d’annuler ou d’inverser, les effets de la gravitation terrestre mais plus précisément de celle-ci comme
« moteur » de l’agglomération massique de la matière condensée.
Il est nécessaire (suite à l’étude précédente [1]) que des « ballonnets » ou volumes adaptés soient créés dans
les matières « inerte » et vivante en générant, c’est ici la difficulté majeure, une sollicitation vibratoire
interne dans ces petits ballonnets qui doivent être correctement générés ; - Il est quasiment assuré qu’il
faudra utiliser ou qu’il se produise un effet de type Laser « correct » dans le processus ; - L’utilisation et
aussi une application « correcte » de forts champs électriques et magnétiques apparaissent indispensables ;
- L’organisation massique Naturelle [1] de la matière condensée va sûrement réagir à cette attaque visant sa
suprématie, la question qui en découle est : quels effets défensifs pourront-ils être propagés ?
On peut remarquer que le dernier point est un vaste programme d’étude, mais pour l’instant aucune
anticipation n’étant possible il faut en garder mémoire et passer quand même à l’action pour essayer de
vaincre cette très célèbre gravitation dominante qui participe à l'agencement de toute la Nature de l'Univers.
2. 2. Mise en forme de "ballonnets" dans la matière et leur sollicitation vibratoire interne
Les très petits « ballonnets » qu'il faut générer, par exemple, dans la matière condensée vont être à base
d'EVTD2 agglomérées en nombre plus ou moins important, ce qui va définir de tous petits volumes. La
deuxième action c'est qu'il va falloir générer une vibration d'origine interne à ces « ballonnets » qui soit
particulièrement adaptée à la réalisation de l'effet désiré.
Est-ce qu'il est possible, sinon à partir de la seule action de concrétisation des volumes « ballonnets » et
dans un ajustement convenable, de créer simultanément les deux effets d'une part, les très petits volumes et
d'autre part, la vibration interne à ceux-ci ? Il s'avère que cela peut être envisagé avec une bonne
probabilité. En effet si l'on parvient à réaliser des dimensions de « ballonnets » telles que celles-ci
représentent, pour chacune des trois dimensions du volume ainsi créé, un multiple entier et exact de fois
respectivement chacune des trois dimensions du parallélépipède EVTD2, la solution au problème est
immédiate. Que va-t-il effectivement advenir, alors, dans la matière condensée ou vivante ainsi sollicitée ?
C'est tout simplement un effet Laser qui est engendré, de fait, par la vibration électromagnétique mère
OME qui va alors pouvoir entrer en parfaite résonance dans chacune de ses trois dimensions en harmonie
avec chacune des trois dimensions des « ballonnets » et du milieu actif interne. Ceci est tout à fait à
l'identique (pour une seule dimension) à ce qui se passe dans une cavité Laser, laquelle se trouve être une
cavité résonante ouverte linéaire dans la direction d'émission de la radiation du Laser. Pour ce qui est du
système « ballonnets » que l'on vient d'envisager, il suffit de faire coexister simultanément trois systèmes
Lasers dans les trois directions perpendiculaires entre elles : les homologues respectivement de la direction
de propagation de l'onde mère et de chacun des directions des deux champs électrique et magnétique.
On en déduit alors que de très petits volumes « ballonnets », analogues et homothétiques à un certain
nombre d’entités EVTD2, sont générés dans la matière et possèdent, alors, une vibration de source
tridimensionnelle intérieure à ces « ballonnets ». Cette vibration peut être à la même fréquence que l'OME
se trouvant être amplifiée de la même manière que pour l'effet Laser ou bien à d'autres fréquences moins
hautes qui s'initialisent dans ces cavités Laser spécifiques. En définitive cette vibration résultante fait entrer
en résonance ces éléments volumiques les plus petits possibles, ce qui va réaliser la répulsion réciproque de
ces « ballonnets » identiques et plus lourds que l'énergie diffuse ambiante dans laquelle ils « baignent »
suivant l’étude [1] et dans l’ouvrage [2].
Il y aura, à ce moment là, une détérioration du phénomène de massification c'est à dire rupture de la
pression - attraction entre les tous petits volumes de la matière condensée (ce qui, nous l'avons défini,
génère en principe l'état de masse) car la vibration interne résonante étant d'intensité plus forte que celle de
l'OME les effets de cette dernière s'en trouvent nettement diminués. Il s'ensuit donc un phénomène de
démassification à l'intérieur de cette matière ainsi traitée. Il semble que sur le principe lui-même la solution
soit trouvée, encore faut-il maintenant faire en sorte de bien créer les très petits « ballonnets » et de générer
correctement la vibration interne aux trois composantes. Il semble que le moyen de contourner ce problème
soit justement dans l'utilisation des fréquences adaptées que nous savons générer et de jouer dans le milieu
de matière condensée à la création d'états vibratoires non linéaires ou encore d'états de chaos, ce qui
permettrait de pouvoir promouvoir un bruit blanc qui posséderait donc la très haute fréquence convenable
au but poursuivi. De plus les intensités des forces de vibration, nécessaires pour créer, à ces très hautes
fréquences, des amplitudes d'une certaine valeur adaptée, pourront être portées au niveau qui convient dans
l'amplification donnée par les états non linéaires ou de chaos.