6. Pourquoi l’incidence de la dépression augmente-t-elle ?
↑ dans les cohortes nées après la 2ème guerre et commence plus tôt
Début du siècle symptôme de personnes agées
Nombreuses raisons :
- Diminution du support social : familles ont diminuées de tailles, sont séparées, fragmentées.
Loisir solitaire comme TV corrélation temps devant la TV et dépression
- Rapidité des changements et exposition plus grande au stress : sentiment d’incompétence
- Augmentation exposition aux médias. ↑ comparaison sociale négative et buts irréalistes. On
se compare toujours aux autres, dans une petite communauté on trouve des aspects
appréciés par la communauté mais quand il y a une exposition massive, on augmente les
comparaisons négatives. Gens à la TV sont sélectionnés, ce ne sont pas des gens de la vie
ordinaire.
- Trop grande protection et donc moins de possibilités de nouer des amitiés fortes preuves
qu’on tient à nous
- Problème de trop de choix : torture permanente pour ceux qui veulent faire les meilleurs
choix. Il y a un effet négatif potentiels système très libre, si on choisi mal, c’est sa
responsabilité personnelles. Pression forte
- Tapis roulant hédonix : système de récompense se désensibilise au fur et à mesure qu’on a.
Aisance matérielle considérable mais ça n’a pas nécessairement un effet sensible sur le
bonheur car on s’habitue à ce qu’on a.
- Changements alimentaires (↓ consommation poisson ?)
- Diminution activité physique (anti dépresseur)
7. Stress, dépression et cerveau
Le stress a un effet délétère sur le cerveau, en particulier sur le système limbique : activation
excessive de l’amygdale et destruction du tissus hippocampique et préfrontal.
Réduction du volume hippocampique et préfrontal du à un excès d’hormones de stress, dont le
cortisol
Activation excessive de l’amygdale va générer des hormones de stress
Hippocampe a une fonction inhibitrice sur l’amygdale, si il est détruit, il y a moins d’inhibition, le
stress va donc avoir un impact plus fort.
Neuroplasticité permet de générer de nouveaux neurones et de reparer les connections, les dégats
du à la neurotoxicité. Les dépressions récidivantes qui se déclenchent pour des rien font penser à un
problème de neuroplasticité
Le BDNF (Brain derived neurotrophic factor) assure la variabilité des neurones cérébraux, la
réparation. Le BDNF est affecté par des monoamines. En situation de stress, le BDNF est réprimé et
n’est pas synthétisé. Dès lors, le stress peut rendre les neurones de l’hippocampe vulnérable par
rapport à une éventuelle atrophie et ces derniers peuvent subir une apoptose si leur facteur
neurotrophique est supprimé.
Ceci peut ensuit mener à une dépression, aux conséquences d’épisodes répétés, à une diminution
progressive de la réponse au traitement.
Importance du diagnostic précoce.
CPDL : activité excessive suite aux glutamate et à un taux élevé de glucocorticoïdes
↓ activité du CPVM