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1. L’asthme disparaît à la puberté ?
oui non ne sait pas
=> Réponse : Non
Dans environ 1/3 des cas, l’asthme se calme à la puberté : c’est-à-dire que les crises ne se
manifestent plus. Cela ne signifie pas que la maladie ait disparu, car elle peut se
manifester de nouveau plus tard. Dans tous les cas, il ne faut certainement jamais prendre
ce prétexte pour ne pas donner, dès que possible, un traitement anti-asthmatique régulier
à un enfant asthmatique.
2. Par définition, l’asthme est fait de crises.
oui non ne sait pas
=> Réponse : Non
Pour le patient l’asthme se résume souvent aux crises. En réalité ces dernières ne
constituent que « la partie visible de l’iceberg », la partie immergée étant représentée par
l’état inflammatoire de base des bronches qui conditionne l’état chronique entre les crises.
La présence d’une inflammation chronique permanente est responsable de symptômes
respiratoires tels que la toux, l’encombrement bronchique et l’essoufflement à l’effort. La
maîtrise de cette inflammation passe par la prise régulière de corticoïdes inhalés.
3. Je préfère ne prendre des médicaments que lorsque je suis en crise car
j’ai peur de m’y habituer si j’en prends en permanence.
vrai faux ne sait pas
Réponse : faux
Les médicaments pris en traitement de fond n’entraînent pas d’accoutumance, c’est à dire
qu’ils conservent toute leur efficacité, même après une prise régulière et très prolongée
(plusieurs années).
Ils permettent à l’asthmatique d’éviter les crises et donc aussi d’éviter de prendre les
traitements de la crise, qui comprennent bien souvent de la cortisone en comprimés ou en
piqûres. Or la cortisone donnée sous cette forme peut être responsable d’effets
indésirables, ce qui n’est pas le cas de la cortisone inhalée (respirée).