Chapitre :
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Chap.1 LES HESITATIONS DE LA DEMOCRATIE EN FRANCE (1848-1879). Présentation générale : Une France tiraillée par des forces opposées. (travail sur chrono) I- La II° République : République sociale ou conservatrice ? (1848-52) 1- « La République universelle, démocratique & sociale. Le triomphe » (de F.SORRIEUX ) . (étude d’un tableau, lithographie) 2- L’épreuve du suffrage universel amène une République plus conservatrice. II- Le Second Empire enterre la République. (1852-70) (étude de documents) 1- Un régime autoritaire qui bride toutes les libertés. a- Un pouvoir autoritaire b- Une société sous contrôle c- Un pouvoir qui s’appuie sur le peuple d- Un soutien populaire incontestable 2- Un régime qui se libéralise par des réformes. a- Des réformes libérales. (chronologie) b- Comment expliquer qu’un dictateur fragilise ainsi l’assise de son pouvoir ? III- La IIIème République peine à s’imposer (1870-1879) 1- Sept.70-mai 71 :« L’année terrible » (V.Hugo) a- Proclamer la République dans la débâcle. b- Ecarter la menace révolutionnaire. 2 -La République, faute de mieux. a- La tentative de restauration monarchiste. b- La République par défaut. 1 Chap.1 LES HESITATIONS DE LA DEMOCRATIE EN FRANCE (1848-1879). Présentation générale : Une France tiraillée par des forces opposées. Travail à faire à partir de 2 documents :- une chronologie ( inspirée du TP Hatier 1°) - doc.3 p127 (voir le questionnaire en annexe 1) Faire préparer (ou faire en classe) le travail sur la chronologie : - corriger le travail effectué sur la chronologie & les réponses aux questions. faire une synthèse avec 3 objectifs, mettre l’accent sur * l’instabilité pol de la période * la violence pol * les divisions pol des Frçs Synthèse proposée : De 1848 à 1871, la France connaît trois régimes pol. : II° Rép., IId Empire, III° Rép. Chacun naît ds un climat de violence : révolution en 1848, coup d’Etat en 1851, guerre & révolte (Commune de Paris) en 1870-71. Durant chacun de ces régimes s’affrontent les républicains, les bonapartistes et les monarchistes. Le suffrage universel masculin désigne de préférence des majorités conservatrices ( à droite). Idem concernant l’affiche « Le couronnement de l’édifice » (3 p 127). - corriger les réponses aux questions. faire une synthèse autour de 2 objectifs : * montrer la férocité des oppositions au principe même de République * montrer que les Rép. eux-mêmes sont divisés. Synthèse proposée : L’affiche-caricature, « Le couronnement de l’édifice »(doc. 3 p127) montre une République qui peine à s’imposer face à ses nombreux opposants (Louis-Napoléon Bonaparte « poignarde » la II° Rép.). Les Républicains apparaissent divisés entre les partisans d’une République conservatrice comme Thiers opposés à ceux d’une République sociale ( les « rouges » de la Commune de Paris) les premiers faisant tirer sur les seconds. Cet événement tragique de 1871 n’est que le dernier épisode d’une liste longue de féroces répressions d’insurrections populaires qui ont marqué notre période, laquelle s’ouvre justement sur l’une d’elles. 2 A- La II° République : République sociale ou conservatrice ? (1848-52) 1- « La République universelle, démocratique & sociale. Le triomphe » de Frédéric SORRIEUX (1) (étude de la lithographie : faire un transparent, doc. en annexe 2). Objectif : partir des éléments observés sur la litho. & les rattacher aux événements qui ont marqué les débuts de la II° Rép. (Les éléments détaillés donnés ici peuvent être écourtés). Sur le doc. : monument imaginaire avec au sommet R° 1848 (héritière & aboutissement de la Gde R°, ici 93 & de celle de 1830) (2), en haut à droite, Paris (4 monuments symboliques : Panthéon, Assemblée, Arc de Triomphe et Bastille [colonne de Juillet]). Ds les faits : du 22 au 24 fév. 48, la pop. de Paris se soulève Paris ~ville malade (pop x 2 en ½ siècle passant de 50 000 à 1M hts), aggravé par la crise éco généralisée (\ récoltes / prix , chômage & misère). Sur le doc. : au centre Marianne, allégorie (3) de la Rép., dressée sur son char comme une déesse & illuminant la scène ; personnages à droite de Marianne ceinturés d’une écharpe bleu-blanc-rouge. Ds les faits : Le Roi Louis-Philippe abdique & un gouvernement provisoire composé de rép. ( Lamartine) proclame la République : le drapeau rouge est écarté au profit du drapeau bleu-blanc-rouge + fédérateur. Cependant, poussé par la pop, ce gvmt fait des réformes hardies. Sur le doc. : * au pied du monument, un lion, symbole de la force du peuple souverain - rév° de 48 motivée par le suffrage censitaire très étroit de la M. de Juillet (240 000 électeurs soit 1/150 hts) - le G.P. instaure le suffrage universel masculin (SUm) pour ts les ho de >21 ans (>9M électeurs). * à gauche du monument, noir embrassant un blanc abolition de l’esclavage ds les colonies. * au centre arbre de la liberté (de nbx ont été plantés en 48, bénis même par le clergé) & partout des cortèges qui défilent rév° de 48 motivée aussi par les restrictions des libertés d’expression & de réunion, les 2 sont restaurées permettant une floraison de clubs & journaux partt en Fce . 1-Elle appartient à une série de 4 lithographies dont la + célèbre, « Le Pacte », illustre le « Printemps des peuples ». Son auteur est visiblement inspiré des idées de Louis BLANC, auteur de La démocratie sociale . On pourra indiquer que la R° de 1848 a énormément inspiré les artistes, particulièrement les peintres, l’Etat a d’ailleurs lancé un large concours pour représenter Marianne ds le but de désigner une effigie officielle destinée à la monnaie, aux timbres, au sceau de la Rép. etc…Pour les 1°L, on pourra évoquer L’Education sentimentale ou Les Misérables , l’action a lieu en 1830 ms Hugo s’est inspiré de ce qu’il a observé en 1848 (scènes de barricades). 2- En 1847 paraissent 3 livres, deux Histoire de la Révolution française celle de Michelet & celle de Louis Blanc et surtout un énorme succès, l’ Histoire des Girondins de Lamartine. Cette concordance éditoriale montre l’importance que garde la Gde R° dans l’imaginaire de 48. 3-Personnification d’une idée abstraite. Le SUm comme les libertés doivent enraciner la Rép. & la démocratie ds toute la France. 3 Sur le doc. : - sur l’oriflamme porté par le cortège de droite on peut lire L’organisation du travail. Solidarité universelle. - titre de l’œuvre Rép. démocratique & sociale. Ds les faits : le GP, pour agir contre la crise, créé des Ateliers nationaux càd des chantiers urbains où les chômeurs peuvent être employés & rémunérés (salaire 2 fr/j puis 1fr, d’abord 40 000 puis 115 000 pers en juin à Paris !) = volonté de mettre en place une Rép. Sociale. (cf. Fraternité ajouté à Liberté-Egalité) Sur le doc. : ambiance générale d’enthousiasme, d’allégresse, d’unanimité (aucune distinction sociale par les vêtement n’apparaît ds les cortèges). Ds les faits : - La Rép. semble faire l’unanimité ( y compris chez les « Républicains du lendemain ») dans un climat de joie (la R° parisienne s’étend d’ailleurs au reste de l’Europe (« Printemps des peuples »). - Cependant certaines mesures onéreuses comme les At. Nat. qui visent les travailleurs des villes sont mal perçues par les campagnes (majoritaires, impôt augmenté de 45% « impôt des 45 centimes »)de +, fuite des K & faillites nbses (c’est le cas de la Banque de Rouen). Ferment de discorde : le SU va trancher. 2- L’épreuve du suffrage universel amène une République plus conservatrice. (on pourra ici réutiliser la chronologie étudiée en début de chapitre) a- Le SU devient un élément majeur de la vie pol. française - avril 48, 1° élection ayant jamais eu lieu au SUm pour la désignation de l’Assemblée Constituante. - Les institutions adoptées par cette Ass. donnent un rôle clé au SU ( schéma p 124) puisque les 2 pouvoirs en sont directement issus : élect° au SU direct de l’exécutif, le Président de la Rép. comme du législatif, l’Assemblée nationale. La pratique du SU : comment vote-t-on ? Il s’agit d’élaborer une pratique nouvelle, les élections sont à la fois une cérémonie & une fête. - On vote au chef-lieu d’arrt (éviter les pressions locales), en raison des distances, le scrutin dure 2 jours (inquiétudes / possibilité de fraude durant la nuit). On s’y rend en cortège (voir doc. icono. photocopiée) : ts les ho > 21 ans d’une même commune partent ensemble (souvent derrière le maire, voire le curé et un drapeau : solennité du geste). Sur place, les votants d’une même commune sont appelés par ordre alphabétique pour voter, il peut y avoir une longue attente… et un détour par le débit de boisson ! Le bulletin choisi peut être imprimé ms on préfère l’écrire ou le faire écrire, on a ainsi l’impression de véritablement exprimer son propre choix (risques en cas de votant analphabète qui fait remplir son bulletin par un tiers). 4 - Au moment de voter ( on peut ici éventuellement observer un doc. postérieur, 1 p147), il n’y a ni isoloir, ni enveloppe, on confie son bulletin à l’assesseur qui le met dans l’urne (un vase, une soupière, une boîte : le matériel n’est pas fixé en 48). Le vote n’est guère secret d’ailleurs on est plutôt fier que celui-ci soit connu de tous. Une très forte participation (>83% en avril 48 qui se maintient plutôt par la suite) révèle l’adhésion des Français . Le vote est souvent unanime : une même communauté (village) votera massivement de façon identique. Les résultats du vote : ils révèlent la puissance du vote de la paysannerie (~76% Frçs sont des ruraux) qui est plutôt conservateur, attaché à la propriété et au respect des valeurs morales alors que le vote urbain est plutôt républicain voire rouge. - Ass. Constituante (avril 48) : large majorité de modérés et droite (750 élus / 900), càd ceux qui ont accompagné plus que fait la révolution de 48 (Républicains du lendemain). - Président de la Rép. (déc. 48) : * tous les candidats républicains sont battus, laminés (Lamartine, Cavaignac, Ledru-Rollin… effraient les possédants& campagnes). * triomphe du candidat soutenu par la droite, conservateurs et même monarchistes, Louis Napoléon Bonaparte, neveu de l’autre, de retour d’exil en Angl. (photo p 126 bio p342) qui a fait une habile campagne se présentant comme le défenseur de la propriété, de la religion, réconciliateur & pacificateur, et qui bénéficie de l’aura de Tonton : 5 400 000 voix / 7 300 000 . - Ass. Nationale (mai 49) : alors que les villes votent +tôt républicain (25% voix), les campagnes désignent massivement des conservateurs, monarchistes, bonapartistes regroupés ds le Parti de l’Ordre dominé par Thiers (53% voix 450 / 750 sièges). En fév. 48, l’insurrection a fait la République, une République sociale. Dès avril 48, le SU met à la tête de l’Etat des garants de l’ordre moral & matériel, souvent opposés à la Rép. Début 49, on se retrouve avec une République sans Républicains. b- La pratique du pouvoir est à l’image des élus : pour l’ordre contre l’insurrection, pour la conservation sociale contre la révolution mise en place d’une Rép. conservatrice. le gouvernement issu des élections d’avril 48 : régression & répression. * Régression : suppression des ateliers natx 5 * Répression des manif urbaines (des 10nes de morts à Rouen en avril où l’eau de la fontaine de la Croix de Pierre dit-on était rouge), la révolte de juin à Paris est noyée dans le sang (répression menée par le général Cavaignac : milliers de morts, 1500 fusillés, 11 000 condamnés à la prison ou à la déportation en Algérie(1) ) Le mouvement révolutionnaire est décapité. La République a sur les mains le sang de républicains. le gouvernement du Parti de l’Ordre : trahison des idéaux de 48. * loi Falloux qui livre un peu + l’enseignement aux catholiques. * loi électorale de mai 50 qui revient sur le SU en mettant une condition de résidence de 3 ans dans le même canton, en pleine période d’exode rural, elle vise à écarter du SU le peuple des villes, 30% des électeurs sont ainsi radiés des listes ms 56% à Paris & 70% à Lille (c’est la vile multitude qu’évoque Thiers). le Président LNB achève le processus : il se désolidarise de cette dernière mesure & entre aussi en conflit avec l’Ass. qui lui refuse de la révision de la Constit° afin de pouvoir être réélu (mandat non renouvelable) face à l’impasse, il choisit la force avec le coup d’Etat le 2 déc. 1851 * dissout l’Ass. ms rétablit le SU. * libertés suspendues * état de siège (32 départ.) pour mater la révolte des défenseurs de la Rép.(2) (relativemt faible à Paris & ds les gdes villes du fait des dures épurations de 48, la révolte embrase les campagnes de SO, Centre & stt du SE, l’insurrection du Var, Htes Alpes & B. du Rhône manque de prendre Marseille(3) ). La répression est féroce 26 000 arrestations, 9500 déportés (Cayenne, Algérie), de nbx exilés dont le + célèbre V. Hugo (en 1877, il intitule son ouvrage consacré à cet épisode Histoire d’un crime) [ on pourra revenir sur le doc. 3 p127, déjà étudié où l’on voit LNB poignardant la Rép.] Une nelle fois, les forces des républicains sont anéanties, en ville ms aussi à la campagne. Si la Rép. continue officiellement d’exister, elle est en fait moribonde. B- Le Second Empire enterre la République. (1852-70) En un an LNB s’empare de tout le pouvoir (voir chrono)& le 2 déc. 52 il achève ce processus proclamant le IId Empire prenant le titre de Napoléon III. 1-cf. le récit de Camus, Le premier homme , ses ancêtres sont convoyés par voie d’eau jusqu’à Marseille, de là ils embarquent pour l’Algérie, un camp de fortune, où ils connaissent d’abord la chaleur torride de l’été puis les pluies diluviennes de l’automne & leur cortège de maladies qui pour beaucoup sont mortelles. 2-Par l’ art 110 de la Constitution L’Assemblée confie [la] Constitution à la garde & au patriotisme de tous les Français. 3- On pourra évoquer le 1° volume de la saga des Rougon Maquard, La fortune des Rougon, qui traite de la révolte & de sa répression. Zola, aixois, s’est inspiré ses événements tragiques qu’a connu le Var, le volume se clôt sur la mort de la jeune héroïne enveloppée dans le drapeau rouge, encore plus rouge de son sang (le chef d’inculpation d’une des manifestantes était d’avoir défilé couverte du dr. rouge) 1 Un régime autoritaire qui bride toutes les libertés. 6 N.III exerce un pouvoir autoritaire, il est le seul chef, cependant il s’appuie sur le peuple, consulté par le SU : on parle ainsi de césarisme. a- un pouvoir autoritaire : La Constitution de 1852 (doc. annexe3) le lui garantit : il contrôle tous les pouvoirs : possède l’exécutif (gvmt nommé par lui seul) - possède partie du législatif (a seul l’initiative des lois) - législatif réduit car 1- émietté (3 Ass dont une seule désignée au SU) 2- cette Ass (Corps législatif) peut être dissoute par NIII. dictature politique d’un homme, pas de séparation des pouvoirs. b- une société sous contrôle : Libertés supprimées ou encadrées : * presse muselée (autorisation préalable, interdiction après 2 avertissements…) censure. * associations & réunions publiques interdites, arrestation des opposants ( semi-clandestinité) * toute l’administration est sous contrôle (voir doc. annexe 3: organigramme) : à tous les échelons des pouvoirs locaux, des représentants nommés par le gvmt encadrent - surveillent la pop. L’opposition, qui avait déjà été réprimée lors du coup d’Etat est bâillonnée, réduite à la clandestinité ou à l’exil (Raspail, Schoelcher & Hugo qui écrit 3 ouvrages Napoléon le Petit en prose, Les Châtiments en vers, Histoire d’un crime qui circulent ss le manteau). c- un pouvoir qui s’appuie sur le peuple : (questionnaire en annexe3) On a parlé de dictature, cependant le peuple est régulièrement consulté ( 3 plébiscites 4 élections législatives) : quelles pratiques mises en place ? * les plébiscites ( doc. Daumier p 140 + questions) La réponse se limite à dire oui/non à une décision de l’exécutif, ce qui réduit au minimum l’expression de l’opposition d’autant + que le vote n’est pas totalement secret & que la société est sous surveillance. Daumier, en caricaturant la réalité, veut montrer les pressions possibles des « notables » sur un électorat rural peu ou pas instruit. * les élections législatives (tous les 6 ans : 52/57/63/69) où tt est fait pour canaliser le SU dans le « bon » sens (avec de + un découpage qui « noie » le vote des villes dans celui des campagnes, une ville comme Paris passe de 28 à 9 élus !), domine la pratique de la candidature officielle (doc. 2 p124 + questions) : aCette lettre est adressée par le sous-préfet aux maires, tous 2 st nommés par le gvmt donc lui sont dévoués. bLe candidat soutenu est M. Dalmas (dévouement au gouvernement, à l’autorité, à l’ordre)1, celui qu’il faut éliminer est M. Dréo car il représente la République, le socialisme, la misère. cIl est demandé aux maires de faire voter en masse pour le « candidat officiel », cela va se traduire par des pressions sur les électeurs et donc des élections « truquées »2. 7 dPour convaincre les maires d’agir ainsi, on leur fait miroiter la possibilité de favoriser le développement de nombreux intérêts de l’arrondissement que seul le candidat officiel pourra mener à bien. 1 Les C.Off st choisis parmi les propriétaires & chefs d’entreprise cf. Pouyer-Quertier, patron de l’usine textile la Foudre à Petit-Quevilly. 2 Seul le C.Off a droit à des bulletins, affichage, campagne publique (réunions) ! Par les plébiscites ou les élections législatives, le peuple est consulté mais il s’agit d’un suffrage dénaturé , (« suffrage dirigé »Thiers), confisqué par le pouvoir. Alors que l’opposition n’a pas droit à faire campagne, les candidats officiels bénéficient de tous les appuis. d- un soutien populaire incontestable : malgré tout cela, les résultats électoraux montrent une réelle popularité de NIII, ce qui peut s’expliquer par : * contexte de forte croissance éco. (paysans satisfaits : prix agri. augmentent + vite que prix ind. ; monde ouvrier : baisse chômage & hausse salaire liée à la pol. de grands travaux). * pol. étrangère de grandeur (victoires en Crimée, Chine, Italie) qui rappelle Napo.Ier (cf. Fête nationale le 15 août, poids de la propagande via les multiples voyages en province, les multiples immortalisations de l’Emp. par les commandes aux peintres). * pol. intérieure qui favorise l’Eglise & le clergé donc l’opinion catho. Une dictature pol. en période de forte croissance éco. qui s’appuie sur une paysannerie majoritaire, dans le cadre d’élections où le SU est dirigé & dénaturé favorisant les représentants des classes possédantes (industriels) attachés aux valeurs morales (catholicisme). Ce régime est obligé d’infléchir sa pol. ds les années 60, en proie à des contradictions & des contestations nombreuses. 2- Un régime qui se libéralise par des réformes. a- les réformes libérales ( étude du doc.4 : chronologie). * libéralisme pol.= qui respecte les libertés fondamentales (pensée, expression, réunion…). * réformes permettant l’expression de l’ens. de la société : 1/ amnistie pour les opposants, 4/ droit de grève en 1864, 6/ libéralisation de la presse ms aussi réunions. * réformes permettant au pouvoir législatif de s’exprimer & d’agir : 2/5/7/9 progressivement, de 1860 à1870, les parlementaires obtiennent une extension de leurs prérogatives. * risque majeur pour NIII : laisser parler l’opposition & donc grossir son influence. A partir de 1860, NIII entame des réformes libérales qui restituent une partie des libertés à l’opinion (presse, réunions, grève) & étendent les pouvoirs du législatif. b- Comment expliquer qu’un dictateur fragilise ainsi l’assise de son pouvoir ? * Réponse à une croissance du mécontentement de ses appuis traditionnels (catho / pol italienne ; conservateurs, pop ouvrière / pol de libre-échange qui provoque des faillites & chômage [cf. ind 8 textile en Normandie//concurrence britannique] ; les échecs militaires (Mexique) entament le prestige impérial) => rechercher de nouveaux appuis. * Réponse aux progrès des Républicains (malgré le système électoral 1863 : 25% voix / 50% en 1869 ! A Rouen Pouyer-Quertier est battu en 69 par un Républicain) : NIII, en impulsant les réformes libérales demandées par l’opposition, espère couper l’herbe sous les pieds de celle-ci 1 * Contradiction majeure : - les libertés retrouvées bénéficient aussi aux adversaires du régime (multiplication des journaux rép. qui deviennent les quartiers généraux des candidats, publient tracts & affiches ; réunions, tournées électorales & comités de soutien se développent cf. comité de Belleville autour de Gambetta). - ce libéralisme accroît le mécontentement des conservateurs, en particulier de l’entourage impérial qui souhaite rétablir le pouvoir dynastique & l’autorité perdue : pousse à une entrée en guerre / Prusse qui aurait pu être évitée & qui anéantit l’Empire 2 sept. 1870, défaite de Sedan, NIII est fait prisonnier. C- La IIIème République peine à s’imposer (1870-1879) 1- Sept.70-mai 71 :« L’année terrible » (V.Hugo) a- Proclamer la République dans la débâcle. Deux combats à mener mener la guerre installer le nouveau régime. * continuer la guerre ? Ds la précipitation & la débâcle, la République est proclamée le 4 sept. (par des élus parisiens à l’H. de Ville [Garnier-Pagès, Gambetta, Ferry, Arago…]). Le gvmt de Défense nationale est divisé entre ceux qui veulent continuer la guerre (Gambetta, ms les combats sont de durs échecs) & ceux qui veulent l’arrêter qui l’emporte signant l’armistice le 28 janv. 71. 1- Cela semble porter ses fruits puisque le dernier plébiscite, en mai 1870, est un très large succès (80% oui), Gambetta commente « L’Empire est plus fort que jamais ». 9 Les Allds exigent l’organisat° d’élect° afin de signer la paix avec un gvmt légitime. La République, née le 4 sept. ds la débâcle, accepte de reconnaître la défaite. * élire des représentants. Dans un pays assommé par la défaite, l’occupation & les morts 1, les Fçs votent massivement pour la paix : doc 5 p 135 résultat ambigu 2/3 élus sont des monarchistes, A.Thiers (ancien monarchiste) dirige l’Etat (nommé chef de l’exécutif). La France se retrouve à nouveau avec une République sans républicains au pouvoir. Thiers veut cependant asseoir l’autorité de ce régime => - rétablir le pays meurtri - faire respecter l’ordre. b- écarter la menace révolutionnaire. * une nouvelle révolution parisienne. ( plan 5 p133) - La révolution : • elle éclate à Paris, dans un contexte précis puisque la ville a résisté à un an de siège prussien malgré la faim 2& n’a pas été prise. • elle naît d’un triple refus : * de cesser le combat * de rendre les arme * d’accepter le résultats des élections (Paris a largement voté républicain : 36 dép. /43 dont Hugo, Gambetta, L. Blanc…). Prise du pouvoir par le Paris du travail (~héritiers des sans-culottes de 89 : artisans, ouvriers & leurs femmes) soutenus par des intellectuels (Vallès, Courbet) P. devient une commune libre qui peut légiférer. C’est une expérience de courte durée ( 9 semaines) dans un climat d’agitation, d’euphorie ms aussi de division & d’inorganisation. - Les objectif des révolutionnaires : • L’objectif est de mettre en place une démocratie directe & une république sociale Les réformes visent ceux qui ont le pouvoir : gouvernants, clergé, armée ainsi que ts les possédants. Des mesures radicales sont prises : pour + de justice sociale & pour + de liberté , pour donner le pouvoir aux travailleurs (communisme primitif) : doc4 p133 ≠ colonne Vendôme càd Napo.Ier. 1-C’est pour cette 1° guerre industrielle qu’ont été construits les 1° monuments aux morts français, surtout dans le Sud-Ouest. 2- Tout est bon pour survivre Nous mangeons du cheval, du rat, de l’ours et de l’âne / Paris est si bien pris, cerné, muré, noué/ Gardé, que notre ventre est l’Arche de Noé raconte Hugo dans L’année terrible qu’il a vécu à Paris 10 adoption du drapeau rouge( t2 p132 §2), enseignement gratuit & laïque, vote des femmes (cf Louise Michel), lutte ≠ pouvoir de l’Eglise (t1 p132 – 2° partie) : séparation de l’Eglise & de l’Etat * que le gouvernement écrase violemment. - L’enjeu pour le gvmt de Thiers ( à Versailles) est sa propre crédibilité : il doit fournir les preuves de sa détermination à faire régner l’ordre y compris par le sang & dans la guerre civile, c’est ce qu’il choisit (t2 p132 dernier §) • La Commune est liquidée durant la Semaine sanglante (21-28 mai 71), les troupes gouvernementales (versaillais) mènent l’assaut (véritable guerre, cf. plan p133 & doc 6 ). • Le bilan est lourd : 30 000 morts (hommes, femmes, enfants) durant les combats ms aussi exécutés sur place (avoir les mains noires (poudre) suffit pour être passé par les armes sur le champ) 36 000 pers. sont arrêtées dont 10 000 condamnées (prison cf Courbet, déportation comme L. Michel en Nelle Calédonie) . - La répression a décapité pour 10 ans l’extrême gauche révolutionnaire. - C’est la dernière des grandes insurrections parisiennes (pas suivie par province & pas provoqué de changement pol. à la tête de l’Etat ): le suffrage universel bien ancré dans les esprit a peut-être tué l’émeute 1 . - Le gvmt Thiers a donné la garantie que la Rép. ne serait pas sociale : - il rassure les possédants - il rétablit l’ordre pol. & social. .Reste à savoir quelle peut être cette République dominée par des monarchistes ? 2 -La République, faute de mieux. a- La tentative de restauration monarchiste. La France est officiellement une Rép. ms la réalité est bien diverse : * L’Ass. est dominée par ceux qui sont opposés à ce régime * Cependant ces anti-rép. sont divisés) : bonapartistes ; monarchistes (libéraux comme les orléanistes ms aussi légitimistes qui soutiennent le Comte de Chambord doc 4 p137 qui met comme condition, pour revenir au pouvoir, le retour du drapeau blanc càd ~négation de toute l’hist. de France depuis près d’un siècle doc3 p136 dernière phrase). 1- La victoire du SU sur l’émeute a été soulignée, entre autres, par Hugo dans Les Misérables, « Le suffrage universel a cela d’admirable qu’il dissout l’émeute et qu’en donnant le vote à l’insurrection, il lui ôte l’arme ». 11 * Le gvmt Thiers fait ~de l’équilibrisme ms dès qu’il opte pour la Rép. franchement, il est contraint de démissionner (mai 73) au profit d’un fervent monarchiste, le gal Mac Mahon (celui qui a écrasé la Commune) * Les monarchistes mettent alors en place une pol. de régression totale avec un programme d’Ordre moral (déf° p130) : - lutter partout contre les idées rép. (dans la presse, par la révocat° de préfets, maires… par - l’interdict° des bustes de Marianne ds les mairies, par la surveillance des débits de boisson). encadrer la population & développer la religion (Sacré Cœur, interdiction des enterrements civils !) Pol. réactionnaire que la pop. rejette massivement comme inadaptée à l’évolution de la société. b- La République par défaut. des institutions provisoires ? Les erreurs des monarchistes bénéficient aux républicains : en attendant la mort de l’inflexible Comte de Chambord, les monarchistes acceptent un compromis avec les Rép. modérés : * vote de 3 lois constitutionnelles qui 5 ans après la proclamation de la Rép. précisent les institutions * cependant ces lois laissent la porte ouverte à une restauration possible de la monarchie. - les monarchistes obtiennent (doc. 6 p135) : * un Pdt Rép. puissant : chef de l’exécutif (7 ans), peut dissoudre l’Ass., promulgue les lois, droit de grâce, irresponsable càd ne peut être renversé par l’Ass. c’est un monarque constitutionnel. * un Sénat (2° assemblée) élu par de « grands électeurs » càd notables c’est une assemblée par vocation conservatrice. - les Républicains obtiennent (idem) : * une assemblée élue au SU direct « chambre des députés » émanation de la volonté du peuple souverain. * ce sont les 2 Ass. qui élisent le Pdt Rép.(ce titre est adopté avec seulement une voix d’avance : amendement Wallon doc 1 p134). Il s’agit d’un régime parlementaire . La République est stabilisée ms peut se transformer en monarchie constitutionnelle. Seul le peuple peut arbitrer (SU). 12 la victoire des Républicains. * Elle est le produit du travail de fond des républicains : - ils ont compris l’évolution de la société & la nécessité de s’y adapter (on peut ici étudier le texte de Gambetta 2 p153). * l.1 à 6 : l’héritage révolutionnaire est accepté par la majorité des Français. * l.6 à 15 : promotion de nouveaux hommes politiques, des notables issus du SU. * l.15 à 20 : cela correspond à une évolution sociale qui donne naissance aux classes moyennes (promotion par le travail & le mérite càd justement les valeurs défendues par les rép.) - Gambetta devient le « commis voyageur » de la Rép. et parcourt la France, multipliant les réunions (banquets) pour expliquer à tous ce qu’est la Rép, pour rassurer la province en diffusant une image modérée de cette Rép. respectueuse de la propriété. * Elle se fait par le SU. : les républicains l’emportent sur tous les fronts. - Législatives de 1876. - Mac Mahon en conflit avec cette Ass. la dissout le 16 mai 77 ms le peuple tranche à nouveau en faveur des républicains. - Conseils municipaux de 78. - Sénatoriales de 79. Le Pdt, isolé, démissionne en janv. 79 remplacé à ce poste par un ferme opposant à un pouvoir présidentiel fort (J. Grévy). Après dix ans de lutte, le SU a tranché pour une République & pour une République parlementaire où la Chambre des députés, issue du vote des citoyens, a la suprématie sur l’exécutif (dorénavant le Président a des pouvoirs essentiellement honorifiques). La République s’est difficilement imposée dans les faits, il s’agit maintenant de l’ancrer dans les cœurs & les esprits. 13 Annexe 1 Doc. 1 : Chronologie 1848-1871 : 1- Fév. 1848 : Révolution à Paris ; abdication de Louis-Philippe, au pouvoir depuis la révolution de 1830. Proclamation de la II° République. Réformes sociales du gouvernement provisoire 2- Avril 1848 : Election d’une assemblée constituante au suffrage universel masculin (SUm). Majorité modérée. 3- Juin 1848 : Révolte parisienne écrasée dans le sang. 4- Déc. 1848 : Election présidentielle. Louis Napoléon Bonaparte, soutenu par les monarchistes & conservateurs, largement élu au SUm. 5- Déc. 1851 : Coup d’Etat de L.N. Bonaparte. Il abroge la constitution de 1848. 6- Janv. 1852 : Constitution octroyant à L.N. Bonaparte des pouvoirs étendus pour dix ans. 7- Déc. 1852 : Modification de la Constitution : Napoléon prend le titre d’Empereur. 8- Sept. 1870 : Défaite française à Sedan face à la Prusse. Abdication de Napoléon III. Proclamation de la IIIème République. La guerre continue. 9- Fév. 1871 : Elections de l’Assemblée constituante (au SUm), les royalistes partisans de la paix l’emportent. La paix signée avec l’Allemagne prive la France de l’Alsace & de la Lorraine. Thiers, monarchiste puis républicain conservateur, est désigné par l’Assemblée pour diriger l’exécutif, et s’installe à Versailles. 10-Mars 1871 : Les Parisiens se révoltent contre le gouvernement de Thiers & forment un régime autonome, « la Commune de Paris » qui prend des mesures contre les inégalités sociales. 11- Mai 1871 : « Semaine sanglante » : les troupes envoyées par Thiers anéantissent la Commune. * Surlignez d’une 1° couleur le nom des 3 régimes différents qu’a connu la France durant cette période (ainsi que la date de leur instauration). * Surlignez d’une 2° couleur les élections évoquées, leur date, le résultat & le mode de suffrage. * Surlignez d’une 3° couleur les termes correspondant à des périodes de violence politique durant cette période + date. Dans les 3 cas ne surlignez que le stricte minimum soit les mots-clés. Rédigez une synthèse qui prendra en compte : (maxi 70 mots) - les régimes politique qu’a alors connu la France - les conditions dans lesquelles ces régimes voient le jour - les forces politiques qui s’affrontent alors - comment sont orientées les majorités issues des élections. Doc. 2 : Le couronnement de l’édifice de F. Mathis (Manuel n°3 p127). - Quelle est la nature précise de ce document ?……………………………………………………. - Observez ce document & à l’aide de la chronologie (voir ci-dessus) dites (en répondant au verso): a- Quel régime politique est symbolisé chaque fois par une femme ? Qui est-elle ? b- Qu’est-il arrivé aux deux premières femmes, essayez de dater cela ? c- Identifiez le personnage du milieu, pourquoi tient-t-il un poignard, que signifie l’aigle qui l’accompagne ? d- Pourquoi la dernière femme est-elle vêtue de rouge ? e- Cette dernière femme repousse la caricature d’A. Thiers, quelles sont les deux conceptions différentes de la République que chacun d’eux incarne ? (s’aider du doc. 1) Annexe 2 14 15 Annexe 3 Etude de documents : IId Empire. Doc. 1 Les institutions du Second Empire Sénat Ministres Conseil d’Etat EMPEREUR Initiative des lois Préfet Sous Préfet Conseil général Conseil d’arrondt Maire peut dissoudre Corps Législatif Plébiscite Conseil municipal Suffrage Universel masculin : hommes de plus de 21 ans : suffrage universel direct Doc.2 : Le plébiscite vu par Daumier (2 p 127) : nomination : pression sur les électeurs Doc.3 : Les « candidatures officielles »(2p124) Doc.4 : Chronologie des réformes libérales du IId Empire. 1- 15 août 1859 : Amnistie des condamnés à l’exil après le coup d’Etat. 2- 24 nov. 1860 : Décret accordant aux Assemblées le droit d’adresse (droit de répondre à l’Empereur lors de l’ouverture de la session parlementaire). 3- 25 mai 1864 : Loi promulguant le droit de grève. 4- 14 mars 1867 : Décret accordant au Corps législatif le droit d’interpellation des membres du gouvernement. 5- 11 mai 1868 : Loi libéralisant la presse & les réunions. 6- 8 sept. 1869 : Le Corps législatif obtient l’initiative des lois. 7- 20 avril 1870 : Extension des pouvoirs du Sénat. 8- 8 mai 1870 : Plébiscite portant sur les réformes libérales depuis 1860, 80% de réponses positives. 1/ Doc. 2 : - Dans ce type de consultation, quel est le choix des électeurs ?…………………………………………………………….……….. - Cela laisse-t-il une large place à l’expression de l’opposition ? ……………………………………………………………………. - Que veut démontrer Daumier par cette caricature ?………………………………………………………………………………… 2/ Doc.3 : - Qui sont les auteurs & destinataires du doc. et leur rapport avec le pouvoir (aidez-vous du doc.1) ?……………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………… - Quel candidat a le soutien du gouvernement & pour quelles raisons (relevez les mots-clés) ?…………………………………….. ………………………………………………………………………………………………………………………………………… - Lequel des 2 autres candidats doit absolument être écarté & pour quelles raisons (relevez les mots-clés) ? .. …………………….. ……………………………………………………………………………………………………………………………………….. - Quelle pratique est demandée à chacun des maires pour cette élection, comment cela peut-il se traduire concrètement ?………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………….. - Au 2°§, quels arguments sont donnés pour convaincre les maires d’agir comme demandé ?……………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………… - Rédigez un paragraphe (au verso) dans lequel vous expliquerez quelles sont les pratiques électorales sous le IId Empire. 3/ Doc.4 : - Que signifie le mot libéral dans un sens politique ?………………………………………………………………………………… - Parmi les 8 réformes proposées, surlignez les mots-clés correspondant à 1/ celles qui permettent l’expression de l’ensemble de la société (1° couleur) 2/ celles qui étendent le pouvoir du législatif (2°couleur). - Quels risques prend un dictateur en adoptant de telles mesures ?……………………………………………………………….. ……………………………………………………………………………………………………………………………………… 16 TP3 : La Commune de Paris ( étude des doc.1 & 2p128 + 3 p127) Texte 1 - a/ Que signifie le mot « encore » dans la 1° phrase du texte ? …………………………………………………………………………………………………………………… … …………………………………………………………………………………………………………………… … b/ Que revendique Paris pour elle-même & pour les autres villes de province ?Quel est donc le but du document ? ………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………… … …………………………………………………………………………………………………………………… … c/ l.15 à 23, quels sont les pouvoirs du « vieux monde » contre lesquels seront dirigées les réformes de la C de Paris ? ………………………………………………………………………………………………………….…... …………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………… …… Texte 2 - a/ quels sont les 2 pouvoirs attaqués par les décisions des 29 mars & 3 avril ? …………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………… …… b/ En comparant la dernière phrase du texte1 & l’affiche p127, quel rôle les auteurs assignent-ils à la C de P dans l’Histoire de la France ?………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………… …… c/ D’après les dernières décisions (doc. 2 dernière phrase )qui doit prendre les rênes du pouvoir ? …………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………… …… 17 18 19 20
