Nom : ………………………………… Classe : …………….. INSTITUT SAINT-JEAN-BAPTISTE ENSEIGNEMENT SECONDAIRE GENERAL MIXTE Rue de Bru xe lles 45 13 00 Wavre Interro. de religion, 2hrs/sem. correction Date : Février 04 6èABC Cote : ……../ 20 Professeur : M. Vander Borght CITATIONS Problème philosophique en question + courants philosophiques qui s’y rattachent ou mot à compléter ou qui est-ce ? « La vraie nourriture de l’âme, c’est la connaissance des Idées, dont notre nature corporelle nous détourne » Platon Heidegger, bien qu’il ait toujours refusé d’être tenu pour ……………..…. n’en est pas moins l’auteur de célèbres analyses de type ………………… C’est ainsi, par exemple, qu’il montre comment le néant se révèle à travers l’expérience affective de l’angoisse. Henri Bergson, père de l’Intuitionisme, niera, par exemple, que l’on puisse ramener toute la pensée, et singulièrement l’intuition – l’étincelle créatrice de l’imagination – à un phénomène physiquechimique dans le cerveau. Bergson est donc ………………………. Kant compare à la « révolution copernicienne » le changement de méthode qu’il introduit en philosophie et qui revient à substituer au point de vue ……………….. (la connaissance se règle sur l’objet) un point de vue ……………………… (l’esprit met quelque chose de luimême dans la connaissance). Connaître, c’est percevoir ce qui est. chII : l’épistémologie, problème de l’origine de la connaiss. : innéisme p.47 opposé à l’empirisme et au rationalisme. Contre la théorie cartésienne des idées innées, Locke affirme que toutes nos connaissances viennent de l’expérience, soit externe, soit interne. existentialiste, existentiel spiritualliste réaliste, idéaliste chII : l’épistémologie, problème de la portée de la connaiss. : idéalisme pensée/sujet précède l’être/l’objet opposé au réalisme, ici réalisme p. 52 chII : l’épistémologie, problème de l’origine de la connaiss. : empirisme ou rationalisme. Ici empirisme. 1 A la raison discursive, Pascal oppose un mode de connaissance qu’il rapporte au « cœur » et qui évoque à la fois la « raison pratique » de Kant et « l’intuition » bergsonnienne. Dominicain, enseigna à Paris, à Rome et à Naples. S’inspire d’Aristote et pense que la philosophie a sa valeur en elle-même, mais que la foi doit la consolider (ratio confortata fide). Œuvre essentielle : « La Somme Théologique ». 1227-1272 Né d’une mère chrétienne (Sainte Monique), perdit la foi puis la retrouva. Baptisé en 337, évêque d’Hippone (Bône) en 396. Sa philosophie incorpore au christianisme l’enseignement de Platon et de Plotin. Selon lui, la foi doit précéder la raison. Philosophie et théologie ne peuvent se distinguer. Karl Jaspers (1883-1969), conçoit l’existence comme un drame, un déchirement entre notre présence dans le monde et notre aspiration à une transcendance, entre la science et la religion. L’échec de la science à résoudre tous les problèmes, celui de l’homme à trouver le bonheur dans l’action, le caractère imparfait et fini de l’homme, sont les signes qui induisent, a contrario, un rapport « intentionnel » de l’être qui existe, à l’ « Englobant » qui le transcende. Elucider ce/ces rapports entre existence et transcendance, rapports analysables dans les situations limites (la lutte, la faute, la mort, …) et dans les contradictions existentielles (défi et abandon, chute et ascension, …) est la tâche de la métaphysique. ChII : l’épistémologie, problème du fondement de la connaissance : ici l’irrationalisme opposé au rationalisme. Saint Thomas d’Aquin (1227-1272) Saint Augustin ChIV : La condition humaine : être et/ou exister ? Le problème de la liberté métaphysique : essentialisme, existentialisme, existentialisme chrétien, ici existentialisme chrétien. 2