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COMMUNIQUE DE PRESSE
POSE DE LA PREMIERE PIERRE HOTEL D’ENTREPRISES
SCIENCE PARK
29 NOVEMBRE 2010
Contacts :
Laurence ROBERT, Ecole des Mines d’Alès – 06 13 79 15 37
Francis CHANOVE, SAEM ALES – 04 66 56 40 40
1re PIERRE
HOTEL D’ENTREPRISES : UNE CONCENTRATION DE MOYENS
AU SERVICE DES JEUNES ENTREPRISES INNOVANTES
Une nouvelle réalisation du Science Park de Croupillac a été lancée lundi 29 novembre.
Elle concerne la construction d’un Hôtel d’Entreprises, un ambitieux projet volontariste,
quasi unique en France, porté par l’Ecole des Mines,
la Communauté d’Agglomération du Grand Alès et la SAEM’ALES.
Après l’Institut des Sciences des Risques, sorti de terre en un an, la seconde phase du
Science Park de l’Ecole des Mines d’Alès sur le site Louis Leprince Ringuet (Croupillac) a
été lancée lundi 29 novembre avec la pose de la 1re pierre d’un Hôtel d’Entreprises.
Son objectif est de réunir dans un même lieu des étudiants, des compétences
scientifiques et techniques, des compétences de transfert, des entreprises en création et des
entreprises en développement pour accélérer le développement économique local et régional.
Grâce à une interaction très étroite avec les centres de recherche de l’Ecole des Mines, ce lieu
d’excellence permettra de favoriser la croissance des entreprises et d’accélérer la mise en
forme et le développement de projets. De manière plus générale, le but est de continuer la
mutation du bassin économique alésien en faisant émerger un tissu industriel durable lié à
l’économie de la connaissance, à l’innovation et à la recherche.
Pour la Communauté d’Agglomération du Grand Alès et la SAEM’ALES, c’est
l’opportunité de conforter le développement économique local en favorisant l’installation
d’entreprises très innovantes sur son territoire. Ce sont ainsi une trentaine d’entreprises
innovantes qui pourront bénéficier sur place de l’appui des étudiants et des laboratoires de
recherche de l’Ecole, chercheurs et entrepreneurs se côtoyant sur un seul « campus ».
Pour la grande école d’ingénieur, c’est une « pierre » de plus à sa contribution au
développement économique, pour lequel elle œuvre depuis sa création en 1843. Appuyé sur
ses 3 missions principales que sont la formation, la recherche et le soutien aux entreprises, elle
oriente ses actions vers un modèle conjonctif au bénéfice du développement économique.
Aujourd’hui, cette action se concrétise au travers des interfaces de transfert depuis ses
domaines stratégiques scientifiques jusqu’aux entreprises concernées, soit via des plates-
formes, à l’image de la mécatronique et du génie civil, soit par des collaborations étroites et
particularisées avec des PME innovantes (SD Tech, Compart, CTI, …). Des cursus de
formation permettent également un lien resserré avec les entreprises, plus particulièrement les
PME et GE locales, utilisant leur terrain ainsi que les centres de recherche de l’Ecole comme