-
quents chez les ouvriers et les jeunes ménages.
Le document 4 confirme cette idée en montrant
les inégalités sociales face à l’épargne : 10 % des
ménages les plus riches se partagent 50 % patri-
moine total des ménages.
4. Le crédit à la consommation :
une ressource supplémentaire
à utiliser avec précaution ?
MANUEL, PAGES 20-21
Document 1 (« Découvrir »)
1. Le montant du crédit est de 5 000 et celui
des mensualités sans assurance 98,28 et avec
assurance 101,62 . Ces mensualités vont s’éta-
ler sur 60 mois, soit 5 ans.
2. L’assurance proposée en option peut per-
mettre à l’emprunteur de se couvrir contre un
certain nombre de risques : décès, perte totale et
irréversible d’autonomie, maladie, accident.
3. 5 000 +1 097,29 = 6 097,29
L’emprunteur devra rembourser 6 097,29 euros
pour ce crédit à la consommation (assurance
comprise).
4. Les intérêts représentent environ 20 % du ca-
pital emprunté. Le risque de cette ressource fi-
nancière est d’inciter les ménages à s’endetter
et à payer beaucoup d’intérêts, plutôt que de se
constituer une épargne rémunérée.
Document 2
5. Les deux grandes familles de crédits sont
les crédits à la consommation et les crédits
immobiliers.
6. D’après l’Observatoire des crédits aux mé-
nages, en 2008, 5,7 millions de ménages avaient
un crédit à la consommation en cours (soit
21,3 % de l’ensemble des ménages).
7. La zone verte représente les ménages qui ont
à la fois un crédit immobilier et un crédit à la
consommation en cours en 2008, soit 3,3 mil-
lions de ménages.
8. 5 + 5,7 – 3,3 = 7,4.
Le nombre total de ménages ayant un ou plusieurs
crédits en cours en 2008 était de 7,4 millions.
Document 3
9. Le crédit revolving peut être un véritable
piège pour les familles modestes car ces derniers
devront constamment payer des intérêts dans la
mesure où le crédit se recharge automatique-
ment. La facilité avec laquelle on peut obtenir de
l’argent incite de nombreuses familles à s’endet-
ter et à devoir ensuite s’acquitter de mensualités
de remboursement très élevées.
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