f. Le cinnamaldéhyde possède deux atomes de C de plus que le benzaldéhyde, on propose
donc comme aldéhyde :
g.
h. Il s’agit d’une élimination.
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35. a. La première réaction est une addition : le produit de réaction contient tous les atomes de
tous les réactifs ; la transformation (b) est une substitution.
b. Dans les deux cas, les liaisons sont non polarisées ou faiblement polarisées ; on ne peut pas
mettre en évidence de donneurs et d’accepteurs de doublets.
c. On obtient des espèces radicalaires : H
2
C
▪
, H
▪
et Cl
▪
.
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36. Proposition d’une synthèse de documents
Dans un premier temps, Pauling mesure l’énergie libérée lors de la transformation :
A-B = A + B (notée E(A-B)) pour un grand nombre de composés diatomiques
Il compare ses résultats expérimentaux à l’hypothèse suivante :
E(A-B) = ½ E(A-A) + ½ E(B-B)
et observe que l’hypothèse n’est pas vérifiée pour des composés dont l’un des atomes attire à
lui les électrons de la liaison : l’écart entre l’hypothèse et les résultats expérimentaux est
d’autant plus grand que l’un des atomes de la molécule attire à lui le doublet d’électrons de la
liaison.
Il a alors l’idée d’utiliser cet écart pour quantifier l’électronégativité des atomes. Ainsi, les
valeurs obtenues sont bien en accord avec les classifications qualitatives antérieures.
Les gaz nobles sont des gaz inertes pour lesquels on n’obtient pas aisément de molécules
hétéroatomiques, c’est pourquoi la méthode de Pauling ne permet pas d’obtenir de valeur
d’électronégativité pour ces éléments.
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