Physiologie respiratoire. F. Wallois.
Cours d’Inès Masmoudi. PCEM2 2009-2010.
o Des voies efférentes : elles partent de la moelle épinière pour aller aux muscles à
innerver.
- Dans le tronc cérébral on retrouve un réseau de motoneurone dédié à la respiration. Il contrôle
les motoneurones phréniques et intercostaux.
- Le tronc cérébral est renseignée grâce aux fibres afférentes sur :
o Etat de distension du système. Ces afférences se font grâce au N. vague et le IXème paire
des nerfs crâniens.
o Les besoins du système : oxygène et dioxyde de carbone. On retrouve des
chémorécepteurs qui renseignent sur la quantité d’O2 et CO2 dans l’organisme.
o Au niveau carotidien pour les chémorécepteurs à l’O2
o Au niveau de la face ventrale du bulbe pour les chémorécepteurs du CO2.
- La respiration joue sur l’équilibre thermique.
Plus on respire plus on diminue la température centrale. En effet quand on respire on diminue la
température en refroidissant en autre les lacs veineux du nez et par un phénomène
d’évaporation.
- Les afférences trijiménales (dans le nez) qui renseignent sur la qualité de l’air qui est inspiré.
- Dans le nez :
o Récepteurs aux irritants.
o Des mécanorécepteurs pour les particules.
o Des thermorécepteurs.
o Des barorécepteurs.
o Exemple : reflexe de plongée lorsque de l’eau rentre dans le nez on s’arrête de respirer.
- Le cortex va pouvoir moduler les activités du tronc cérébral.
- La posture est à l’origine une régulation du tonus des motoneurones dans la moelle qui n’est pas
liée au contrôle du tronc cérébral.
- Le programme moteur est modulé par les informations sur les besoins et sur l’état du système.
- CPG est le générateur du rythme.