© 2003 Thierry De Mees
Oct. 2003 1 update 01/10/2004
Causeries : "Une théorie cohérente de gravitation à double champ vectoriel ".
Le but de ces causeries est d’acquérir plus de familiarité avec les concepts de gyrotation et ses applications.
Causerie A: un mot sur l'analogie de Maxwell
A propos de notre point de départ, la théorie de Maxwell, il est connu que le champ magnétique (induit) de
l'électromagnétisme est créé par des charges en mouvement. Nous pouvons même affirmer, la seule raison pour
l'existence du champ magnétique (induit) est la vélocité des charges qui se déplacent dans un système de
référence qui doit être un champ gravitationnel.
Nous verrons plus tard que la définition de "vélocité" est très importante, et ce sera abordé d’une façon différente
que dans la théorie de la relativité, sans nuire ni contredire cette dernière théorie.
Nous savons aussi que le champ magnétique a une action qui est perpendiculaire au vecteur de vitesse de la
particule chargée, et que les lois de Maxwell se conforment à l'invariance de Lorentz, sont donc "relativistes" et
prennent soin du délai du temps de la lumière.
Le champ magnétique doit être vu comme une interférence transversale (ou une distorsion transversale) du
champ électrique d'une charge en mouvement, dans un champ de référence électrique. Pour un fil électrique, cela
a été expérimenté. Quand l'interférence a été produite, ce champ magnétique influencera uniquement d’autres
charges en mouvement.
Il est séduisant de dire que la gravitation aussi est influencée par des masses en mouvement, en donnant aussi un
deuxième champ qui est analogique au magnétisme.
Et alors, les équations de Maxwell deviennent très simples, parce que la charge est alors remplacée par la masse
(loi de Coulomb à la loi de Newton) et le champ gravito-"magnétique" devient le mouvement transmis par la
gravitation, ayant la dimension s-1. Retour à "Une théorie cohérente de gravitation à double champ vectoriel."
Causerie B: un mot sur l'approche selon la théorie des fluxes
La formule de base de l’induction gyrotationnelle peut aussi être comprise de la façon suivante: Imaginez une
sphère en rotation avec vitesse ω. Nous savons à partir de plusieurs observations (galaxies à disque, système
planétaire) que le mouvement angulaire du centre rotatif est transmis aux objets environnants. Donc, quoi d'autre
que le champ de gravitation rotatif le transmettrait?
Si nous analysons m1 dans le système de fig. B1, et si l’on peut dire qu'un certain effet est produit par la
gravitation en mouvement, une certaine fonction h(ω) produite par la rotation de cette masse m1, doit être
directement proportionnelle au flux dm1/dt.
Mais nous ne voulons en effet pas définir la rotation cinétique de la masse rotative, mais la gyrotation à une
certaine distance de cette masse rotative, produit par son champ de gravitation. Découvrons comme cela
fonctionne.
Fig. B1
Prenons une masse sphérique (en fait, la forme n'a pas
d’importance) qui bien sûr crée un champ de gravitation, et qui
tourne à une vitesse de rotation ω (voir fig. B2).
L'étude d'une entité référant à un courant peut être étudié comme
un flux (d'énergie). Afin d’appliquer cette théorie, on peut par
conséquent définir une surface A de cette masse en rotation, dans
un système de référence stationnaire, qui sera une demie section
ω
m1 m2
x
Fig. B2