Réduire nos émissions
Si nous ne changeons rien, nous
verrons des îles disparaître avec
la montée des eaux. En plus
du milliard de personnes qui
déjà souffrent de la faim, de
nombreuses autres devront faire
face à l’insécurité alimentaire si les
déserts gagnent du terrain, si la
mousson asiatique est perturbée,
si l’approvisionnement en eau
douce lié à la fonte des glaciers
de montagne comme ceux de
l’Himalaya devient de plus en plus
chaotique.
40% de la production alimentaire
pourrait disparaître d’ici à la n
du siècle.
Des centaines de millions
de personnes jetées sur les
routes de l’exode. Pire. Notre
planète pourrait être proche
de « points de rupture ».
Les calottes glaciaires du
Groenland ou de l’Antarctique
pourraient être profondément
déstabilisées, entraînant une
montée de la mer de plusieurs
mètres. Le réchauffement de
la planète pourrait faire fondre
les terres gelées du grand nord,
libérant des milliards de tonnes
de méthane, un puissant gaz à
effet de serre.
Les populations, les cultures et
les écosystèmes ont le droit de
survivre. C’est pourquoi nous avons
le devoir d’agir. Pour éviter ces
catastrophes, les scientiques
disent que nous devons éviter
que notre planète se réchauf fe de
plus de 2°C. Pour cela, l’humanité
doit stopper l’augmentation de
ses émissions de gaz à effet de
serre avant 2015, puis les réduire
fortement.
Réduire
nos
émissions :
c’est
possible et
c’est 100%
gagnant
La bonne nouvelle, c’est que nous
pouvons le faire.
Réduction de notre consommation
d’énergie, développement
des énergies renouvelables,
lutte contre la déforestation…
Nous avons les solutions pour
stopper l’augmentation des
émissions mondiales dans les
10 ans qui viennent. Surtout,
nous pouvons les utiliser sans
endommager l’économie
mondiale. Au contraire, nous
avons beaucoup à gagner à
réduire nos émissions de gaz
à effet de serre. Nous pouvons
réduire nos factures énergétiques
et leur impact social en par ticulier
sur les ménages les plus
pauvres.