ETHIQUE DES AFFAIRES
I.A.E.
1 INTRODUCTION A LETHIQUE DES AFFAIRES.
1.1 METHODOLOGIE DE REDACTION DUN DEVELOPPEMENT
STRUCTURE
Un bon devoir c’est un devoir que quand on lit l’introduction et la conclusion on connt
l’essentiel du travail effectué.
Un Développement Structuré s’articule autour de trois parties, en l’occurrence l’introduction, le
corps du sujet et la conclusion.
1.1.1 REDIGER LINTRODUCTION
L’introduction sert d’ordre du jour. Dans l’introduction on doit :
1. Expliciter les termes clés du sujet.
2. Délimiter le cadre de l’étude : il importe de rappeler les circonstances et le contexte
dans lequel on sinscrit. On doit également justifier l’intérêt et les enjeux. On doit
accrocher le lecteur.
3. Dans un troisième temps il faut présenter le probme à soudre, c'est-à-dire : la
problématique. (de quoi s’agit-il ? Il s’agit de faire quoi ?)
4. On rappelle que pour un me sujet, plusieurs questions ou sous-problématiques
peuvent se présenter. C’est la réunion de ces différentes questions en une seule bonne
question qui tient lieu de probmatique nérale. Il importe de construire un corps
d’hypotses. Qu’appelle-t-on une hypothèse ?
Une hypotse peuttre finie de plusieurs fons :
A : c’est une réponse anticipée face à une probmatique posée.
B : c’est aussi une affirmation gratuite qui mérite d’être démontrée.
Une hypotse est également une proposition qui peut-être vraie ou fausse.
N.B. : Pour qu’il y ait une hypothèse il faut qu’il subsiste un doute scientifique.
On distingue 3 grandes catégories d’hypothèses :
A : les hypothèses descriptives (qui décrivent l’objet observé.)
B : les hypotses explicatives (qui apportent des causes racines ou les
explications sur l’objet observé Réponse à la question pourquoi ?)
C : les hypothèses prescriptives (qui apportent des solutions des
recommandations, des conseils, comme l’ordonnance d’un médecin.)
Les hypotses sont sous forme déclarative, et non sous forme de questions. Il
faut qu’elles soient comptes et plausibles.
5. Après le corps d’hypotses il faut ensuite mettre en évidence le plan que l’on va
adopter. Ce plan étant en osmose (complice) avec le fil conducteur. On part d’un
diagnostic de lexistence, on suit une méthodologie pour concevoir les ponses à la
problématique posée.
6. L’intérêt est un besoin implicite ou cac et qui apparaît à la vue d’un élément
particulier ou d’un phénomène particulier. (intérêt, utili et enjeux.). Cest un besoin
affic et donc la réalisation est indispensable. C’est l’importance que l’on doit
accorder à la réalisation d’un évènement sous peine de perdre les gains assocs ou
alors d’en améliorer les bénéfices.
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1.1.2 REDIGER LA CONCLUSION
Un autre titre pour cette section pourrait être « Limites et perspectives d’avenir. ». On doit ici
faire un bilan.
1. Dans la conclusion, il importe de faire uniquement le bilan voire faire la syntse des
principales idées clés que l’on a utilisées durant toute la phase de l’argumentation. (dans le
corps du sujet.). Il nest plus question de recommencer le débat.
2. Quel continu doit-on trouver dans une conclusion ?
a. On doit rappeler succinctement la problématique de départ.
b. On doit également repréciser le fil conducteur. Je suis parti d’ pour arriver à
quoi ? J’ai utili quoi comme moyens et démarches ?
c. La conviction de l’auteur.
d. Quelle est votre valeur ajoutée ? Il faut décrire la contribution de l’auteur.
Démontrer l’apport d’ordre descriptif, explicatif et prescriptif des hypothèses.
e. Définition des limites.
f. finition des perspectives de l’avenir.
1.1.3 CORPS DU SUJET
Les plans les plus utilisés dans les corps du sujet sont des plans à 2, 3 ou 4 parties maximum.
Si l’on passe 4 parties, il importe de justifier cette inflation. On rappelle que le plan utili
dans le corpus doit toujours être en osmose avec le corps d’hypothèses ou tableau thématique
que l’on doit bâtir.
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2 CONCEPTS FONDAMENTAUX SUR LE MODULE
2.1 RAISONS DETRE DU COURS DETHIQUE
Le cours d’éthique permet d’instaurer une cohésion entre les membres d’une même entreprise et
entre les membres d’une entreprise et le reste de la soc afin d’éviter les désorganisations
nocives pour la compétitivité en rale.
2.2 LEXIQUE ABREGE
Ethique, onthologie et Morale
1.1.1.1. Ethique
C’est la science des fins à ne pas confondre avec la Morale.
1.1.1.2. Morale
C’est la science du bien et du mal, universellement accepté comme tel.
1.1.1.3. Déonthologie
C’est la conduite que doivent observer tous les membres d’une même branche
d’activité afin de pserver sa bonne réputation.
Performance, employabili et comtence
1.1.1.4. Performance
C’est l’efficaci plus l’efficience. L’efficaci cet le rapport entre les résultats
obtenus et les objectifs fixés. L’efficience c’est le rapport entre les sultats obtenus
et la quantité de moyens ou le volume horaire utili.
Efficacité + Efficience = Performance
1.1.1.5. Employabili
C’est l’aquation entre l’offre et la demande d’emploi.
1.1.1.6. Comtence
C’est l’aptitude ou la capaci de soudre une problématique poe.
Régulation Economique
La gulation économique c’est l’ensemble des canismes assurant la stabilité à un niveau
jugé acceptable d’un système économique.
Régulation Sociale
C’est l’ensemble des canismes assurant le maintient des comportements à l’inrieur de
limites jugées acceptable dans une soc ou un groupe.
Clause compromissoire
ETHIQUE DES AFFAIRES
C’est une disposition par laquelle les parties liées à un contrat s’engagent à recourir à l’arbitrage
pour les litiges éventuels et relatifs à ce contrat.
L’arbitrage
C’est une produre facultative de règlement d’un conflit collectif de travail consistant pour les
parties à confier à un tiers choisit par elles, la solution du conflit.
Corporate Social Responsability (CSR)
Ce concept se développe essentiellement au cours des décennies 1960 et 1970 et stipule quil
existe une sorte de contrat implicite entre l’entreprise et la Société selon lequel l’entreprise a des
obligations envers la Socié qui a le droit de la contrôler.
Corporate Social Responsiveness
Ce concept représente la reconnaissance de l’attention à accorder aux demandes sociales.
L’entreprise doit suivre les problèmes sociaux qui peuvent laffecter et y répondre avant qu’ils
ne se déclenchent.
Global Reporting Initiative (GRI)
Elle a pour objectif de facilité et d’améliorer l’élaboration et diffusion de rapports de
veloppement durables par les entreprises. Pour cela, elle élabore et diffuse des lignes
directrices qui servent ensuite de guide à la rédaction de ces rapports. Elle unit plusieurs
partenaires du Programme des Nations Unies pour le veloppement : entreprises, ONG,
fédérations professionnelles, etc. Créée en 1997, la GRI a publié sa premre version en 1999.
Le respect de ce texte par les entreprises est totalement volontaire. Il n’existe pas de procédure
de vérification de leurs applications.
Le Global Compact
Lanen Juillet 2000 par Kofi Annan, le Global Compact visait une prévention des risques de
rive de la Mondialisation. Le projet s’articule autour de 9 principes issus de la déclaration
universelle des droits de l’homme, des déclarations de l’OIT (Organisation International du Travail)
et enfin du sommet de Rio sur l’environnement et le développement.
Le WBCSB : World Business Council for Sustainable Development
Association regroupant 165 compagnies. Elle publie notamment un rapport sur leco-efficacité,
le « Changing Course » ou « changement de cap » et met davantage sur l’accent sur l’intérêt
économique plutôt que sur l’impact environnemental des pratiques industrielles d’il y a
quelques anes.
Eco-efficience
Après le sommet de Rio, les entreprises se sont attaces à concilier l’efficience économique et
l’excellence environnementale afin d’assurer une croissance économique à la fois soutenu et
respectueuse des besoins des rations futures, en termes de consommation des ressources
de la plate ou de protection de l’environnement. Ainsi est le concept d’éco-efficience qui
consiste à conjuguer les performances environnementales et économiques pour créer de la
valeur au niveau des entreprises mais aussi et surtout de la collectivi.
ETHIQUE DES AFFAIRES
Triple Bottom Line - EXAMEN
La Commission Euroenne a officiellement lancée en avril 2000 l’outil « triple bottom line »
pour mesurer la valeur des entreprises. Leur performance est alors analysée sur trois angles :
- Environnemental : quel est l’impact des activis de l’entreprise (des sites et des
produits) sur l’environnement au sens large (consommation des ressource, rejet
de toutes natures, occupation du territoire) ?
- Economique : au- delà des performances financières, le veloppement durable
(la Soc, l’économique et l’environnement) suppose non seulement la prise en compte
des perspectives à long-terme de l’entreprise mais également de son impact pour
le développement économique, de zone d’implantation et celui de ses parties
prenantes (stake holders), le respect des principes éthiques des affaires (absence de
corruption, d’entente, dabus de position dominante…)
- Social : quelles sont les conquences sociales de lactivité de l’entreprise pour
l’ensemble de ses parties prenantes : employés (condition de travail, formation,
rémunération, non discrimination), ses fournisseurs, ses clients (sécurité et impact des
produits) et des communautés locales (nuisances, respect des cultures, droits de l’homme.)
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