Schweitzer:
METHODOLOGIE DE LA SCIENCE-ÉCONOMIQUE:
méthodologie des sciences-morales.
Analyse Économique:
Les grands choix entrainnent mécaniquemnt les conclusions. « Selon les choix
méthodologique que l'on fait en analyse économique », ne signifie pas que les préférences
soient des préférences subjectives.
C'est une discipline « hypothético déductive » et non empirique . Dire que mes choix font
que j'arriverai a des choix évident ne signifie pas que les conclusion dépendent de mes choix
politique, personnel ou doctrinal.
Mr Attali auteur d'un best seller, ce qui est rare, « l'anti économique » 1972: il explique en
bon Bourdieusien, la science n'existe pas c'est une suite de présuposé logique. L'analyse
économique en va de même, les chiffres ne font pas la science, la science-économique
n'existe pas. Les présuposés idéologique, politique influ mécaniquement sur les conclusions
de l'économiste.
Il dit: Si je suis d'un tempérement de gauche ou d'influence gauchiste : je suis socio-
démocrate, soit marxiste en 1972. les choix méthodologique qu'opère un auteur
automatiquement l'ammène à traité son analyse économique d'une certaine façon.
Ex: les jusnaturalistes dirait non a m'euthanasie , alors que les positivistes demanderont si
elle est conforme et voté.
Ex: imageant que je suis un individualiste méthodologique, sera -t-il attiré vers une analyse
micro-économique? Et un Holiste vers la macro-économique (phénomène agrégé,celle qui
pense que les phénomènes agrégés peuvent donné autres choses que les actions personnels).
Mes positions méthodologique vont rejaillir sur mes choix.
Cette position qui prêche que la science-économique n'existe pas, pêche par
méconnaissance, comme Guillome Attali qui préfèra les analyses néo-classiques des auteurs
du 19ème( valras), alors obsolète à l'époque: il suppose un monde qui n'existe pas.
Ix questions méthodologiques se partagent le térritoire de la scienceconomique, mais au
dela et vraisemblablement ces quetsions au moins pour parties sont celle de toutes les
sciences humaines. Science humaines, morales, ou sciences-sociales? Les termes sont
employés indifférement c'ets une grave erreur.
Si l'économie est une science-humaine par définition elle traite de l'homme , de l'individu, si
elle est une science-morales elle se donne au moins pour partie comme objectif de faire des
préconisations relatives tout autant au règles de conduites qu'au mécanismes.
Si c'est une science-sociale, cela singifie qu'on étudie d'abord la société. Si l'étude de la
société est première cela signifie qua cette téide est croissante du point de vue
méthodologique sur l'étude de l'individu.
Les six problèmes en questions s'imbrique les uns les autres, et ce n'est que pour des
commoditées pédagogiques qu'on les traitera de façon séparé.
SECTION 1 / L'ÉCONOMIE POLITIQUE EST-ELLE UNE SCIENCE ET, OU
DOCTRINE:
Ramenant un débat réinitié par l'ouvrage d'Attli G. « l'anti économique » 1972, la question
du statut scientifique, de la science-économique est un débat intense en science éco d'autant
plus crucial pour les économistes que leurs ambitions réaffirmées depuis plus d'un siècle et
de quitter le domaine des sciences-humaines(molle) pour rejoindre la cohorte des sciences
dures. L'analyse économique ne peut l'espérer que si ces méthodes sont analogues a celles
des sciences-dures. ( il ne faut pas sans doute chercher plus loin, la raison la plus
profonde est la formalisation de la science-éco qui procède simultanément de singer les
sciences exactes, mais en même temps d'exclure sa compréhension par le grand
publique comme les disciplines des sciences-dures ne sont pas accessibles au grand
publique).
L'économie c'est la science des choix.
Quand une discipline est inaccessible elle est en situation monopolistique ou
oligolistique.
L'ordre social est le résultat de l'action des hommes et non d'un dessein pré-établit.
La fascination d'un système celui du système impératif, à la chute du mur, jusque dans les
années 80 les economistes étaient pr les sytèmes impératif.
Le débat analyse économique science et ou doctrine c'est particulièrement focalisé autour
des propos et de la contreverse entre Gaetan Pirou et Daniel Villey .
Pour G.Pirou il faut débarasser l'analyse économique de non seulement tout préjugé
idéologique mais la doctrine elle-même n'a rien a faire dans la démarche scientifique. La
doctrine, c'est l'ensemble des valeurs d'orde philosophique, morale, religieuse,
métaphysique, de conduite qui guide les positions que l'on peut prendre hors du champs des
choses matérielles ou des espaces scientifiques.
G.Pirou estime que la démarche scientifique est polluée par des considértaions relatives à
d'autres territoire et qui obscurcissent et déforme les résultats obtenus.
Cette ligne, de « pureté scientifique », est évidemment impossible à tenir parfaitement et
nos choix nos go , nos préférences, de façon oblique et indirecte interagissent sans même
sans doute que l'économiste sans rendre compte.
G.Pirou en est bein conscient et c'ets en se sesn qu'il introduit sa distinction classique et très
féconde entre l'alternance de période où le vrai l'emporte sur l'utile et inversement, il déplore
les secondes, il plébiscite les premières. Les périodes où le vrai est recherché sont les
périodes où les superstitions et les besoins de croire et d'avoir des vérités toutes faites sont
en recul.
Les périodes où l'utile l'emporte sur la vrai sont des périodes où importe moins la recherche
de la vérité que la nécessité d'avoir des certitudes ou de se rassurer ou d'avoir des
explications siples voire simpliste :
les français en 1940, avaent-ils besoin de la recherche du vrai ou de l'utile qui rassure.
Inversement les Trentes Glorieuses ont étaient une périodes de poussée scientifiques très
forte. Devant un monde aujourd'hui que beaucoup ne comprennet pas et qu'ils croient
amrqué par un déclin inéluctable les explications simples même si elles sont caricaturales
receuillet de nombreux suffragent. On vie aujourd'hui une période incontestablement où la
recherche de la vérité scientifique importe beaucoup moins que les slogans les à peu prés et
els approximaton ( l'attribution hier 12 Octobre 2007 : du prix nobel à un film de
propagande destiné a relancé un candidat au présidentiel américaine conforterai Pirou dans
l'idée que ous traversions une périodes de doutes et de troubles dans laquelle les gens ont
besoin de croire et non pas de savoir.
Pour D.Villey, pnon seulement nous avons laissé les odctrines de côté et c'est fort
dommageable mais c'est la notion même , le concept, la doctrine en tant que catégorie que
nous avons délaissé.
Notre époque se targue selon Villey d'être débarrassé de tout préjugés. Mais en réalité sous
couvert de scientisme c'est tout idée de rattaché des conclusiosn scientifuqes à un système
de valeurs que nous avons abandonné. Sous prétexe de sciences nous nous refusons de faire
les grands choix et arbitrage. Il denonce l'adoxalisme cad le refus de la doctrine en tant que
genre. Il y voit dans ce refus comtemporain de choisir et d'enchasser les systèmes
économiques dans des sytèmes de valeurs une lacheté intellectuelle , unrefus de s'engager,
une préfiguration du triumphe du relativisme et l'invasion de techniques sphistiquées masi
barbares empêchant l'éconnomiste qui se réfugie derrière ses techniques de se prononcer sur
les seuls soit qui importe au total et vraiment cad , le problème définitif de l'option de
système . Il creuse particulièrement se scillon et s'étonne ou plutot ne s'étonne plus que
l'on puisse aboutir a des pensées incertaines comme l'idée qu'en matière de système on peut
mélanger selon des pondérations a définir des éléments ressortissant du plan et d'autres du
marché. L'idée d'un juste milieu n'est pour lui que le voile de la lacheté inetllectuel qui
caractériserai notre époque, il va même jusqu'à parlé d'une « dévirilisation » des esprits
porteuses a terme de confusions et de troubles et réabilite enfin l'importnace des doctrine
qu'en mettant la capacité de lier les options économiques d'avec les options philosophiques,
morales, logiques, métaphysoqeus voire même religieus car nul ne serait existé san un
système puissant de valeur dans lequel il s'inscrit, d'où il déduit sa célèbre analyse sur la
survit voir l'expansion du marxisme alors que toujours et partout ce système aprofondément
échoué mais a l'avantage sur d'autre de s'adosser sur un système fort et cohérent de princies.
On ne trahit pas la pensée de Villey en disant qu'il serait profondément en désacord avec
Pirou sur un débat trés actuel: le marhé est-il moral , immoral ou ammoral. Priou répondrai
évidemment le marché est ammoral. Villey rpondrait évidmenet que le point le plus
important et le plus fécond du capitalisme c'est au contraire de ce que pense beaucoup sa
moralité,puisqu'il conjugue et la liberté et la responsabilité ( on fera attention aux
amalgames comtemporain entre les dévations de quelques uns et la propositons te système
et de telle nature, Ex: y a t il des institeurs ou des prêtres ou des aniateurs qui ont des
comportements pédophiles? La rseponse est malheuresement oui ! Est-ce que cela permet
d'inérer la proposition suivante : tout les écclésiastiques sont des pédophiles? Bien susr que
non. Y - a - t -il des gens qui se comportent lamentablement a l'intérieur du système
capitaliste ? Oui . Est ce que cela permet d'inférer par exemple la proposition suivante : tout
les patrons sont des voyous? Bien sur que non. On confond le comportement de quelques
uns et on imagine qu'il est la conséquence d'un système ) .
Commentaire: la science - éco n'existe pas, elle dépend pas du comportement humain,
telle est l'affirmation d'un auteur dans le monde de marti 9 Oct. Bernard Guerriun. André
Babo : a quoi servent les économistes? Il doit se servir des leçons du passé pour éviter les
crises du futur.
Comment un individu peut-il contester que le marché est la solution optimal? Que l'État
n'est pas très abile quand il tente d'intervenir? Coment ce peut-il que les solutions
d'interventionnisme, des droits de propriété ont échoué d'une façon tellement massive.. (
Corée du Nord , Allemagne, Soudan, Algérie, Egypte (théorie de l'échange inégale) ) .
Si Pirou a entierement raison dans sa démarche sa distinction du vrai et de l'utile est
perniante dans son domaine . Si l'on recherche la science et non pas l'idéologie , serons nous
plus heureux. Historiquement oui , le vrai recule devant ce qui est utile. En 1940 : les
français recherche des explications simples, car situations incertaines, qui nous protège?
L'utile emporte sur le vrai : il faut ce débarrassé des superstitions et rechercher ce qui est
vrai.
G.P: Les gens recherche ce qui les rassuerent , ce qui leur est utiles pour vivre « panem et
circances ».
Seul Prix nobel d'économie : Maurice Allet « ce qui devait arriver, arrive » : en économie :
pourquoi les choses arrivent telles qu'elles arrivent.
D.Villey dit croire qu'un système économique ne repose pas sur un système philosophique
ou que les comportements .que cela met en jeu sont sans fondement doctrinal, est une grave
erreur. Ce n'est pas que l'on soit idéaliste, c'est la doctrine en tant que genre, que catégorie
que nous refuttons, mais a force de ne pas prendre parti sur les positions de l'homme elle est
devenu adoxaliste.
Nous n'avons plus de colonne vertébral « c'est le temps des copains », étant « a la recherche
d'une doctrine économique » Marie thérèse Genin ( chap 1 les doctrines en périls. Un autre
chap sur la moralité de l'économie libre ).
Viley disait: « une chose ne peut pas etre et ne pas etre en même temps ». « entre le plan et
le arché, il faut choisir ». ca ne peut etre « et » mais ca doit etre « ou » : c'est ou vou sle
marché o u vous le planificateur. La dicotomie des systèmes.
« nous traversons des temps ou on se répugne a choisir » « le temps des copians » , semble
etre toujours d'actualité de nos jours . « Arretons de pensée qu'un jour allant a la rencontre
k'un de l'autre les deux systeme se mélangeront ».
En refusant de choisir entre les idées, en disant que dans tte les thèses il y a un peu de bon,
et de pensée qu'il en sortira un système. En un moment donné il faut choisir : refus de
choisir da sles années 30 par ex.
chez Villey rappel qu'une science économqieu ne peut pas se passer de s'incrire dans un
décor, de reflété une certaine philosophie.
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