Remerciements
Mes premiers remerciements vont tout naturellement à mon directeur de thèse,
Ragip Ege, sans le soutien et les conseils de qui cette thèse ne serait pas ce qu’elle
est. Ayant encadré tout d’abord mon mémoire de master avant de m’encourager à
poursuivre en doctorat, il m’a permis de travailler sur cet auteur aussi fascinant
qu’obscur (au moins par moments) qu’est John Maynard Keynes. Sa patience face
aux différents détours pris par l’élaboration de cette thèse et ses encouragements
aux moments les plus critiques de la vie d’un doctorant ont grandement contribué
à la poursuite de cette expérience enrichissante qu’est l’écriture d’une thèse.
J’adresse également mes plus sincères remerciements aux membres de mon jury,
qui ont aimablement accepté d’y siéger et de lire cette thèse, et dont les commentaires
contribueront sans aucun doute à l’amélioration et à l’approfondissement de mon
étude de la pensée de Keynes : Pascal Bridel et Harald Hagemann, ainsi que Robert
Dimand, Rodolphe Dos Santos Ferreira et Sylvie Rivot.
Je souhaiterais ensuite exprimer ma reconnaissance envers deux des enseignants
qui m’ont donné le goût à la fois de l’économie en général et de l’histoire de la pensée
économique en particulier. Véronique Mellinger, tout d’abord, m’a éveillé durant mes
années de première et terminale aux principaux enjeux socio-économiques actuels,
avec un recul critique et parfois humoristique qui a suscité ma curiosité scientifique
quant à la problématique des politiques économiques. Par la suite, durant mes deux
années de khâgne, Jean-Claude Val m’a permis de jeter un regard neuf sur la dis-
cipline,et m’a notamment fait découvrir pour la première fois la Théorie Générale,
à travers une lecture de l’œuvre qui allait guider mes thématiques de recherche fu-
tures. Il s’est surtout engagé en son nom propre pour me faire intégrer à la fin de
ma khâgne la Faculté de Sciences Economiques et de Gestion de Strasbourg, et je
l’en remercie très chaleureusement.
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