Lucien Herr et les crises de la Troisième République : actions et

History in the Making Review 1. 1. December 2012
DAVID CLOS-SASSEVILLE
Lucien Herr et les crises de la Troisième
République : actions et réflexions sur la rupture
***
Abstract: Si la période couvrant la fin du XIXe siècle français et les débuts de la Troisième république a
d’abord été qualifiée de Belle Époque, les historiens et historiennes ont depuis mis en lumière la série de
crises qui a alors secouée le pays. Or si ces crises ont déjà été largement abordées, l’histoire
intellectuelle et politique nous permet d’élargir notre compréhension de l’époque en y ajoutant la
perspective d’un contemporain qui, si son nom hante toujours les notes de bas de pages, a sombré dans
l’oubli : Lucien Herr. L’influence de Lucien Herr, encore reconnue aujourd’hui, n’a pourtant jamais été
explorée par l’historiographie. On se contente généralement d’invoquer son nom en guise d’explication
rapide et commode pour les diverses conversions au socialisme, dont celle de Léon Blum et Jean Jaurès.
Toutefois, une étude approfondie de son parcours et de ses écrits nous permet de découvrir une véritable
philosophie de l’engagement ancrée dans les transformations et les crises de l’époque. De Boulanger à la
Grande guerre en passant par l’Affaire Dreyfus, Herr nous offre une réflexion sur la crise autant au
niveau de l’affranchissement intellectuel individuel que sur l’action politique collective. À travers
l’analyse de Lucien Herr, peut-on considérer les crises de la Troisième république comme les secousses
sismiques provoquées par le passage à la modernité? Nous nous proposons donc d’aborder les crises qui
ont secoué la Troisième république au travers de la réflexion et de l’action de Herr afin de faire ressortir
l’analyse résolument moderne de ce dernier.
Qui est donc Lucien Herr et pourquoi est-il pertinent de l’étudier aujourd’hui? Bien qu’il ait le
profil de l’inconnu, Herr n’est pas complètement absent de l’historiographie, on pourrait même
dire qu’il y hante les notes de bas de pages. en 1864 à Altkirch en Alsace, il passera la
majeure partie de sa vie à Paris. De là, il entreprend une brillante carrière académique qui le
mènera à l’agrégation de philosophie, il finira second de sa promotion à l’École normale
supérieure. À la suite du traditionnel voyage d’étude en Allemagne, offert aux meilleurs
étudiants de l’École, Herr fera le choix plutôt inhabituel de briguer le poste de bibliothécaire de
l’École, poste qu’il occupera jusqu’à sa mort en 1926.
Or ce qui rend son cas particulièrement intéressant c’est que de par son poste, il se
retrouve à un carrefour où toutes les nouvelles générations d’intellectuels de la Troisième
république passeront. Ainsi, il y côtoie Léon Blum, Jean Jaurès, Émile Durkheim, Charles Péguy,
Marcel Mauss et bien d’autres. On dit, à l’époque, qu’il est soit une source d’inspiration pour la
jeunesse ou encore de corruption. Quelle que soit la position des commentateurs, ils s’entendent
généralement pour affirmer qu’il fut une éminence grise de la Troisième république. Outre le fait
que Herr représente donc un point d’observation important du champ intellectuel de l’époque, il
a aussi beaucoup écrit mais peu publié en terme de livre sur l’actualité de son époque mais
aussi sur la politique et la philosophie. Nous nous proposons donc d’observer le développement
de la pensée et de l’action de Herr en mettant le tout en parallèle avec trois crises de la Troisième
République. Cet exercice nous permettra de dégager tout un pan de l’histoire politique et
intellectuelle de cette période. Au travers des réflexions et des actes de Herr nous pouvons
18
retrouver la généalogie du développement de l’engagement intellectuel dans une perspective
moderne. Cette perspective prend sa source dans les premières crises qui secouent la République
et voit en quelque sorte son aboutissement dans la mobilisation et l’engagement des intellectuels
autour de Herr pendant l’Affaire Dreyfus.
1871, LE DÉRACINEMENT
L’année 1871 n’est pas de tout repos pour la France. En effet, la défaite de Napoléon face
aux troupes allemandes à la bataille de Sedan marque la fin du Second Empire, l’élection
permise et favorisée par Bismarck voit l’arrivée au pouvoir d’une majorité monarchiste menée
par Adolphe Thiers et la population de plusieurs villes, dont Paris, prennent les rues et
proclament la Commune. Bien que surnommée « la Belle Époque », plusieurs historiens et
historiennes soulignent que cette vision romantique s’est formée a posteriori
1
. Au contraire, la
période est marquée par plusieurs crises liées à une recherche d’identité politique. Cette série de
crises, incontournable pour qui étudie l’histoire de la Troisième République, met en lumière
l’instabilité politique qui marque la France de l’époque.
Lucien Herr a à peine sept ans en 1871 et pourtant ces évènements auront des
conséquences marquantes sur sa vie. Son père, instituteur républicain, se retrouve confronté au
choix de rester en Alsace et de devenir citoyen allemand ou de s’exiler pour rester français. Il
décide donc de quitter sa ville natale avec sa famille. Patriote Jean Herr tient à ce que ses enfants
développent un sentiment d’appartenance national. Dans une lettre qu’il adresse au ministère de
l’Instruction Publique il dit : « […] j’ai cherché à inculquer à ces enfants, privés de mère,
l’amour de la patrie, de cette chère France pour laquelle nous n’hésiterons pas à quitter le sol
natal et une famille bien affectueuse et dévouée… »
2
De plus, Jean Herr est très attaché au
catholicisme et insiste donc pour que cette valeur soit aussi transmise à ses fils. Si la
déchristianisation est amorcée depuis longtemps en France, la création d’un système
d’éducation catholique parallèle en 1850 mène à l’émergence de deux jeunesses préfigurant les
conflits de la fin du siècle ou s’affronteront cléricaux et anticléricaux
3
. Lucien Herr, quant à lui,
gardera un douloureux souvenir de son éducation religieuse. Dans son testament il écrit : « J’ai
été élevé dans une discipline sévère de foi et de pratique religieuse. Il m’a fallu faire, pour libérer
ma raison, ma conscience et ma conduite, un long et douloureux effort, qui a attristé et déchiré
plusieurs années de ma jeunesse. »
4
Alors que la France traverse une crise d’identité, Herr amorce une réflexion autour de
l’héritage familial influencée par le déracinement résultant de l’exil. Dans le Progrès intellectuel
et l’affranchissement, il effectue une lecture critique de l’histoire par le biais d’une généalogie de
l’esprit.
Herr s’attarde d’abord aux origines intellectuelles de la religion. Le stade primitif se
caractérise, selon lui, par le postulat de l’existence de forces mystérieuses inconnues et
1
Christophe Prochasson, Les années électriques, Paris, Éditions la Découverte, 1991, p. 6.
2
Jean Herr, Jean Herr au ministre de l’I.P. 1er juin 1872, Fondation Nationale des Sciences Politiques, Paris, Fond
Lucien Herr, LH1, Dossier 1.
3
Christophe Charle, Histoire sociale de la France au XIXe siècle, Paris, Éditions du Seuil, 1991, p. 83.
4
Lucien Herr, Dernières volontés 24 novembre 1921, Fondation Nationale des Sciences Politiques, Paris, Fond
Lucien Herr, LH1, Dossier 7.
19
redoutées
5
. Le rapport avec ces forces s’effectue par le biais de cérémonies qui ne font pas partie
d’un tout cohérent. Toutefois, la systématisation d’une mythologie survient beaucoup plus tard,
selon Herr. C’est le désir sentimental esthétique, lié au développement de la culture qui pousse
à vouloir se représenter l’ensemble de ces forces mystiques dans un système cohérent. La
généalogie mystique ainsi dégagée préside à la formation des différentes religions. Herr note tout
de même que ce désir sentimental ne se retrouve pas dans l’ensemble de l’humanité, mais plutôt
chez un petit nombre d’individus
6
. Il y a donc une majorité d’individus qui n’adhère ni
intellectuellement ni sentimentalement à une mythologie, mais qui croit de bonne foi un récit,
sans critique ni remise en question.
Au sentimentalisme mystique Herr oppose l’état nouveau de la pensée. Cet esprit repose
d’abord et avant tout sur la science entendue comme conscience
7
. Cette dernière doit affranchir
par la destruction des préjugés et dogmes pour ensuite libérer la conscience. Lucien Herr définit
trois traits particuliers à l’esprit nouveau soit l’immanence, l’autonomie et le rationalisme.
8
Le
concept d’immanence développé dans Le Progrès intellectuel et l’affranchissement est central
dans la pensée de Herr en ce qu’il définit le rapport de la société et par même de l’individu
avec le monde. Ce faisant il s’attaque au concept de « vérité » : s’il n’y a pas de transcendance il
ne peut y avoir de vérité ou d’idéal externe à l’humanité. Au-delà de la relativité de la « vérité »,
Herr affirme qu’il n’existe, pour l’être humain, qu’une vérité humaine et par conséquent
immanente
9
. Il en résulte qu’on ne doit pas se reposer sur ce qui a déjà été fait, ou encore
chercher hors de nous un idéal suprême, mais bien effectuer un mouvement d’élargissement de la
conscience par le rationalisme.
Les deux autres traits sont caractérisés par l’esprit critique. Dans un premier temps, ce
dernier doit permettre de s’affranchir des « servitudes du passé » et des « transcendances » donc
d’autonomiser le sujet
10
. Le progrès intellectuel ainsi caractérisé suppose donc une rupture,
l’affranchissement, que Herr place sous le thème du déracinement
11
. Ce dernier, prend trois
formes différentes. Il y a d’abord le déracinement sentimental soit l’«abolition du caractère,
dissolution des fatalités héréditaires ou éducatives. »
12
Ce premier degré est axé autour de la
famille et l’éducation qui y est liée. Le déracinement social se définit comme une « abolition des
attaches naturelles, esprit de clocher [et] chauvinisme »
13
, c’est l’opposition à toute tradition
basée sur le nationalisme ou l’appartenance à un groupe. La combinaison de ces deux
déracinements, dans un processus d’affranchissement, mène au dernier degré soit le
5
Lucien Herr, « Le progrès intellectuel et l’affranchissement », dans Choix d’écrits II : Philosophie Histoire
Philologie, Paris, Édition l’Harmattan, 1994, p. 17-18.
6
Ibid., p. 18.
7
Ibid., p. 11.
8
Ibid.
9
Lucien Herr, « Le progrès intellectuel et l’affranchissement », op. cit., 1994, p. 13.
10
Ibid., p. 12.
11
Dans son article « Lucien Herr et le positivisme », Étienne Verley souligne que Herr effectue un renversement
du thème barrésien de déracinement. Maurice Barrès considère le déracinement comme un aspect négatif des
sociétés modernes. La séparation d’une personne avec sa communauté d’origine engendre une dégénérescence qui a
pour résultat de la transformer en un individu sans attache et antisocial. Notons toutefois que le romand de Barrès
Les déracinés ne paraît qu’en 1897 alors que Le Progrès intellectuel et l’affranchissement est rédigé entre la fin des
années 1880 et le début des années 1890.
12
Lucien Herr, « Le progrès intellectuel et l’affranchissement », op. cit., p. 21.
13
Ibid.
20
déracinement intellectuel. À ce stade « ce qui est définitivement rompu […] c’est la fatalité de
tout dogme; c’est toute servitude intellectuelle. »
14
Au terme d’un long processus, cette série de
déracinements permet au sujet d’accéder à l’autonomie.
Nous nous retrouvons donc devant ce que Herr désigne comme l’esprit nouveau qui se
caractérise par la rupture. Il s’agit en effet de rompre avec la tradition soutenue par le
sentimentalisme mystique en se servant de l’esprit critique. Cette réflexion reflète bien les
conflits politiques qui secouent la France, entre une droite traditionnaliste qui souhaiterait le
retour de la monarchie et une gauche allant des républicains aux socialistes qui prônent l’entrée
dans la modernité.
Le boulangisme, Socialisme et affranchissement collectif
La question l’identité politique revient en force avec l’affaire Boulanger. Cette crise, qui
survient entre 1888 et 1891, a pour source l’instabilité du gouvernement républicain due aux
crises économiques et agricoles et agrémentée de quelques histoires de corruption. Cette
instabilité mine la confiance envers le parlementarisme de la Troisième République et permet le
retour à l’idée de « l’homme providentiel » qui, à l’image de Napoléon Bonaparte, saura sauver
la France et permettre la revanche face à l’Allemagne. Cet homme s’incarne alors dans la
personne du général Boulanger
15
. Ce dernier, réussira à rassembler autour de lui tant la droite
déçu par l’échec de la restauration qu’une certaine gauche voyant en lui l’homme pouvant
accomplir les réformes sociales nécessaires. Soupçonné de complot contre l’État, Boulanger fuit
la France et lors de l’élection suivante ses partisans s’effondrent.
Selon L’historien Zeev Sternhell l’effondrement du Boulangisme participe grandement à
un remodelage de la droite. Dès lors, on peut y voir deux familles bien distinctes, d’un côté la
droite conservatrice et de l’autre la « droite révolutionnaire »
16
. Cette dernière prend une teinte
nettement nationaliste, autoritaire et antiparlementaire. La crise boulangiste, tout en permettant
par sa conclusion l’affermissement du régime républicain, cristallise l’opposition droite-gauche
dans une structure qui exclut tous ceux qui refusent la défense de la république.
De son côté Herr se positionne dans le camp de la défense de la République. À la
recherche d’une organisation politique à l’intérieur de laquelle il pourrait s’impliquer, Herr se
tourne d’abord vers la Fédération des travailleurs socialistes de France (FTSF) pour ensuite
suivre Jean Allemane dans le schisme qui donnera naissance au Parti ouvrier socialiste
révolutionnaire (POSR). À l’opposé de la recherche de l’homme providentiel boulangiste, ce
parti affiche une défiance claire envers les individualités : « […] l’esprit du Parti ouvrier, qui ne
réside et ne doit résider que dans l’effacement absolu des personnalités en face de la cause qu’ils
doivent défendre et pour laquelle ils sont appelés à avoir l’honneur de se sacrifier. »
17
Le journal
du parti, pour lequel Herr écrits quelques articles, présente un épigraphe sans équivoque : «
14
Ibid.
15
Dans cette perspective le boulangisme ressemble beaucoup au Bonapartisme. Non seulement on cherche un
« homme providentiel » mais ce dernier doit transcender les partis et permettre une réconciliation devant mener au
redressement de la nation. Voir Michel Winock, La fièvre hexagonale, op. cit., p. 129-136.
16
Zeev Sternhell, La Droite révolutionnaire, Paris, Fayard, 2000, 436p. Voir aussi Michel Winock, La fièvre
hexagonale, op. cit., p. 138.
17
Parti Ouvrier Socialiste Révolutionnaire (France). Congrès national (10 ; 1891 ; Paris), Compte rendu du X
Congrès national tenu à Paris du 21 au 29 juin 1891, Paris, impr. J. Allemane, 1892. p. 17.
21
Peuple, fais tes affaires toi-même, guéris-toi des individus. »
18
Lucien Herr ne fait pas exception
à cette règle, sa participation se fait sous le signe de l’anonymat, puisqu’il utilise un pseudonyme,
et il n’y retire volontairement aucune reconnaissance personnelle
19
. En réalité, Herr appliquera
cette « volonté de ne pas parvenir » tout au long de son existence. Le témoignage de Georges
Lefranc laisse entendre que Herr exprimait lui-même cette position : « Ils reconnurent alors
Lucien Herr qui causait avec Lévy-Bruhl, et qu’ils respectaient depuis qu’on leur avait raconté
que Herr parlait toujours aux jeunes gens de la volonté de ne pas parvenir. »
20
Le « refus de parvenir » n’est pas unique dans le milieu socialiste. L’historien Vincent
Chambarlhac souligne avec justesse l’aspect collectif du « refus de parvenir » en citant Albert
Thierry : « Refuser de parvenir ce n’est ni refuser d’agir, ni refuser de vivre; c’est refuser de
vivre et d’agir pour soi et aux fins de soi. »
21
Chez Herr, cette position relève en bonne partie de
sa réflexion sur le socialisme. Ainsi il considère, comme plusieurs socialistes, que le peuple est
lui-même porteur du changement permettant son affranchissement :
Par le peuple! Il ne faut pas que le peuple attende ou accepte de personne ses moyens
d’action, son idéal, son corps de doctrine, il faut qu’il doive à lui-même et à lui seul la
pleine conscience de ses désirs et de ses volontés, et il faut qu’il ne doive qu’à lui-même
la force nécessaire pour en assurer la réalisation.
22
Cet affranchissement réside donc dans une révolution qui doit prendre en compte l’ensemble des
facteurs économiques, politiques et sociaux. Il repose aussi sur ce que Herr appel « l’universalité
des consciences en révolte » qui se rejoignent dans « l’effort organique d’une conscience claire
et totale. »
23
La conscience totale, tel que présentée par Herr, découle d’un mouvement à la base la
justice réclamée par l’individu sera universalisée dans un intérêt commun
24
. Il s’agit aussi, pour
Herr, de prendre conscience que « L’organisation politique et sociale est un système » et que ce
système est « caduc et modifiable. »
25
Cela nous ramène donc à l’idée d’immanence qui est ici
appliquée aux institutions humaines. La prise de pouvoir du peuple ne peut donc passer que par
cette prise de conscience qui permet ensuite de réfléchir l’avenir de l’humanité puisqu’il est donc
admis que l’humain produit ses propres institutions. Ce mouvement historique devrait permettre
le passage de ce que Herr appel « l’âge des classes » à « l’âge collectif. »
26
Dans la même veine
18
Cité par Michel Winock dans Michel Winock, Le socialisme en France et en Europe, Paris, Éditions du Seuil,
1992, p. 309.
19
Andler precise : « Pas un instant nous n’avons songé à devenir députés socialistes, à quémander des mandats.
Nous voulions donner garantie complète là-dessus aux ouvriers avec qui nous cherchions le contact. » Charles
Andler, Vie de Lucien Herr (1864-1926), Paris, Éditions Maspero, 1977, p. 120.
20
Georges Lefranc, « Ce dimanche de novembre 1924 nous avons conduit Jaurès au Panthéon », Banlieue Sud-
L’Écho d’Antony, 20 novembre 1981, p. 6-7.
21
Albert Thierry cité dans Vincent Chambarlhac, Le refus de parvenir une logique collective de la soustraction ?,
op. cit.
22
Lucien Herr cité par Djikpa dans Lucien Herr (1864-1926), Paris, Université Paris X Nanterre, 1996, p. 54-55.
23
Lucien Herr, La volution sociale, Fondation Nationale des Sciences Politiques, Paris, Fond Lucien Herr, LH5,
Dossier 1.
24
Lucien Herr, « Le progrès intellectuel et l’affranchissement », op.cit., p. 26.
25
Lucien Herr, La Révolution sociale, op. cit.
26
Ibid.
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