470 e
Hommes qui nous délivrent de l’injustice =
juges. Il vaut mieux être puni pour une faute
qu’on a commise, que rester impuni. C’est à
cela que doit servir la rhétorique, à s’accuser
pour pouvoir être puni.
478 a
5. Entretien avec Calliclès (481 b – 527 e)
A. Plan
I. Les thèses de Calliclès (481 b – 492 e)
Les conditions du dialogue (481 b – 482 c)
La nature et la loi (482 c – 484 c)
La critique de la philosophie (484 c – 486 d)
Retour sur les conditions du dialogue (486 d – 488 b)
Définition de l’homme supérieur (488 b – 492 c)
- les plus forts (488 b – 489 d)
- les plus intelligents (489 d – 491 b)
- les plus courageux (491 b – 491 d)
- ceux qui sont capables de plus grandes passions (491 d– 492 e)
II. La réfutation par Socrate (492 e – 506 a)
Distinction entre le Bien et l’Agréable (492 e – 500 a)
- les désirs sont insatiables (492 e – 494 c)
- la distinction entre les plaisirs (494 c – 495 c)
- le plaisir n’est pas le bonheur (495 c – 497 d)
- distinction entre plaisir, courage, intelligence (497 d – 500 a)
Distinction entre deux genres de vie (500 a – 506 a)
- les deux genres de vie (500 a – 501 d)
- application au rapport avec la foule (501 d – 506 a)
(rhétorique et politique)
B. Les thèses de Calliclès
C. Réfutation de Socrate 492e – 500a
6. Socrate seul (506 a – 527 c)
A. Plan
Définition de la justice (506 b – 508 c)
L’art qui permet de vivre en homme juste (508 c – 513 e)
- la philosophie (508 c – 510 a)
- et non la rhétorique (510 a – 513 e)
La véritable politique (513 e – 523 a)
Le mythe final (523 a – 527 e)
B. Définition de la justice
7. Conclusion