Typeurs : Jybay Buffet, Nicolas Delacroix / Correcteur : Quentin Gally
Immunité de l’appareil respiratoire
Fonction de l’appareil respiratoire
Oxygénation tissulaire et élimination de CO2
Equilibre acido basique
Fonction métabolique
Filtre circulatoire et réservoir sanguin
Thermorégulation et balance hydrique
Phonation
Défense de l’organisme
Interface avec milieu extérieur +++ (mais moins qu’au niveau du tube digestif)
Mécanisme de défense
Dispositif mécanique
D’autres qui sont à cellules immunitaires / tissus lymphoïdes
Tous ces éléments sont ces cellules circulantes ayant besoin pour migrer des vaisseaux sanguins et
lymphatiques
Facteur mécanique :
Poil/vibrisses qui filtrent les particules de grosse taille de plus 5 microns. Les plus petites peuvent arriver
jusqu’aux alvéoles
Eternuement : rejet des particules les plus grosses.
Et avant que des particules ne pénètrent plus loin dans l’appareil : reflexe de toux.
Facteurs mécaniques assurés par la muqueuse respiratoire en contact avec le milieu extérieur :
- barrière épithéliale
- Cils vibratils
- Mucus.
Barriere épithéliale :
Tube digestif : épithélium stratif pavimenteux : au
niveau de l’oropharynx, à cause des fortement. Et plus
profondément : muqueuse avec épithélium à une seule
couche de cellule.
Pour appareil respiratoire : plus compliqué :
au niveau du nez : repli de la peau : qui se
continue sous forme d’épithélium
pavimenteux pluristratif kératinisé.
Quand on rentre dans les sinus et fosse
nasal : épithélium pseudo stratifié. Avec
orientation sinueuse tortueuse
Oropharynx : endroit avec passage des
aliments : frottement important :
épithélium à nouveau pavimenteux, pluri
stratifié mais non kératinisé
Puis dans le larynx, trachée,
bronches (Tertiaire):Epithélium pseudo
stratifié.
A partir des bronchioles : cellules soient cylindrique soit cubique, mais une seule couche de cellule.
Typeurs : Jybay Buffet, Nicolas Delacroix / Correcteur : Quentin Gally
Cellule basales à la base aplati qui permettent de régénérer la muqueuse, dès lorsqu’elle est agressée.
Il y a des jonctions très étroites, très serrées, qui évitent le passage du milieu extérieur vers le milieu intérieur de
particules.
Fosses nasale / sinus / trachée / bronches
Cellules cillées
Cellules caliciformes : secrètent le mucus.
Cellules intra épithéliales : avec des Lymphocytes
(moins que dans le tube digestif)
Glandes séreuses qui vont s’ouvrir à la surface de la
lumière, qui secrètent une substance différente du
mucus des cellules caliciformes
Cellules endocrines qui parfois prennent tout la
longueur de l’épithélium, ou des fois sont écrasées en
profondeur de l’épithélium
En dessous : une basale, et en dedans : le chorion avec
fibres musculaires etc…
Bronchioles terminales et respiratoires
Toujours présence de cellules ciliées, et endocrines, on voit des
cellules de Clara, on les retrouve pratiquement jusqu’aux bronchioles
respiratoires.
Muqueuse de voies aériennes inférieures
Typeurs : Jybay Buffet, Nicolas Delacroix / Correcteur : Quentin Gally
Escalateur mucocillaire
action combinée du mucus et des cils
Elimination des particules étrangères soit par expectoration ou par déglutition
Epuration broncho alvéolaire
Humidifie et filtre l’air inspiré : important pour éviter le desséchement de la muqueuse : les secrétions
deviennent visqueuses et difficiles à rejeté. Le desséchement favorise l’agglutination et la persistance des
bactéries.
Cils : 80 % des cellules épithéliales en ont, entre 100 et 200 cils par cellules entre5 à 10µ de longueur
o Battent à la fréquence 1000 / 1500/min
o La vitesse est lente dans les petites bronchioles et plus rapide dans les bronches / trachée
0,5 à 1 mm/min dans petites VA
5-20 mm/min dans bronches et trachée
Sécrétions expectoré ou dégluties
Mucus
Mucus : gel formé en grande partie par les cellules caliciformes mais aussi par les glandes séreuses sous muqueuses.
Gel viscoélastique hétérogène en fonction de l’étage de l’arbre bronchique
Glycoprotéine : sucre 80% et protéine 20%
pH : 6,5 et 7,8 : est favorable à certaines bactéries et défavorable à d’autres
Enzymes : lysozyme, lactoferrine, anti leucoprotéase, transferrine (capte le fer au détriment de certaines
bactéries fer-dépendantes pour leur survie)
Peptides antimicrobiens : defensine, cadhélicidine, histatine : produits par les cellules épithéliales, mais
aussi par les cellules caliciformes et des glandes séreuses : jouent dans les infections qu’elles soient
microbiennes, bactériennes, virales, dues à un champignon
La couche superficielle est visqueuse pour capter les bactéries et les
empêcher d’aller plus loin.
De manière plus profonde : on a les secrétions plus liquide des glandes
séreuse : plus mobile pour que le battement des cils remonte vers le
pharynx les particules étrangères.
On trouve aussi des Ig, il peut y avoir tout les isotopes, mais le plus présent c’est l’Ig A comme dans le tube
digestif pour empêcher l’entrée des bactéries à travers la muqueuse.
Conditionnement de l’air inspiré et défense : Humidification de l’air
Fonctionnement optimal des cils pour évacuer les agents infectieux qui viendraient s’agglutiner et se multiplier.
Evite bouchon muqueux dans les petites VA : évite hypercapnie, hypoxie chez les patients malade, dilatation des
bronches, BPCO…
Flore normale
Le microbiote : important pour la muqueuse intestinal : important pour métabolisme autant qu’antiinfectieus et
module la réponse globale de l’organisme
Dans l’appareil respiratoire, c’est un peu différent
Muqueuse nasale et pharyngée
- flore résidente riche au niveau de la muqueuse nasale
- Essentiellement bactérie non pathogène (saprophyte)
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- en compétition avec des agents potentiellement pathogène (pneumocoque, méningocoque staphylocoque…) mais
dont la colonisation est moindre grâce à la compétition avec la flore saprophyte. Des personnes sont porteurs sain
de bactéries pathogène car neutralisés par la flore : nasal ou pharyngé.
En aval du larynx
- flore bactérienne est nettement diminué
- VAI et parenchyme pulmonaire = stériles.
Tissus lymphoïdes associé aux muqueuses(MALT)
Nasopharynx : NALT
Bronches : BALT
Tube digestif : GALT
Au niveau de l’organisation des voies aériennes sup : au
niveau du sinus/ du nez/ du pharynx :
C’est la même chose à quelque variante près ce qu’on a
dans la trachée : sauf qu’on a en plus un anneau de
Waldeyer : sorte d’anneau avec végétation avec les
amygdales.
On a des cryptes qui sont recouvertes d’un épithélium
avec une basale, une muqueuse très fine, et l’ensemble
est constitué de follicules et d’espaces inter folliculaires.
Amygdales
Follicule de Ly B,
Zone périfolliculaire riche en Ly T et en cellules dendritiques et
à moindre mesure des monocytes, macrophages.
Ce sont des structures assez voisines des ganglions, sauf qu’on
n’a pas de vaisseaux afférents ou efférents.
Ici au niveau des amygdales : forment une structure bien
arrondi, qu’on peut aisément séparer, et même retire en un
seule bloc grâce à la capsule qui l’entoure.
Epithélium de la muqueuse respiratoire et cellules intra épithéliales
Les cellules intra épithéliales :
Les Ly immunitaires intra épithéliales : se trouvent en général proche de la basale.
Sont constitués de Ly
On estime qu’il a 20cellules intra épithéliales Lymphocytaires pour 100 cellules épithéliales donc 20%.
Ces cellules sont surtout des LyT et surtout des CD8 à 2/tiers et CD4 à 1/3
Ici pratiquement tout les Ly T expriment le TCR alpha/beta.
Présence d’intégrines alpha 4, beta 7 : exprimé à la surface des cellules qui permet de migrer au sein
de l’appareil respiratoire et de l’épithélium.
On trouve aussi des Ly B et Ly NK.
Mastocytes également présent
NALT/BALT
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Dans le chorion
On a des Ly B éparpillés, de distribution diffuse, mêlé à des cellules dendritiques, lié à des macrophages et de temps
en temps des mastocytes plus rares. Mais plus discutable au niveau de l’épithélium en lui-même.
Des structures arrondies qui rappellent des follicules primaires formés surtout de ly B, plasmocytes, cellule
dendritiques
Facteur de domiciliation : au moins 2 qui jouent un rôle non négligeable.
P-selectines
ICAM-1
Immunoglobuline A
Sous l’effet d’un certain nombre de stimulus comme le TGF beta :
commutation isotypique des plasmocytes et production d’IgA.
Et dans certaines situations et en fonction de l’étage : on peut avec
production d’IgG, ou production d’IgE si pathologie par exemple.
IgA : produit sous forme de monomère, et surtout de dimère dans
muqueuse respiratoire.
Se lie à un récepteur : sur le versant basale de la cellule épithéliale,
qui reconnait la forme dimérique de l’IgA qui va l’internaliser dans la
cellule et une partie du récepteur va être coupé : la pièce sécrétoire
Puis passe à l’extérieure : pour aller dans le mucus, et à la surface du
mucus ou elle en contact avec tout les agents pathogènes. Ce qui
empêche le pathogène de progresser.
NALT / BALT
Les cellules intra épithéliales peuvent réintégrer le chorion, et les échanges au niveau du reste de l’organisme se font
au niveau des vaisseaux et ca peut rejoindre les ganglions.
Cellule immunitaire intra-alvéolaires
Le pneumocyte I : cellule souche qui tapisse et contribue à la formation. Exprime des collectines, qui se lié
directement à la paroi virale ou bactérienne : assurant l’opsonisation de cas agents
Les pneumocytes II / secret e des cytokines comme IL 6, et engendre dans certaines circonstance des agents
inflammatoires
Ils synthétisent aussi le Surfactant, défense contre bactéries.
Lavage broncho alvéolaire : on injecte et on récupère une bonne partie, on regarde la composition des cellules dans
les alvéoles.
Normalement plus de 90% des cellules sont représentées par les macrophages, moins de 10% par des Ly, et en
majorité des Ly TCD4
Et 3 à 4% des Ly B.
Très peu de polynucléaires : inferieur 2 % sauf chez les fumeurs où ça augmente
Et dans les pathologies : ca peut annoncer une fibrose pulmonaire
Des sécrétines : des Ig : ça représente moins de 5% des protéines dans les alvéoles.
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