besoin de croire et non pas de savoir.
Pour D.Villey, pnon seulement nous avons laissé les odctrines de côté et c'est fort
dommageable mais c'est la notion même , le concept, la doctrine en tant que catégorie que
nous avons délaissé.
Notre époque se targue selon Villey d'être débarrassé de tout préjugés. Mais en réalité sous
couvert de scientisme c'est tout idée de rattaché des conclusiosn scientifuqes à un système
de valeurs que nous avons abandonné. Sous prétexe de sciences nous nous refusons de faire
les grands choix et arbitrage. Il denonce l'adoxalisme cad le refus de la doctrine en tant que
genre. Il y voit dans ce refus comtemporain de choisir et d'enchasser les systèmes
économiques dans des sytèmes de valeurs une lacheté intellectuelle , unrefus de s'engager,
une préfiguration du triumphe du relativisme et l'invasion de techniques sphistiquées masi
barbares empêchant l'éconnomiste qui se réfugie derrière ses techniques de se prononcer sur
les seuls soit qui importe au total et vraiment cad , le problème définitif de l'option de
système . Il creuse particulièrement se scillon et s'étonne – ou plutot ne s'étonne plus – que
l'on puisse aboutir a des pensées incertaines comme l'idée qu'en matière de système on peut
mélanger selon des pondérations a définir des éléments ressortissant du plan et d'autres du
marché. L'idée d'un juste milieu n'est pour lui que le voile de la lacheté inetllectuel qui
caractériserai notre époque, il va même jusqu'à parlé d'une « dévirilisation » des esprits
porteuses a terme de confusions et de troubles et réabilite enfin l'importnace des doctrine
qu'en mettant la capacité de lier les options économiques d'avec les options philosophiques,
morales, logiques, métaphysoqeus voire même religieus car nul ne serait existé san un
système puissant de valeur dans lequel il s'inscrit, d'où il déduit sa célèbre analyse sur la
survit voir l'expansion du marxisme alors que toujours et partout ce système aprofondément
échoué mais a l'avantage sur d'autre de s'adosser sur un système fort et cohérent de princies.
On ne trahit pas la pensée de Villey en disant qu'il serait profondément en désacord avec
Pirou sur un débat trés actuel: le marhé est-il moral , immoral ou ammoral. Priou répondrai
évidemment le marché est ammoral. Villey rpondrait évidmenet que le point le plus
important et le plus fécond du capitalisme c'est au contraire de ce que pense beaucoup sa
moralité,puisqu'il conjugue et la liberté et la responsabilité ( on fera attention aux
amalgames comtemporain entre les dévations de quelques uns et la propositons te système
et de telle nature, Ex: y a – t – il des institeurs ou des prêtres ou des aniateurs qui ont des
comportements pédophiles? La rseponse est malheuresement oui ! Est-ce que cela permet
d'inérer la proposition suivante : tout les écclésiastiques sont des pédophiles? Bien susr que
non. Y - a - t -il des gens qui se comportent lamentablement a l'intérieur du système
capitaliste ? Oui . Est ce que cela permet d'inférer par exemple la proposition suivante : tout
les patrons sont des voyous? Bien sur que non. On confond le comportement de quelques
uns et on imagine qu'il est la conséquence d'un système ) .
Commentaire: la science - éco n'existe pas, elle dépend pas du comportement humain,
telle est l'affirmation d'un auteur dans le monde de marti 9 Oct. Bernard Guerriun. André
Babo : a quoi servent les économistes? Il doit se servir des leçons du passé pour éviter les
crises du futur.
Comment un individu peut-il contester que le marché est la solution optimal? Que l'État
n'est pas très abile quand il tente d'intervenir? Coment ce peut-il que les solutions
d'interventionnisme, des droits de propriété ont échoué d'une façon tellement massive.. (
Corée du Nord , Allemagne, Soudan, Algérie, Egypte (théorie de l'échange inégale) ) .
Si Pirou a entierement raison dans sa démarche sa distinction du vrai et de l'utile est