La Croissance Des
Plantes En
Fonction Des
Milieux
Extérieurs
Un TPE réalisé par :
-Paul Féraud
-Jefferson Ingold
-Grégory Pasquier.
Synthèse de groupe :
Cette année, il fallait faire un TPE (Travaux Personnels Encadrés) sur
un sujet qui avait trait à la croissance, et faisant intervenir les mathématiques
et la biologie. Trop de TPE ayant été faits sur la physique l’année dernière,
on ne pouvait pas faire de TPE trop liés à la physique. Nous avions environ
quatre mois pour le réaliser, ayant droit a 45 minutes hebdomadaires pour
travailler dessus. Les 45 minutes hebdomadaires étant très insuffisantes,
même étalées sur une période de 4 mois, beaucoup de travail a dû être fait à
la maison. Dans notre cas, presque tout le travail a été fait chez nous.
Avant de former notre groupe, nous voulions tous travailler
individuellement. Tout seul, nous sommes plus libres de nos décisions, et le
travail est plus personnel. Jefferson avait choisi d’étudier la croissance
embryonnaire chez les humains. Grégory voulait faire un sujet sur les armes
bactériologiques. Paul pensait faire un sujet sur les plantes. N’arrivant pas à
travailler seul, et ayant choisi des sujets trop vagues ou difficiles à traiter,
Paul et Jefferson ont formé un groupe, rejoints par Grégory peu de temps
après.
Nous avons choisi d’étudier la croissance des plantes en fonction des
facteurs extérieurs. Une des raisons pour lesquelles nous avons choisi ce
sujet est qu’il nous permettait de faire beaucoup d’études expérimentales, ce
qui nous intéresse beaucoup. Par conséquent, nous avons mis l’accent sur les
recherches expérimentales au détriment des recherches bibliographiques.
Ce sujet se relie parfaitement au sujet de la croissance. Il fait
intervenir la biologie pour pouvoir expliquer nos résultats. Les études de
courbes font aussi intervenir les mathématiques donc ce sujet est valable
pour le TPE. Le sujet ne faisait intervenir de pratiquement aucune manière la
physique.
Notre sujet est limité par les différents facteurs extérieurs. Les
premiers facteurs que nous voulions étudier étaient :
- les éléments dans le milieu (qui sont favorables ou défavorables à la
croissance des plantes),
- l’intensité lumineuse, la lumière solaire ou les lumières colorées, le
temps d’insolation quotidien,
- la température.
Nos premières expériences à l’école ont connu des échecs et des
résultats trop variables pour être interprétés. Nous avons très vite compris
que nous n’arriverions pas à étudier tous les facteurs, et qu’il fallait faire les
expériences chez nous, les plantes nécessitant beaucoup d’attention. Nous
avons de plus choisi de tous étudier un facteur individuellement, et de se
partager les résultats à la fin.
Grégory a décidé de reprendre nos premières expériences, qui avaient
été un échec, la croissance en fonction des substances qui sont favorables à
la croissance des plantes, son but étant de savoir quelles substances nécessite
une plante et pourquoi.
Paul a étudié la pousse des plantes en fonction de l’intensité
lumineuse. Une mesure quotidienne des plantes lui a permis de faire des
courbes, avec lesquelles il a fait des études statistiques.
Jefferson a étudié la croissance des plantes quand elles sont exposées
à des substances nocives. Lui aussi a tracé des courbes.
Un des problèmes que nous avons rencontrés, était que nous
travaillions avec des organismes vivants qui pouvaient mourir à tout instant.
De plus, il fallait s’en occuper tous les jours et les mesurer. Un autre
problème lié à l’étude des plantes est que les plantes ne poussent pas toutes
de la même manière, et que nos résultats sont inexploitables si nous n’en
avons pas fait suffisamment pousser par expérience.
Synthèse personnelle: Grégory Pasquier
Ayant rejoint le groupe “Paul et Jefferson” suite a mon échec dans le
domaine de “la guerre bactériologique” , nous avions tout d’abord penser a
étudier en groupe chacune des différentes parties concernant notre sujet.
Cependant, nous avons très vite été confronte à un problème technique
concernant la germination de nos plants. En effet, celles-ci germent dans un
milieu humide du laboratoire, elles ont pourri, ou se sont infectées de
bactéries. Ceci nous a finalement oblige a se partager le travail en trois
parties distincte, chacun de nous s’occupant d’un facteur précis pour
l’étudier.
En ce qui concerne ma partie, elle a pour but d’étudier la croissance des
plantes en fonction du milieu dans lesquelles elles se trouvent. J’ai décider
de diviser ma démarche en 3 parties, la première regroupe une étude
documentaire, ayant pour aboutissement l’obtention de données scientifique
concernant les besoins nutritifs des plantes, des études expérimentale, basée
sur l’observation du développement de la plante en fonctions du milieu, puis
les résultats obtenus.
La documentation sur la croissance des plantes fut longue et peu fructueuse.
En effet, les informations ont étés peu abondants, mais suffisantes.
Pour limiter notre domaine d’étude, nous avons décider de baser notre étude
expérimentale sur un graine: la lentille”, car celle-ci nous faisait bénéficier
des avantages suivants: une germination et une évolution de la plante rapide,
une facilite d’achat.
En effet deux semaines suffisent pour avoir des résultats.
ETUDE DOCUMENTAIRE:
Tout d’abord, voici les principales donne scientifiques nécessaires:
Germination:
GERMINATION
La graine est constituée de :
un tégument plus ou moins perméable à l’eau et à l’oxygène,
un embryon de plante non chlorophyllien,
2 cotylédons (un seul pour les graminées : blé, maïs, orge, par
exemple) contenant des réserves minérales et organiques pour nourrir
l’embryon puisque celui-ci n’est pas autotrophe.
La graine est en vie ralentie pour un temps plus ou moins long : on parle de
dormance. Pour qu’elle germe, il faut que les activités cellulaires reprennent.
Dans un premier temps, elle doit impérativement s’imbiber d’eau. La
respiration reprend et la consommation d’oxygène permet de tirer de
l’énergie des molécules organiques mises en réserve, grâce à l’hydrolyse
enzymatique.
Des facteurs physiques, chimiques du milieu ou internes à la graine peuvent
influencer l’aptitude de la graine à germer, selon l’espèce à laquelle elle
appartient : température, teneur en oxygène, pH, lumière, hormones
végétales, etc…
La plantule apparaît alors par multiplications cellulaires : racine d’abord puis
feuilles.
Elle a désormais besoin d'un support de culture.
Puis elle subit une croissance par élongation des organes et un
développement par acquisition de nouveaux organes. Sitôt qu’elle possède
de la chlorophylle, elle devient autotrophe.
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