Cours d` « Explication de textes philosophiques des temps modernes

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Cours d’ « Explication de textes philosophiques des temps modernes »
Pr. R-M Legros
Retranscription du 28.10.05
1 ère heure
Alors, l’attitude humaniste représentée essentiellement par Erasme Erasme qui est
la même année que Machiavel, 1469, il sont strictement contemporains- et ce qui caractérise
la position humaniste en quelques mots : c’est que c’est une manière d’élever l’homme, en
montrant qu’il est par lui-même capable d’accéder à une vie spirituelle ; il est lui-même
capable d’accéder par ses propres facultés, parce que les facultés humaines sont naturellement
bonnes. Et par conséquent, on peut montrer que on peut trouver chez les Anciens, une morale
autonome et indépendante du christianisme, mais qui rejoint les principes du christianisme.
Puisque les Anciens ont pu par leurs propres facultés, arriver aux mêmes principes que ceux
qui nous ont été révélés par les Écritures.
Donc, les Ecritures ont apporté une révélation, pour ceux qui n’étaient pas arrivés par
eux-mêmes aux grands principes, mais qui auraient pu arriver par eux-mêmes à ces principes,
mais simplement avec plus de temps. La Réforme a permis au fond, a facilité un travail, que
les hommes auraient pu accomplir par eux-mêmes. C’est un grand thème, on le verra, qui
sera repris au XVIII e siècle, sous l’appellation de religion naturelle ou religion rationnelle.
Donc, Erasme par exemple, pense lui-même, montre, que le christianisme d’une
certaine manière rejoint le platonisme : c’est ce qu’il montre dans l’ « Eloge de la folie », qui
paraît en 1511. Il s’agit bien, en effet, d’une manière de penser la scission entre l’au-delà et
l’ici-bas, dans cette reprise du platonisme, en disant que, en effet, il y a bien un au-delà qui
dépasse nos sens. Il est vrai, comme le disait Platon, que l’âme humaine est enchaînée au
corps et que le corps est un obstacle dans la découverte de la vérité, mais il est vrai aussi que
les sages de l’Antiquité (comme Platon) ou les pieux, c’est-à-dire les Chrétiens, peuvent sortir
de la Caverne, peuvent, je cite « déplorer la folie de ceux qui prennent des ombres pour des
réalités ». Il y a cette folie-, prendre des ombres pour des réalités, il faut le déplorer « et les
sages comme les pieux, se portent tout entiers, à la contemplation des choses invisibles ».
Donc, une reprise du platonisme, dans ce que le platonisme a comme caractéristique
d’être dualiste ciel intelligible et ici-bas matières trompeuses. Et donc, ce dualisme permet
de penser, enfin, c’est notre condition humaine, dans laquelle nous vivons dans un monde
dans lequel le divin est cependant absent, mais concevable par la pure pensée grâce à la
faculté.
Et donc là, le point de vue humaniste : retour aux Anciens pour montrer, mais pour
montrer que les Anciens sont modernes. Mais il faut préciser ici que, les trois attitudes que
j’ai mentionnées : humanisme, catholicisme, réforme ; ne se présentent pas directement
comme trois positions distinctes. Au début du XVI e siècle, Erasme peut soutenir les idées
qu’il soutient, alors que, comme on va le voir, elles annoncent la Réforme, qu’elles sont
cependant également humanistes et qu’elles sont louées par l’Eglise. C’est là, on va dire, le
mystère d’Erasme. Parce que Erasme, connaît jusque dans les années vingt, une gloire
immense, une célébrité très grande dans toute l’Europe. Le roi de France lui écrit des lettres
personnelles pour le faire venir à Paris, l’Empereur d’Allemagne le nomme conseiller privé,
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le pape lui offre un chapeau de cardinal… Tout le monde le flatte, tous les grands le veulent !
Il refuse toutes les offres pour garder son indépendance. Il refuse toutes les offres, mais il est
glorifié par tout le monde. En plus, c’est le premier auteur à succès (en exemplaires)
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d’imprimerie. Et, il écrit en latin, mais il est immédiatement traduit en allemand, en
hollandais, en français. Donc, il connaît un très grand succès, et puis dès le début des années
trente, il est attaqué par tous. Il est déjà attaqué par Luther très violemment. Et puis par
l’Eglise catholique, qui le considère comme un hérétique. Dès le début des années trente, tous
ses disciples sont poursuivis, doivent vivre dans la clandestinité, alors que début des années
vingt tous ses disciples (sont parmi)
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l’élite de l’Europe.
Qu’est-ce qui s’est passé (entre les deux)
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?
Et bien, Luther, qui a fait trembler l’Eglise, qui a fait peur. Et on a alors découvert que
les idées mêmes d’Erasme étaient dangereuses, puisque, que prônait Erasme en matière
religieuse ?
Il prônait ce qu’il appelait le « retour à la philosophie du Christ » . Philosophie du
Christ, qui est accessible à tous : au bourgeois comme au bûcheron, dit-il, au forgeron comme
au moine. Accessible à tous, et par conséquent, la connaissance de la doctrine, ne doit pas
être réservée à une minorité, à quelques moines et théologiens. Chaque homme peut se laisser
guider par l’inspiration chrétienne, tout homme est capable d’entendre le message intellectuel
du christianisme et par conséquent, une critique de la vie monacale, presque aussi virulente
que celle de Luther, avec sa formule « vie monacale n’est pas piété ».
Mais toutes ces idées-là passaient jusque dans les années vingt, sans difficulté.
L’Église y réfléchissait, trouvait ça intéressant. Et puis quand Luther a repris ces idées, alors
subitement on s’était rendu compte qu’Erasme était dangereux. Phénomène assez étonnant.
Tous les disciples d’Erasme, notamment en Espagne, sont poursuivis par l’Inquisition. Alors,
il suffisait d’avoir reçu une lettre d’Erasme pour comparaître devant l’Inquisition, alors
évidemment, le pauvre érasmien qui était poursuivi, pouvait dire : « mais, écoutez, j’ai reçu
une lettre d’Erasme, mais le roi de France en a reçu, l’Empereur en a reçu, le pape en a reçu…
pourquoi est-ce que vous me poursuivez ? ». Donc, la nouveauté c’était qu’on se rendait
compte qu’il était extrêmement dangereux… d’où la formule de ce moine catholique :
« Erasme a pendu les œufs, Luther les a fait éclore, que D. nous accorde d’écraser les œufs et
de tuer les poussins ».
Donc, voilà pour le contexte dans lequel se développe l’érasmisme. En ce qui
concerne maintenant la Réforme, qui est elle très proche de Luther sur bien des points. Sauf
sur un point, qui est le péché originel : l’homme par lui-même, ne peut pas découvrir la vérité.
Alors, quels sont au fond les grands principes ?
C’est également une réaction à l’égard du retrait du divin. Puisque le divin se retire du
monde, il faut bien constater que les Chrétiens sont seuls, seuls avec les Ecritures. Et par
1
Les mots retranscris (en italique et entre parenthèses), n’étaient très claires sur mon
enregistrement. J’ai pris la liberté de les remplacer par d’autres mots, dont le sens me
semblait le plus fidèle ou le plus cohérent par rapport au contexte de l’énoncé.
2
Idem.
3
Idem.
3
conséquent, il faut considérer les Ecritures comme la source unique de la religion. Il y a là,
toute une prise de distance à l’égard du monde médiéval, à savoir, toutes les autorités
médiévales qui étaient considérées comme des incarnations ici-bas de Dieu. Toute autorité,
qui était « sensée émaner de Dieu », selon la formule de Saint Paul, toutes ces autorités, ne
sont pas plus divines que le commun du mortel. C’est une grande transformation dans les
rapports interhumains. L’autorité n’apparaît plus comme divine. En sorte que, d’ailleurs au
niveau de la philosophie politique, cela va conduire aux « théories du contrat ». Puisque
l’autorité n’a plus comme fondement le divin, puisqu’elle n’émane du divin, il faut bien
concevoir qu’elle émane de l’homme. Donc trouver une formule, pour justifier le pouvoir qui
soit autre que la source divine. Parce que la source divine, déjà, on y croit plus. Ils sont
toujours religieux, mais ils ne croient plus que Dieu s’investit dans quelques-uns pour guider
le peuple. C’était la grande théorie de Saint Augustin : tout pourvoir venant de Dieu, le Dieu
a instauré le pouvoir, pour guider les ignorants et par conséquent tout pouvoir doit être
considéré comme légitime.
Donc, nous sommes seuls avec les Ecritures, l’écriture est la source unique de la
religion, la source unique de la doctrine (catholique
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). Donc, il faut expurger l’Evangile de
toute addition. Mais c’est déjà remarquer ce qu’avait fait Erasme quand il a traduit la Bible
Parce que Erasme avait proposé une traduction de la Bible avec déjà cet esprit. Et donc, il
faut supprimer toute hiérarchie entre prêtre et baptisé –tous les baptisés sont prêtres, c’est le
« sacerdoce universel ». Tous les baptisés sont prêtres. Si l’écriture sainte est la seule source,
on ne peut dès lors reconnaître que deux sacrements : le baptême et l’eucharistie. Il faut pas
s’étonner si au XVII e siècle, en pleine époque de la contre-réforme -ça veut dire la contre-
offensive catholique- tous les grands peintres catholiques, Poussin par exemple, ont fait des
grandes représentations de toutes les formes de sacrements. C’était bien pour répondre aux
Protestants ? Non, il y a pas deux formes de sacrements, il y tous les sacrements prévus par
l’Eglise catholique.
Alors, l’autre grand thème qui n’est pas chez Erasme, c’est la « corruption de la nature
humaine » : l’homme est voué à la misère, au ché, en raison de sa nature corporelle et ne
peut se sauver par des actes, des œuvres, des actions, ni par le culte ni par le rite. Il ne peut
rien comprendre par lui-même aux vérités divines et célestes. Et par conséquent, les
commandements de Dieu doivent être observés, non parce qu’il nous paraissent justes, mais
parce qu’ils sont les commandements de Dieu. Là, il y un grand conflit avec l’humanisme. Et
il y a une sorte de double nature de Dieu : le Dieu qui a choisi de se révéler dans le verbe et
puis, ce que les réformistes appellent à la suite de Isaïe, le « deus abs conditus
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», c’est-à-dire
le Dieu dont la volonté est absolument impossible à comprendre. Il y a bien à côté du Dieu
qui se révèle dans le verbe, le Dieu « abs conditus », impossible à comprendre. Non pas
seulement qu’il soit au-dessus de la raison humaine, il est même contraire à ce que peut
concevoir la raison humaine.
Donc, il y a là quelque chose qui renoue avec l’augustinisme : l’accentuation du péché
originel et la déchéance de la nature humaine. Donc, l’homme ne peut pas espérer être sauvé
par lui-même, par ses propres efforts. Comment peut-il être sauvé ? Seule la foi justifie.
Donc, seule la foi peut laver l’homme de la souillure du péché. Donc Luther reprend la
formule de Paul : « l’homme est justifié par la foi, sans les œuvres de la loi ». L’homme doit
reconnaître l’indignité de ses œuvres, la foi elle-même étant un don de Dieu. C’est la grâce
4
Idem.
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Je ne suis pas sûr quant à l’exactitude de l’orthographe de l’expression latine.
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qui éveille la foi. Donc …
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opposition radicale entre Erasme et Luther. Érasme avait
d’ailleurs fait paraître en 1524, un petit opuscule sur le libre-arbitre, et Luther répond
immédiatement, très violemment, par un autre petit opuscule le « Serf arbitre »,1525. Luther
ne condamnant pas l’usage de la raison, régénéré par la foi d’une raison qui sert la foi, mais la
foi est première. Par elle-même la raison ne peut rien. La raison peut, parce qu’elle est
animée par la foi.
Donc voilà le contexte. Donc, dans ce contexte-là, il y a une prise de conscience de
l’Eglise catholique, devant le danger que représente la Réforme. Et, on en vient alors, dans
l’Eglise catholique, à réaffirmer les principes anciens, contre Erasme tout aussi bien que
contre Luther. Principes anciens, à savoir que précisément, que l’enseignement chrétien tel
que le conçoit Erasme, peut certes être très intéressant, pour les gens, pour l’élite, pour les
gens, pour les théologiens. Mais le peuple, lui, va être dépassé par le sens même de
l’enseignement chrétien, et par conséquent pour les pauvres et les ignorants, qui ne peuvent
pas comprendre le message intellectuel du christianisme. Il faut non seulement des guides,
que sont les prêtres et la hiérarchie religieuse. Mais il faut aussi les « dévotions machinales » :
les pèlerinages, les reliques, les cérémonies. Et les images, qui étaient si critiquées par les
platoniciens de la Renaissance -les images de l’au-delà, puisque c’était le dualisme
platonicien : ce qui est image est ombre et illusion, seule la pensée peut…
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voir l’invisible.
Ces images tant critiquées par les platoniciens et par Erasme, sont la Bible du peuple. C’est la
seule manière d’instruire le peuple. Les reliques et les Indulgences, sont une nécessité
spirituelle pour le peuple. Mais aussi une nécessité, une rentrée financière, qui permet à
l’Eglise d’aider le peuple pour l’instruire et lui faire comprendre par l’intermédiaire d’images,
le sens de l’enseignement religieux.
Donc, là, les trois grandes tendances alors s’affirment très nettement, et c’est dans ce
contexte qu’il faut, on peut, lire Montaigne, qui vivait complètement désorienté par ces trois
tendances. Et qu’il va comme un va le voir, développer, alors bien sûr un scepticisme. Mais
cependant, un scepticisme, alors, au service de la foi, mais dans quel sens ? En quel sens
Montaigne est-il chrétien ? L’est-il -on sait qu’il est sceptique, qu’il ne fait pas du tout
confiance au pouvoir de la raison, contrairement à Erasme- mais son christianisme est-il un
christianisme humaniste, catholique ou réformiste ?
Alors, je rappelle que Montaigne est en 1533. Il a été éduqué par un précepteur
allemand qui ne parlait pas français, de sorte que son précepteur a fait tout son enseignement
en latin, pour qu’il puisse le comprendre. Il suit des cours à Bordeaux. Il est au Parlement de
Bordeaux entre 1557 et 1570. Et puis en 1571, il se retire pour écrire. Son premier livre des
« Essais », les « Essais » ont eu plusieurs éditions, chaque fois des éditions augmentées.
Alors, première édition 1572 et puis 1574. Le second livre est écrit entre 1578 et 1580. La
première édition en deux volumes est de 1580 à Bordeaux. Bon, Montaigne connaît aussi un
très grand succès. Le roi Henri III reçoit un exemplaire. Deuxième édition, 1582. Puis, le
troisième livre, écrit entre 1585 et 1588. Et l’édition avec les trois livres, en 1588. Alors,
bien entendu, comme vous le savez les « Essais », donnent lieu à un genre nouveau : le genre
« essai ». Ce qu’on va appeler « essai ». Le terme a fait fortune. Pourquoi « essai » ?
Justement, en raison même du scepticisme de Montaigne, qui écrivait très joliment : « si je
pouvais prendre pied, je ne m’essayerai pas, je conclurai ». Donc, les Essais c’est justement
6
Mots inaudibles.
7
Idem.
5
ce qu’on écrit quand on est dans l’incapacité de conclure. Alors, je prends donc cet extrait
des « Essais » du chapitre XII dans le livre II, l’ « Apologie de Raimond Sebond ».
De quoi s’agit-il avec cette « Apologie » ?
Il s’agit d’une apologie d’un théologien, Raimondi de Sabondae, catalan du XIV e
siècle, mort en 1432 à Toulouse. Et donc qui a écrit une « Teologia naturalis », parue en
1487, une « Théologie naturelle ». Et Montaigne nous le dit :
« Pierre Bunel
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» peu importe qui c’est « ayant arrêté quelques jour à Montaigne en la
compagnie de mon père (…) lui fit présent au loger » c’est-à-dire en partant « d’un
livre qui s’intitule » théologie naturelle, livre de Raimond Sebond. « Or quelques jours
avant sa mort, mon père ayant de fortune » ça veut dire par hasard « rencontré ce livre
sous un tas d’autres papiers abandonnés, me commanda de le lui mettre en François
9
. »
Et c’est ainsi donc que Montaigne a traduit en français, ce livre qui était écrit en catalan,
dans une sorte d’espagnol-catalan-français. Et Montaigne traduit cela, et Montaigne
ajoute « Pierre Bunel, fit l’éloge de l’ouvrage qu’il offrait à mon père et il fit l’éloge en
ces termes
10
», « et le lui recommanda, comme livre » c’est page 42-43 dans cette petite
édition, c’est donc au début de l’Apologie que Montaigne rapporte les circonstances
dans lesquelles il a écrit cette Apologie, et donc il lui dit : il « le lui recommanda,
comme livre très utile et propre à la saison » c’est-à-dire à l’époque « en laquelle il le
lui donna » propre à la saison et à l’époque, c’est-à-dire, Montaigne le précise
immédiatement
« ce fut lorsque les nouveautés de Luther commençaient d’entrer en crédit, et ébranler
en beaucoup de lieux notre ancienne créance » notre ancienne foi « En quoi il avait un
très bon avis ; prévoyant bien par discours de raison, que ce commencement de
maladie » c’est-à-dire Luther « déclinerait aisément en un exécrable athéisme : Car le
vulgaire n’ayant pas la faculté de juger les choses par elles-mêmes, » les choses telles
qu’elle sont en-soi « se laissant emporter à la fortune » c’est-à-dire au gré des
circonstances « et aux apparences, après qu’on lui a mis en main la hardiesse de
mépriser et contrôler les opinions qu’il avait eues en extrême révérence, comme sont
celles où il va de son salut, et qu’on a mis quelques articles de sa religion en doute et à
la balance, il jette tantôt après aisément en pareille incertitude toutes les autres pièces
de sa créance, qui n’avaient pas chez lui plus d’autorité ni de fondement, que celles
qu’on lui a ébranlées : et secoue comme un joug tyrannique toutes les impressions qu’il
avait reçues par l’autorité des lois, ou la révérence de l’ancien usage,
(…) entreprenant dès lors en avant, » c’est-à-dire désormais « de ne recevoir rien, à
quoi il n’ait interposé son décret, et prêté particulier consentement
11
. »
Donc, je ne sais pas si vous avez bien suivi l’argument, qui consiste à dire : Luther
c’est extrêmement dangereux. Luther c’est extrêmement dangereux, parce que si vous dites
8
Humaniste toulousain. Il avait d’abord été séduit par les idées nouvelles, avant de revenir à
une orthodoxie plus sûre. Il mourut en 1546. (Note extraite de mon édition)
9
pp. 691-693. Je travaille avec l’édition suivante : Montaigne, « Les Essais » ; Ed. « Le Livre
de Poche », « La Pochothèque », coll. « Classiques Modernes » ; Paris, 2001.
10
Cette phrase ne figure pas dans mon édition.
11
op. cit., p. 692.
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