PanaMaths Mai 2002
On a donc : arg
k
= si, et seulement si,
)
,
BMA k
=
JJG JJJG , c’est à dire si les vecteurs
B
JJJG et
A
JJJG sont colinéaires. En d’autres termes, arg
k
si, et seulement si, les point A, B et M
sont alignés. En tenant compte de la condition 2zi
− qui nous conduit à éliminer le point B,
on en déduit que l’ensemble des points M d’affixe z tels que Z soit un réel est la droite AB
privée du point B.
Comme on a : 2
1
A− et 0
2
B−, il vient : 2
1
AB
JJG et 2
1
AM
JJJG. L’équation cartésienne de la
droite AB est alors donnée par : 21 22 2 2 40
21
xy xy xy
−+
⇔−= +⇔−+ +=
−− .
On retrouve bien le résultat obtenu à la question 1.a.
On souhaite maintenant que Z soit un imaginaire pur, éventuellement nul. En procédant
comme précédemment, on a : Z imaginaire pur si, et seulement si, z est différent de –2i et
arg 2
k
=+ où k∈].
Or, arg 2
k
=+ si, et seulement si,
)
,2
BMA k
=+
JJG JJJG , c’est à dire si, et seulement si, les
vecteurs
B
JJJG et
A
JJJG sont orthogonaux. En d’autres termes, on souhaite que le triangle MAB
soit rectangle en M. On sait (voir cours) qu’une telle condition fournit le cercle dont le centre
est le milieu du segment
[
,
B et le rayon la moitié de la longueur de ce segment (c’est à
dire : 1
2
B
JJJJG ).
Soit I le milieu du segment
[
,
B. Comme on a : 2
1
A
et 0
2
B
, il vient
201
2
21 3
22
I
+=
−−=−
.
On retrouve bien les coordonnées du point
obtenu à la question 1 :
Ω.
Pour ce qui est du rayon, on a : 2
1
AB −
−
JJJG et donc :
()()
22
11 1 5
21 41
22 2 2
AB =−+−= +=
JJJG .
Enfin, la condition 2zi≠− conduit à éliminer le point B. On retrouve ainsi, pour l’ensemble
F, le cercle de centre
et de rayon 5
2, privé du point B.