Nous savons tous que cet aboutissement syndical est issu d’un long processus Nord-
Américain mais les canadiens se sont engagés à déterminer leur mise en œuvre syndicale par :
entreprise ou catégorie professionnelle, c’est ce qui a déterminé toute cette concurrence en
monopole de représentativité.
C’est ainsi que les relations de travail se sont favorisées et maintenues par les négociations
collectives ou de branche (bâtiment) ou par décrets (en voie d’extinction) au service des
différents et griefs des non syndiqués.
A cet égard, le code du travail Québécois a pris en charge touts les rapport collectifs de travail
entre employeurs et associations accréditées et il favorise l’exercice du droit syndical
majoritaire (50% ou 30%) et n’apporte aucune entrave à la représentativité libre.
Aussi il veille à l’assurance des conditions de travail les plus favorables, à la protection de
l’intégrité physique et morale des salariés, de leurs rémunérations et indemnités et plus
généralement à assurer une organisation et conditions de travail, d’emploi et de salaires
conformes aux dispositions de la loi :
Sur la santé et la sécurité du travail.
Sur les accidents du travail et les maladies professionnelles.
Et voila une redynamisation syndicale très soutenue par la conservation des dispositions
légales conventionnelles en vigueur.
Par contre certains enjeux persistent à défier le mouvement syndical tels que : les lois des
décrets c.c, le harcèlement physique, la reforme municipale…etc.
Donc ici, on souligne aussi la mobilisation des partenaires sociaux avec le soutient du travail et
la sécurité sociale et de la francisation des entreprises.
Mais comme le Canada n’a pas ratifié la convention (98) sur le droit de négociations et
conventions collectives vu les engagements contradictoires des provinces on remarque ce qui
suit :
Conventions signées mais pas d’acquis a 100%.
95% de grèves mais sans arrêts de travail.
Baisse des arrêts de travail et de nombre de personnes salariés.
Grèves non payées par les employeurs.
La conclusion de cours s’est représentée par l’exceptionnelle contribution de la FTQ à la
protection de la liberté syndicale, aux droits fondamentaux des travailleurs ainsi qu’à la
protection de leur santé et de leur sécurité sur les lieux de travail.
En effet on relève ici que c’est la plus importante organisation syndicale au Québec qui
regroupe à la fois les syndicalistes Canadiens et Nord-Américains.
N’oublions guère que cette organisation a fait une large place à la promotion de la liberté
syndicale, c’est pourquoi elle est féminisée à 33%.
Elle a pour objectif de fixer la représentation politique : en examinant les projets de loi et en
coordonnant entre affiliés…etc, et elle s’engage au développement des actions constantes
auprès des travailleurs et des entreprises de son champ d’application, à travers ses différents