PRESSE FRANÇAISE
Les Inepties volantes
Festival d’Avignon 2009
FRANCE INTER (12 juillet)
Coup de cœur du Masque et la Plume
LES INROCKUPTIBLES (bilan Avignon 09)
« Ce voyage au cœur des ténèbres fut l’un des temps forts du festival 2009 »
LIBERATION (bilan Avignon 09)
« Sommets : on retiendra trois propositions majeures par leur engagement, dont les
Inepties Volantes de Niangouna et Contet. »
LE MONDE
Avec en Une d’accroche
« Les mots de l’acteur sont violaces. Ils coulent comme du sang,tandis que son corps
parfois devient fou, et l’accordéon de Pascal Contet aussi, hurlant des cris qu’on aurait
pas imagine pouvoir sortir de l’instrument «
LE FIGARO
« Niangouna travaille pas à pas avec le musicien Pascal Contet qui, à l'accordéon,
dialogue avec lui en une composition puissante »
LIBÉRATION
avec la Une d’accroche « Niangouna : les mots à vif »
« Cinglant. Une plongée violente et lyrique...un spectacle radical. Les inepties volantes,
œuvre choc sur les souffrances congolaises »
« C’est aussi un lieu (Cloître des Célestins) qui respire, comme respire l'accordéon de
Pascal Contet prenant le relais quand la parole suffoque trop »
« Ce qui se joue entre les deux n'est pas de l'ordre du dialogue : l'accordéoniste n'illustre
pas, il est lui aussi à l'écoute »
« Danseur, Niangouna n'a pas seulement l'intuition du geste juste. Fonçant la tête la
première contre une paroi de tôles ondulées, il est le buffle mais aussi l'homme qui vole
et transforme la tension en énergie poétique »
TÉLÉRAMA
« Son complice sur le plateau, le compositeur et accordéoniste Pascal Contet, trouve les
accents rauques qu'il faut pour tenir le rythme. Superbe voix que celle de l'accordéon qui
crie parfois d'un souffle muet, d'une respiration presque humaine »
THÉÂTRE ON LINE
« Céleste partition »
« Le verbe de Niangouna et la musique de Contet s'épousent ou se répondent, s'épaulant
à des instants, s’entrechoquant à d'autres. Leur présence est autant physique que
verbale, et si la route est la même, les hommes développent chacun une démarche
personnelle… Une partition entremêlant les univers portés par chacun des artistes qui
domine ce spectacle »
LA MARSEILLAISE
« Pour bien goûter Contet, il faut lâcher la rampe de l'accoutumée, accueillir, comme pour
Messiaen, les sons-bruits qui pèsent ou posent, cataractes où cris d'oiseaux, laisser
l'oreille se noyer, au risque de se perdre » (festival musique sacrée)
VAUCLUSE MATIN
« Le temps de dire s'accorde à la musique de Pascal Contet dans une complicité intime »
PRESSE FRANCOPHONE
LE COURRIER (Suisse)
« Plus qu'une musique, une matière sonore »
« Deux rythmes de corps et de voix qui invitent à jeter l’oreille.
A venir écouter. A venir voir ce qu'il y a à entendre ! »
LE SOIR (Belgique)
« Le corps épouse ces mots, les porte, est animé par eux... »
LE TEMPS (Suisse)
« Spectacle déchirant »
« Lui (Dieudonne Niangouna) ce qu'il cherche, c’est le geyser : ses failles sont autant de
cratères en puissance. L'expérience est convertie en rythmes et en visions. Ses inepties
volantes donnent un corps – le sien – un souffle – le sien encore et celui de
l'accordéoniste Pascal Contet – à un cauchemar qui le déborde »
ENTRACTES (Belgique)
« Chacun est suspendu à sa parole et aux notes de l’accordéon de Pascal Contet. Un
moment de grâce où l’effroi se mêle à la beauté »
VAUCLUSE MATIN
« Le temps de dire s'accorde à la musique de Pascal Contet dans une complicité intime »
RADIO France / LE KIOSQUE
« Un son instrumental à la fois minimaliste et grandiose ; une technique jamais tapageuse
et qui s'applique en permanence à se faire oublier »
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