Communiqué de presse Bâle, le 28 septembre 2015 Roche lance le cobas EGFR Mutation Test v2 utilisable avec des échantillons soit de plasma soit de tissu tumoral Ce nouveau test est le premier à être validé pour analyser à la fois l’un et l’autre type d’échantillon Roche (SIX: RO, ROG; OTCQX: RHHBY) a annoncé aujourd’hui la commercialisation dans les pays acceptant le marquage CE1 du cobas® EGFR Mutation Test v2, premier test à visée oncologique de Roche permettant d’analyser des échantillons soit de plasma soit de tissu tumoral. Ce test identifie 42 mutations génétiques du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) – la meilleure performance parmi les tests de diagnostic in vitro (DIV) disponibles sur le marché – et peut également être utilisé pour sélectionner les patients atteints de cancer du poumon non à petites cellules (NSCLC) répondant aux critères pour un traitement par un inhibiteur de la tyrosine kinase de l’EGFR (TKI). «Au vu du nombre croissant de traitements ciblés disponibles, il est essentiel que nous offrions des méthodes de diagnostic moléculaire innovantes facilitant les procédures d’analyse, quelle que soit la situation en matière de risques chirurgicaux ou de disponibilité d’échantillons de tissu tumoral, a déclaré Roland Diggelmann, COO de Roche Diagnostics. En investissant dans la recherche sur la biopsie liquide et en développant le cobas EGFR Mutation Test v2 utilisable soit avec des échantillons de plasma soit avec des échantillons de tissu, Roche contribue à supprimer ces problèmes courants de l’analyse moléculaire.» Selon une enquête récente menée auprès de plus de 550 oncologues, environ 25% des patients souffrant de NSCLC ne sont pas soumis à un test génétique portant sur l’EGFR2,3. Si les médecins renoncent à procéder à cette analyse, c’est notamment parce qu’ils n’ont pas accès à un matériel de diagnostic adéquat ou encore parce que l’état de santé de leur patient interdit toute biopsie. Avec la validation du cobas EGFR Mutation Test v2 pour les deux types d’échantillons, à savoir les échantillons plasmatiques et tissulaires, les patients pour qui une biopsie est contre-indiquée pourront désormais obtenir, à partir d’un simple échantillon de plasma, un résultat d’analyse qui aidera leur médecin à choisir l’option thérapeutique la plus appropriée. Le cobas EGFR Mutation Test v2 est à présent disponible dans tous les pays acceptant le marquage CE1. Pour F. Hoffmann-La Roche SA 4070 Bâle Suisse Group Communications Relations avec les médias, groupe Roche Tél. +41 61 688 88 88 Fax +41 61 688 27 75 www.roche.com 1/3 de plus amples informations, veuillez consulter le site suivant: www.cobas-egfrtestv2.com. A propos du cobas EGFR Mutation Test v2 Le cobas EGFR Mutation Test v2 est un test par PCR en temps réel qui identifie 42 mutations au niveau des exons 18-21, y compris la mutation L858R, les délétions de l’exon 19, la mutation L861Q et la mutation de résistance aux TKI, T790M. Il est conçu pour pouvoir analyser soit des échantillons tissulaires soit des échantillons plasmatiques à l’aide d’un seul kit et permet ainsi aux laboratoires de traiter simultanément du tissu et du plasma sur une même plaque. De plus, Roche a développé un kit de préparation d’échantillons d’ADN acellulaire (cfDNA) optimisé pour extraire l’ADN du plasma. Dans le cadre de l’analyse du plasma avec le cobas EGFR Mutation Test v2, un nouvel élément, l’indice semiquantitatif (Semi-Quantitative Index – SQI) est inclus dans le rapport. Ce résultat est conçu pour refléter une tendance en ce qui concerne la quantité d’ADN acellulaire mutant dans l’échantillon. En analysant fréquemment les mutations de l’EGFR avec ce test, on peut observer l’évolution de l’indice semi-quantitatif et dégager une tendance qui pourrait permettre de comprendre la progression de la tumeur. Le cobas EGFR Mutation Test v2 peut être réalisé sur le système cobas 4800, v2.1 ou ultérieure. Le système peut également être utilisé pour détecter les mutations des gènes KRAS et BRAF dans des échantillons tumoraux. A propos de Roche Roche, dont le siège est à Bâle, Suisse, figure parmi les leaders de l’industrie pharmaceutique et diagnostique axée sur la recherche. Numéro un mondial de la biotechnologie, Roche produit des médicaments cliniquement différenciés pour l’oncologie, l’immunologie, les maladies infectieuses, l’ophtalmologie et les neurosciences. Roche est aussi le leader mondial du diagnostic in vitro ainsi que du diagnostic histologique du cancer, et une entreprise d’avant-garde dans la gestion du diabète. Sa stratégie des soins personnalisés vise à mettre à disposition des médicaments et des produits diagnostiques permettant d’améliorer de façon tangible la santé ainsi que la qualité et la durée de vie des patients. Depuis sa fondation, en 1896, Roche n’a cessé d’apporter une contribution majeure dans le domaine de la santé, au niveau mondial. Vingt-neuf médicaments développés par Roche font partie de la Liste modèle de Médicaments Essentiels de l’Organisation Mondiale de la Santé, notamment des antibiotiques, des traitements antipaludéens et des agents chimiothérapiques permettant de sauver des vies. En 2014, le groupe Roche, qui comptait 88 500 employés dans le monde, a consacré 8,9 milliards de francs 2/3 suisses à la recherche et au développement. Son chiffre d’affaires s’est élevé à 47,5 milliards de francs suisses. Genentech, aux Etats-Unis, appartient entièrement au groupe Roche, qui est par ailleurs l’actionnaire majoritaire de Chugai Pharmaceutical, Japon. Pour de plus amples informations, veuillez consulter www.roche.com. Tous les noms de marque mentionnés sont protégés par la loi. Relations avec les médias, groupe Roche Téléphone: +41 - 61 688 8888 / e-mail: [email protected] Nicolas Dunant (responsable du bureau des médias) Ulrike Engels-Lange Štěpán Kráčala Nicole Rüppel Claudia Schmitt Références 1 La disponibilité du produit à l’échelle locale peut varier indépendamment de la validation par le marquage CE. 2 2015 European Lung Cancer Conference (ELCC): abstract LBA2_PR. Présenté le 17 avril 2015 3 Davenport, Liam, "EGFR Testing Not Done in 25% of Lung Cancer Patients." Medscape Medical News, 17 avril 2015 3/3