En hiver, le milieu des États-Unis est beaucoup sous l'influence d'une masse d'air très froide
et sèche en fondement du centre du Canada. Il se sert d'une masse d'air cA. L'été, le partie
sud des États-Unis est pour sa part souvent sous l'influence d'une masse d'air très chaude et
sèche en origine du Mexique (masse d'air cT). C'est à cause de cette masse d'air que des
villes américaines comme Phoenix se rencontrent avec des températures plus hautes que
même 40 degrés Celsius!
De plus, en hiver, le Québec est souvent affecté par une masse d'air froid et sèche en
principe de l'Alberta. Le temps est donc plutôt beau mais au même temps très froid et sec.
Sur le contraire, les masses d'air sont capables d’abandonner des endroits plus au nord près
de l'océan arctique amenant avec elles d'humidité et aussi des mauvais époques.
Pendant l'été, le Québec vit un grand montant de ses vagues de chaleur avec la venue des
masses d'air maritimes tropicales (mT) en racine de la côte des États-Unis. Ces masses d'air
sont en naissance sur l'océan atlantique puis se transfère pour atteindre le continent et
édifier vers le nord le long de la côte apportant un réchauffement qui affecte des
températures et qui cause une élévation de l'humidité. Durant ces époques, qui peuvent
durer beaucoup de jours, le temps chaud et humide peut causer des orages.
Pour finaliser, l'été, le Canada est capable d'être soumis aux masses d'air continentales
polaires en origine des territoires du nord-ouest, maritimes polaires en provenance du nord
du pacifique ou de l'atlantique. Aux États-Unis, ces derniers seront capable de rencontrer les
masses d'air continentales polaires du nord du Canada, maritimes tropicales en principe de
l'océan atlantique, continentales tropicales en provenance du Mexique et maritimes
polaires en provenance du pacifique à l'ouest de la Colombie-Britannique.
Les classifications des masses d'air de Bergeron
La plupart des classifications climatiques tiennent compte des mouvements de masses d'air.
La classification de Tor Bergeron utilisée à partir des années 1950 pour les prévisions
météorologiques est celle qui est la plus acceptée parmi celles-ci. Pour ce modèle, il faut
trois lettres pour décrire une masse d'air. L'humidité est le premier des paramètres : "c" sert
à définir les masses d'air continentales donc sèche, et "m" à définir les masses d'air marines
donc humide. Le second permet de définir la région d'origine de la masse d'air qui
présuppose la chaleur emmagasiner par la masse d'air, ainsi on a T pour une zone tropicale,
P pour le polaires, A pour l'Arctique ou l'Antarctique, M pour la mousson, E pour
l'équatoriale, et S pour une masse d'air sec formée par une baisse significative de
mouvement dans l'atmosphère. La troisième lettre est utilisée pour désigner la stabilité de
la masse d'air, ce qui revient à savoir si la masse d'air est plus ou moins chaude que le sol
sur lequel elle repose respectivement par les lettres w et k. Les climatologues n'ont
réellement commencé un synoptique sur cette base qu'à partir de 1973.
Un exemple:
S'il est difficile à y comprendre spécifiquement a quoi sert une masse d'air, on peut
facilement identifier un front, zone où des masses d'air différentes qui s’approchent les