Des chiffres
Maladies cardiaques
Seuls les animaux carnivores peuvent, par leur métabolisme, transformer des quantités presque
illimitées de cholestérol et de graisses. Des chiens testés en laboratoire, ont consommé 250g de ma-
tière grasse par jour pendant deux ans; ce qui ne produisit aucune modification du taux de cholestérol
dans leur sérum sanguin.
Dès 1961, le Journal de l'association Médicale Américaine déclarait que les maladies cardiaques
pourraient être évitées par un régime végétarien. L'incapacité du corps humain à éliminer l'excès de
graisses animales serait une autre preuve que l'alimentation carnée n'est pas pour l'être humain.
Le Cancer et autres maladies
Des études statistiques démontrent que le cancer du côlon, est plus répandu dans les pays où la
consommation de bœuf est la plus forte. Danielle Starenkyj-Le bonheur du végétarisme
Le lien direct entre le cancer du côlon et la viande - est dû au contenu riche en graisses et pauvre en
fibres. Résultat: le lent passage de la viande dans le côlon permet aux déchets toxiques de causer
leurs ravages.
"La viande est toxique, car elle donne des déchets: urates, ptomaïnes, acides lactiques, etc., qui sont
de véritables poisons s'éliminant par le foie et les reins, et surmenant ces organes. La viande entraîne
un encrassement des tissus et des humeurs, elle est cause de pléthore, d'hypertension, de scléroses
multiples, de néphrite, d'urémie et d'irritation nerveuse..." Docteur Pierre Oudinot
Substances chimiques dangereuses
Les consommateurs ignorent généralement l'existence des substances chimiques présentes dans
la viande.
Dans les fermes d'élevage corporatives, les animaux sont engraissés par l'introduction continue
dans l'organisme de calmants, d'hormones de croissance, d’antibiotiques et de 2700 autres drogues.
La loi n'exige pas qu'elles soient énumérées sur l'emballage.
L'arsenic est utilisé comme stimulant de croissance pour les volailles.
Le nitrate et le nitrite de sodium, sont des substances chimiques servant d'additifs alimentaires pour
ralentir la putréfaction des viandes et des poissons. Ces produits chimiques donnent à la viande sa
couleur rouge vif en réagissant sur les pigments présents dans le sang et les muscles. Sans eux, le
gris-brun de la chair morte rebuterait les consommateurs. Nombre de personnes accidentellement
soumises à des doses excessives sont mortes d'empoisonnement.
Des antibiotiques dans la viande
Les conditions insalubres imposées aux animaux, exigent l'emploi d'immenses quantités d'antibioti-
ques (pénicilline et tétracycline). Ces produits se retrouvent dans l’assiette du consommateur.
Le ministère de l'Alimentation et de la Médecine (en Amérique) ferment les yeux devant ces abus
dangereux.
Maladies contenues dans la viande
Entassés dans des endroits malsains, gavés de nourriture et traités de façon cruelle, les animaux de
boucherie contractent plus de maladies qu'à l'ordinaire. Les inspecteurs s'efforcent d'éliminer les vian-
des inacceptables, mais dû aux pressions de l'industrie et au manque de temps, une bonne part des
viandes reconnues saines ne le sont pas toujours. Avant les inspections dans les abattoirs, des frau-
deurs enlèvent les parties malades (abcès du foie, cancer de l'œil). Des carcasses contaminées par
des excréments de rongeurs, des cafards et de la moisissure furent trouvés chez les emballeurs de
viande Swift, Armour et Carnation.
Supprimer la viande évite ainsi plusieurs maladies.
La consommation de viande et les maladies graves