Les Églises Chrétiennes de Dieu
[268]
Les Guerres Unitaires/Trinitaires [268]
(Édition 2.0 19980918-20000115-20040709)
Quand Constantin est arrivé au pouvoir, il a essayé d'unifier l'Empire romain sous un
système. Il a cherché à le faire par le Christianisme. Ce qu'il n'a pas compris, c'est que la
faction romaine n'était pas la faction dominante et que les doctrines de l'église étaient
devenues embrouillées de celles de l'Église originale. Cette confusion a mené à une série de
guerres entre deux factions qui avaient toutes les deux des erreurs doctrinales. Le résultat
final de cette erreur doctrinale et de ce désir de domination politique par la religion a été la
guerre et la persécution continuelle pendant mille sept cents ans. L'erreur et le conflit
produiront en fin de compte la ruine totale de la planète.
Christian Churches of God
PO Box 369, WODEN ACT 2606, AUSTRALIA
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(Copyright 1998, 2000, 2004 Wade Cox)
(Tr. 2003, 2007, 2008, rév. 2013)
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Les Guerres Unitaires/Trinitaires [268]
La Querelle Athanasienne/Arienne
depuis Nicée
Après le Décret de Tolérance de Milan en 314,
l'empereur Constantin a cherché à utiliser le
Christianisme pour des buts politiques. Il a
initialement soutenu la faction romaine, qui en
est venue à adopter les doctrines d'Athanasius
et, plus tard, celles des Cappadociens. La
position doctrinale de l'Église était devenue
embrouillée par les factions Gnostiques, sous
l'influence des cultes du mystère. Constantin a
soutenu la faction Athanasienne en supposant
erronément que, parce qu'elle était dominante à
Rome, elle était la secte principale, mais la
déposition d'Arius au Synode bondé
d'Alexandrie a conduit en fin de compte à la
guerre avec son coempereur, Licinius, et aux
troubles de 322-323 EC (ère courante).
Après avoir vaincu Licinius et s'être établi
comme le seul Empereur, il a convoqué le
Concile de Nicée en 325 EC pour consolider la
position Athanasienne (postérieurement
Catholique). Le credo attribué au Concile de
Nicée est mentionné comme le Credo de Nicée,
mais ses décrets ont été, en fait, amplifiés au
Concile de Constantinople en 381. Le Synode
de Chalcédoine en 451 se réfère au Credo du
Concile de Constantinople en 381, mais dans
un effort de donner une fausse représentation
de continuité, le Concile de Nicée est
mentionné par le Christianisme Trinitaire. En
318, Constantin avait ordonné la conférence
entre l'évêque de Rome et les desposyni, les
évêques qui étaient de la famille de Jésus
Christ. L'Église romaine a répliqué en
ordonnant leur extermination (voir ci-dessous
et l'étude La Vierge Mariam et la Famille de
Jésus Christ (No. 232)).
Les Canons du Concile de Nicée ont été perdus.
On a postérieurement établi qu'il y en avait
seulement 20, ce qui a commencé l'introduction
d'aberrations telles que : les lois domiciliaires
pour le clergé vivant avec des femmes, c'est-à-
dire le célibat ; la persécution par l'imposition
de pénitence aux Unitaires (incorrectement
appelés Ariens) et à ceux qui ont soutenu
Licinius ; l'établissement du système diocésain
et son autorité sur les prêtres et la prohibition
pour le clergé de prêter à intérêt ; et
l'introduction des prières debout lors du culte
du dimanche et pendant la "Saison Pascale"
(qui était, en fait, l'introduction des Pâques -
Easter au lieu de la Pâque). Le Credo,
reconstruit à partir même de Constantinople,
introduit le concept du Binitarisme essentiel
pour la formulation de la Trinité et introduit
l'aberration que Christ était le "seul engendré
du Père" et enlève ainsi la promesse des élus,
comme fils engendrés de Dieu. Athanase dit
(dans Ad Afros) qu'il y avait 318 évêques
présents. Arius a souvent été convoqué au
Concile, qui a commencé probablement le 20
mai 325 EC sous l'Athanasien, Hosius de
Cordoue. Constantin s'est joint au Concile le 14
juin. Pour obtenir l'accord, Constantin a été
accompagd'une cohorte de troupes romaines
et il a arrêté un certain nombre d'évêques et
banni Arius, Theonas de Marmarica et
Secundus de Ptolemais à Illyrie. Les écrits
d'Arius ont été ensuite brûlés et tous les trois
ont été anathématisés. Le reste a accepté le
symbole du Credo le 19 juin. Le Concile a pris
fin le 25 août par une 'fête' donnée par
Constantin avec des cadeaux aux évêques.
Trois mois après le Concile, Eusèbe de
Nicomédie et Théognis de Nicée, qui ont été
forcés de signer le Credo sous la contrainte, ont
été bannis pour s'être rétractés et Théodose de
Laodicée, qui a aussi signé sous la contrainte et
s'est rétracté, a abjuré plutôt que de se joindre à
eux.
En 328 EC, Constantin s'est rendu compte que
les Athanasiens n'étaient pas la secte
majoritaire et qu'ils étaient une source de
division et de persécution dans l'Empire. Il a
rappelé les cinq leaders Unitaires (il est suggé
suite à l'insistance de Constancia, la veuve de
Licinius. Cependant, il est plus probable qu'elle
était simplement une Unitaire importante de la
faction Eusébienne ou Arienne). Le problème
avec le système Unitaire Chrétien était qu'il
suivait les principes de la Bible et qu'il n’était
Les Guerres Unitaires/Trinitaires Page 3
pas concerné par le contrôle des nations.
Chaque nation était séparée et soumise à ses
propres chefs et le système religieux de cette
nation était entre eux et Dieu. Quand la nation
obéissait à Dieu, elle était bénie. L'empire était
concerné par la domination mondiale et les
convertis à l'église à Rome étaient aussi
imprégnés de cette mentalité. Ils ont donc
courtisé une organisation qui voulait la
domination mondiale et ne tolérerait aucune
opposition à ce modèle. En conséquence, le
système de l'Église romaine a adapté le système
païen des cultes du soleil et des Aryens au
Christianisme, de sorte qu'aucune personne qui
croit à la Bible ne peut suivre les deux
systèmes. C'est le cœur du problème. C'est
pourquoi ils doivent corrompre les textes de la
Bible dans les versets clefs et ce, même à ce
jour, et détruire l'opposition instruite, comme
dans l'Holocauste.
Constantin n'a jamais été baptisé en tant que
Chrétien Athanasien ; en fait, il est seulement
devenu un Chrétien à la fin de sa vie, étant
baptisé en tant qu’Unitaire par Eusèbe de
Nicomédie, un parent de Julien, qu'il avait en
haute estime en 329 EC. Il n'y avait pas de
Catholique Romain ou d'Église Catholique
Romaine à cette époque-là, car tous étaient
catholiques signifiant universels en référence à
l'église. Les Unitaires étaient la faction la plus
vieille avec les doctrines originales de l'église
apostolique et ce fait ne devrait jamais être
oublié. Les Pères Anté-Nicéens (ANF) étaient
tous Unitaires pendant des siècles (voir l'étude
La Première Théologie de la Divinité (No.
127)). Les Binitaires étaient une nouvelle
faction qui avait une nouvelle doctrine
développée et basée sur la théologie païenne du
Dieu Tripartite, qui est venue de l'adoration
d'Attis à Rome et d'Adonis parmi les Grecs. Les
Trinitaires et le Trinitarisme n'ont pas vu le jour
avant 381. Constantin II et Constantinus étaient
aussi des Unitaires nommés "Ariens" ou
"Eusébiens" par ces Trinitaires postérieurs. Les
Athanasiens appelaient ces groupes des Ariens,
mais Eusébius le nie. Cela semble avoir été un
stratagème des Athanasiens pour associer la
faction à propos de laquelle ils parlaient à Arius
pour diminuer le plein pouvoir et l'importance
de la secte, qui était plus vieille et plus grande
que les Athanasiens.
S'il est vrai que la secte croyait que Christ a
créé l'Esprit Saint, elle est en effet dans l'erreur,
mais ce n'est pas évident à partir d’aucun de
leurs écrits. Les Goths sont peut être tombés
dans cette erreur. À une date ultérieure, cela a
aboutit à la formulation syncrétique par la
faction Catholique romaine de la clause
Filioque à Toledo parmi les Visigoths.
Si la discussion Athanasienne/Arienne avait été
correctement comprise et réglée à ce moment-
là, le Christianisme aurait pris une direction
manifestement différente avec une structure
philosophique beaucoup plus logique. Les
sciences humaines et la paléoanthropologie
auraient été mieux comprises et probablement
plus paisiblement avancées, évitant de la sorte
l'âge sombre ainsi que l'Inquisition. Examinons
la discussion.
Les protagonistes étaient Alexandre et
Athanase, les évêques d'Alexandrie de 312-328
et 328-373, respectivement pour les
Athanasiens ; et Arius (256-336), Asterius, le
Sophiste (m. environ 341) et Eusèbe de
Nicomédie (m. environ 342), pour les Ariens
ou Eusébiens.
Malheureusement, avec la défaite des Ariens en
Espagne, l'histoire a été écrite par les
Athanasiens et un reportage compréhensif,
précis et impartial est pratiquement impossible.
Cependant, Robert C. Gregg et Dennis E. Groh
ont écrit une œuvre utile intitulée Early
Arianism: A View of Salvation (Premier
Arianisme : une Vue du Salut) (Fortress Press,
Philadelphie, 1981). À partir de cette œuvre,
nous pouvons établir une partie de la
métaphysique et il deviendra évident que les
deux factions avaient tort.
Les reconstructions du Thalia d'Arius sont
basées sur les écrits de leurs adversaires et par
conséquent, étaient faussement simplistes.
L'argument, comme les Athanasiens l'ont vu,
tourne autour de la chose suivante :
Pour l'orthodoxie, le salut est effectué par
l'identité essentielle du Fils avec le Père : ce qui
lie Dieu et Christ à la création, c’est
l’incarnation de la nature divine. Pour
l'Arianisme, le salut est effectué par l'identité
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du Fils avec les créatures : ce qui lie Christ et
les créatures à Dieu, c’est la conformité de
volonté (Gregg et Groh, p. 8).
En acceptant la définition biologique de fils, les
Athanasiens ont développé une liaison
ontologique entre le Fils et Dieu, qui a permis à
Christ d'être le Logos et la Sagesse de Dieu et
qui a rempli le Fils de l'omniscience divine
(ibid., Ep. 9).
Au Concile, il est évident que l'Unitarisme était
une force majeure. Ils ont vraiment été
convertis seulement par les conquêtes des
Francs saliens qui ont systématiquement
étouffé le débat. Ceux-ci "ont converti" sur une
base progressive, par la force et par l'intérêt
personnel de leurs leaders, les Goths, les
Vandales, les Hérules, les Burgondes et les
Lombards et des groupes vaguement définis
comme les Teutons. Les Britanniques ont été
convertis selon l'accord de Whitby en 664 EC,
les Anglo-Saxons menaçant d'utiliser la force,
après leur propre conversion en 597 (voir
Stephen Neill, Anglicanism (Anglicanisme),
Pélican, Londres, 1965).
La controverse a été vue en termes simples par
ces tribus, telle qu'exposée par un des rois
Ariens, Gundobald de Bourgogne, qui a refusé
d'adorer trois Dieux (Encyc. of Religion and
Ethics (Encyc. des Religions et de l'Éthique
(ERE), Vol. 1, p. 782). Cette définition
essentielle était à la racine de la question et le
rejet des laïcs a tellement fait pression sur la
faction athanasienne qu'ils ont été forcés de
modifier les notions de la Divinité. Foakes-
Jackson a admis l'erreur de ses notions
antérieures (exprimé dans Cambridge
Theological Essays (Essais Théologiques de
Cambridge), p. 500) de l'infériorité de la
Théologie Arienne des Barbares. Il a affirmé
plus tard que l'Arianisme des Visigoths, des
Lombards, des Vandales, etc. n'était rien de
plus qu'une phase dans la lutte ecclésiastique
entre les conceptions teutoniques et romaines
du Christianisme (ibid., p. 783). C'est un
facteur principal incorrectement examiné. Les
origines des Teutons au Moyen-Orient,
particulièrement après la chute de l'Empire
Parthe, n'ont pas été correctement explorées ou
expliquées par les historiens, à cause du parti
pris Trinitaire des écoles d'enseignement
supérieur.
Ce qui ressort de l'examen de la Discussion
Arienne-Athanasienne, c'est que l'église était
maintenant constituée de deux factions qui
étaient amèrement opposées et engagées dans
l'intrigue politique et qui persécutaient l'autre.
Grâce à leur enrôlement du pouvoir des Francs
saliens, les Athanasiens, qui étaient centrés à
Rome, ont été les vainqueurs à long terme,
politiquement et militairement. Les deux sectes
avaient, en fait, nié leur foi pour la soif du
pouvoir. La séquence de la lutte et le
mouvement des tribus impliquées sont
importants pour une compréhension de la
nature et des attitudes des peuples impliqués.
L'Unitarisme, les Tribus Teutoniques
et les Goths
Face au dilemme d'être une religion officielle
de l'état et de continuer l'exercice du pouvoir
civil et militaire, contrairement à l'instruction
de Christ, la doctrine a dû être promulguée et la
première analyse biblique complète que nous
avons de l'utilisation de la force militaire se
trouve dans les écrits d'Augustin, un penseur
nord-africain, qui a été baptisé en tant que
Chrétien et été instruit en punique, une variante
de l'hébreu, aussi bien qu'en latin. De 373 à 383
EC, il était un Manichéen et un philosophe
Platoniste, ayant une concubine qui lui a donné
un fils en 372 EC. Il a é rebaptisé en tant
qu’Athanasien en 387. Ambroise de Milan,
avec Théodose, avait gag le contrôle de
l'Église romaine pour la faction athanasienne
(381 EC) et sa participation avec Augustin a
contribué à l'adoption postérieure de ce credo,
ce qui, à ce moment-là, était pour lui un parti
prudent.
Les disputes athanasiennes/ariennes ont mené à
une persécution amère par les Athanasiens et,
beaucoup plus tard, par les Ariens. Les Goths et
les Vandales étaient des prétendus "Ariens" (la
Bible Gothique date de 351). Les disputes ont
surgi encore plus tard, quand l'Impératrice
Placidia a envoyé les Goths, aidés par les
Vandales, pour s'opposer à la révolte du Comte
Boniface en Afrique, en 427. Ils étaient
accompagnés par Maximinus, un Évêque
Unitaire (nommé Arien). Augustin a
Les Guerres Unitaires/Trinitaires Page 5
publiquement défendre la secte athanasienne en
428.
Vers 330 EC, Constantin a accordé à la sous-
tribu Est-allemande des Vandales (ou Silingi)
des terres en Pannonie, sur la rive droite du
Danube. En 166-181, ils avaient vécu en Silésie
et avaient lutté contre Aurélien en 271, mais ils
avaient été contenus au milieu du cours du
Danube. Les soi-disant tribus germaniques
incluaient les Vandales, les Alains, les
Sarmates, les Suèves et les Alamans à l'Est et
les Francs (ou les Français), les Burgondes, qui,
en fait, n'étaient peut-être pas des Allemands et
les Lombards ou Longobards à l'Ouest.
Parsons, Remnant of Japeth (le Reste de
Japeth) (1767) dit que Procopius aurait déclaré
que les Alains étaient des Goths, tout comme
les Sauromatae (Sarmates) et les Mélanchlaines
et que les Vandales ont une communauté
d'origine avec les Ostrogoths (p. 73).
Les Lombards ressemblaient davantage aux
Anglo-Saxons qu'aux Allemands dans la
manière de se vêtir et dans leur comportement
et ils semblent être reliés aux Anglo-Saxons
comme une sous-tribu. Ils ont occupé le
territoire de l'Autriche à l'Italie Centrale et se
sont mêlés avec les tribus celtiques et les
Ostrogoths, qui ont aussi occupé ce qui est
maintenant la Croatie et les régions voisines.
Les Burgondes (443 EC) devaient finalement se
retrouver dans les Cantons Occidentaux de la
Suisse, en s'établissant des deux côtés du Jura,
autour du lac Léman, dans le Valais et sur les
rives du Rhône et de la Saône (Historians
History (Histoire d'Historiens), Vol. XVI, p.
534 et suiv.). La plus grande partie s'est
intégrée dans la France moderne et certains
dans le Nord de l'Italie. Le premier Empire
Burgonde a pris fin en 534 EC, en grande
partie aux querelles de famille et aux vices de
ses princes (ibid., p. 535). L'Empire Ostrogoth
a pris fin à la même époque, après la perte de
cinq rois successifs, tant à la guerre que dans le
pays. Thibert, le Roi des Francs, a profité de
leur faiblesse et a récupéré la Rétie en 536 EC.
À partir de ce moment-là, il a contrôlé toute la
Rétie et la Helvétie, la région appelée la Suisse
(ibid.).
Les Alemans s'étaient installés dans la partie
nordique de la Suisse, en Alsatie et en Baden-
Wurtemburg et s'étaient superposés aux peuples
indigènes gallo-celtiques, qui étaient venus de
la même région autour de la Mer Noire, en haut
du Danube. Les Francs, qui avaient soumis les
Alemans, ont fait de même aux Cimbres, aux
Gaulois et aux Celtes dans ce qui est
maintenant le Nord de la France. Les Lombards
avaient succédé aux Ostrogoths à la domination
en Italie, mais, étant peu nombreux après
l'établissement du royaume du Nord, dont la
capitale était Pavia, et le Duché de Benevento
au sud, ils ont été défaits par les Francs en 774.
Le Duché du Sud a maintenu son indépendance
pendant environ deux autres siècles (ibid., vol.
IX, p. 18). Les Saxons ont été séparés de la
Scandinavie et forcés dans l'union allemande
par Charlemagne (768-814), comme les
Frisons. Il vaut la peine de noter que bien que
la Suisse était sous la domination des Francs
Catholiques, sous Clotaire II et son fils
Dagobert, qui lui a succédé en 628, il était
normal pour les Évêques de se marier, tout
comme le clergé et les laïcs qui les élisaient. Ils
étaient ensuite confirmés par le roi (ibid., p.
535). Ainsi, même à cette période tardive, le
monachisme et le célibat étaient rejetés par de
grandes régions de l'Europe Chrétienne.
L'Empereur Valens (364-378) a joué un rôle-c
dans la conversion des Vandales au
Christianisme Unitaire (appelé Arien). Bien
qu'ils aient accepté le Christianisme, ils ne sont
pas devenus pacifiés, parce que les nouveaux
décrets de Constantin avaient établi la religion
comme une puissance militaire. Les Goths
étaient devenus Chrétiens longtemps avant cela,
apparemment grâce à des Chrétiens dans la
tribu et des fugitifs.
L'Église Unitaire observant le Sabbat a
continué parmi les tribus et les peuples de la
France, du Nord de l'Italie et d'Europe, en
général, pour une série de raisons. La première
raison était qu'après le Concile de Nicée en 325
EC, l'Empereur Constantin a favorisé les
Athanasiens, qui sont devenus, plus tard,
l'Église Catholique romaine à partir de 381 EC.
Il avait ordonné la conférence des Desposyni,
qui sont venus à Rome en 318 EC pour
s'entretenir avec l'évêque de Rome. Les parents
de sang de Christ ont exigé la réintroduction de
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