LE RENOUVEAU SOCIAL ET POLITIQUE
Objectif 6.2.3 p. 356 à 365
1. Le capitalisme remis en question
- Suite à la crise économique (1929) on remet en question le libéralisme
économique et la démocratie parlementaire que l’on tient responsable de la
misère.
- Certains pays s’orientent alors vers le socialisme ou le communisme
pour remplacer le capitalisme. Voir le « concept » p. 357.
- D’autres veulent plutôt réformer le capitalisme sans l’abolir. On prône
alors un retour aux valeurs traditionnelles et la correction des abus. C’est
ainsi que naissent le corporatisme et le fascisme. Voir leurs définitions
p. 356.
- Italie et Allemagne instaurèrent le fascisme alors que la Suède et le
Danemark allèrent plus à gauche.
2. Nouvelles idées, nouveaux partis
- Après la crise, des mouvements de pensée rejetant le laisser-faire
économique apparaissent au Canada.
- Le coopératisme est un de ceux-là. Ainsi les gens ordinaires prennent
part à la vie économique en défendant des principes comme : mise en
commun des ressources; une personne = un vote; répartition égale des
profits.
- On crée des coopératives agricoles, bancaires (caisses populaires) et
d’assurances dans les années 1930.
Le Crédit social et le C.C.F.
- Ces deux partis viennent de l’Ouest canadien.
- Le Crédit social propose d’augmenter le pouvoir d’achat par des
subventions mensuelles aux familles. Créé en 1932 il remporte une
éclatante victoire en Alberta (provincial) en 1935.
- Le C.C.F. ou Coopérative Commonwealth Fédération (ancêtre de
l’actuel N P D) fondé en 1933 par des ouvriers et fermiers de l’Ouest