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Bénéfices de l’endurance :
- capacité de supporter des charges d’entraînement (= entraînabilité)
- amélioration de la performance
- amélioration du système cardio-vasculaire (+ meilleure vascularisation des muscles)
- élimination des produits terminaux du métabolisme (acide lactique, CO2)
- augmentation de l’endurance foncière.
Intérêt du travail en capacité aérobie = augmenter la capacité métabolique des muscles impliqués dans l’effort.
Remarques :
- Quand on augmente les réserves énergétiques, l’activité enzymatique est elle aussi augmentée intérêt
du travail en endurance.
- Il faut éviter de faire des efforts en pleine digestion car le muscle a besoin de 80% du débit sanguin, ce
qui laisse peu de sang pour les autres organes et notamment ceux du système digestif.
- VO2 max. = Q (VCaO2 – VCvO2) en augmentant le débit cardiaque, on oblige l’organisme à
s’adapter au niveau pulmonaire.
- Plus on augmente la capacité aérobie, plus on augmente le réseau de capillaires et donc mieux le muscle
est irrigué.
- Plus le cœur est gros, plus il pourra métaboliser d’acide lactique.
- Pour développer la capacité du cœur plutôt travail en endurance.
- Pour développer la force contractile du cœur (VES) plutôt travail en résistance.
- Le logiciel Fit Eval permet de situer l’état de forme de l’athlète et de mettre en place un programme
d’entraînement en fonction de ses besoins.
- Test Léger-foot : volonté d’adapter les tests à la spécificité de l’activité.
Méthodes d’entraînement :
- Méthode de longue durée capacité aérobie
- Intermittent
- Méthode par répétition = parcourir une distance donnée à la vitesse optimale avec un temps de
récupération complet adaptation des systèmes cardio-respiratoire, vasculaire et métabolique.
- Méthode de compétition
- Entraînement en altitude :
Altitude optimale = 1800m ; Durée d’adaptation = 9 jours ; Méthode idéale = vivre au niveau de la mer
et s’entraîner en altitude pour ne pas avoir les désagréments de la vie en altitude (rq : à vérifier) ou
caisson hypobar (même pression mais moins d’O2).
- Course avec changement de cadence travail sur la plasticité du système cardio-respiratoire.
- Course en côte sollicitation de la filière anaérobie lactique.
- Foulées bondissantes pliométrie.
Tests :
- Cooper
- Léger-Boucher
- Epreuve navette
- Exercice de même durée que la compétition mais avec une intensité supérieure
- Exercice de durée supérieure à la compétition mais avec une intensité moindre
Chez l’enfant et l’adolescent, on mettra en place des situations ludiques pour travailler en endurance, l’objectif
étant qu’ils n’aient pas l’impression de courir.
On ne travaille pas en lactique chez des enfants car leur système d’élimination du lactate n’est pas encore
mûre (problème du stress pour les jeunes champions qui provoque la production massive de lactate par
l’intermédiaire des catécholamines).