aspect culturel :
Une perte d'identité culturelle liée au fait de l'internationalisation de la culture, et une
certaine uniformité. Par exemple les émissions télévisées dont le concept est recopié
et diffusé sur les chaînes internationales. La mondialisation ayant pour objectif de
faire consommer les cinq continents de la même manière, la perte de l’identité
culturelle pour un pays semble inéluctable.
en terme de libertés :
La mondialisation entraine une forte privatisation. Par conséquent, on constate une
perte des libertés fondamentales comme la liberté d’expression des médias. En effet,
les médias privés sont tenus d'avoir un discours correct à l'égard de certains sujets
pour ne pas froisser les investisseurs privés qui détiennent un pourcentage des
capitaux d'un groupe d'informations.
Inconvénient du nationalisme économique.
Le nationalisme économique désigne un comportement spécifique du
consommateur, des entreprises et des pouvoirs publics consistant à favoriser le bien
ou le service produit au sein de leur Nation ou de leur groupe de Nations. Une
démarche souvent citée également en ce sens est celle d'intelligence économique au
service du pays.
Le concept est cependant largement dénoncé comme une couverture du
protectionnisme, c’est-à-dire , une certaine hostilité aux acquisitions par des groupes
étrangers d'entreprises considérées "stratégiques" pour l'économie du pays.
critique libérale : le patriotisme économique correspondrait à une forme de
protectionnisme qui, visant à bloquer la concurrence externe, ne permettrait pas de
profiter des avantages d'une économie ouverte et irait ainsi en sens contraire de
l'objectif affiché de compétitivité. Il jouerait donc contre les intérêts nationaux.
les efforts menés au titre du nationalisme économique n'ont guère de
résultats mesurables et peuvent même se révéler contre-productifs, en pénalisant
l'image internationale du pays concerné comme économie fermée et en handicapant
l'internationalisation des groupes que le gouvernement entend protéger ( ces
groupes concernent généralement : l’énergie, la défense, l’aéronautique,
l’aérospatial, la recherche et le développement ).
Absence de stratégie de long terme : le nationalisme économique, visant à
protéger les entreprises françaises de toute délocalisation, ce qui est une bonne
chose, les empêche de faire preuve de compétitivité à l’échelle internationale. A long
terme, cette stratégie sera contre productive.
Théoriquement, Seules les grandes entreprises seraient concernées par ce
concept ; en réalité, la politique publique des pays développés cherchent à intégrer
les PME via la structuration de pôles de compétitivité et le réseau des chambres de