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o 2 à 3 fois par jour.
o Gérer la quantité selon les apports en glucides.
o Si surpoids : 2 fruits.
o Si activité physique : 3 fruits.
V) ACTION DES ALIMENTS SUR LA GLYCEMIE.
L'index glycémique (IG) : ne dépend pas que de l'alimentation mais Varie aussi en fonction
d'autres facteurs :
o la présentation physique de l'alimentation.
o Le mode de cuisson.
o La teneur en fibres du repas.
o La prise isolée ou intégrée au repas.
o L'individu.
L'index glycémique mesure la capacité d'un glucide donné à élever la glycémie après le repas
par rapport à une un standard de référence qui est le glucose pur.
L’index glycémique mesure donc le pouvoir glycémiant d’un glucide, c’est-à-dire sa capacité à
libérer une certaine quantité de glucose après la digestion. On peut dire alors que l’index
glycémique mesure bien la biodisponibilité d’un glucide qui correspond à son taux
d’absorption intestinale
VI) LES GRAISSES.
Risque cardio-vasculaire : recommandation du plan national nutrition santé = éviter les
graisses animales cuites, limiter les charcuteries et fritures, consommer des laitages demi
écrémés, varier les fromages (30 g par jour), consommer du poisson 3X par semaine.
o Les acides gras saturés (beurre, gras de bœuf, mouton, porc, huile de palme…) de même
que les acides gras trans (margarine hydrogénée…) ont plus tendance à être stockés qu’à
être brûlés, c’est-à-dire qu’à être utilisés comme source énergétique immédiate.
o Les acides gras monoinsaturés (huile d’olive, graisse de canard et d’oie) sont
préférentiellement utilisés après avoir été absorbés. Ils le sont d’autant plus qu’ils
contribuent à faire baisser la glycémie ce qui diminue la sécrétion d’insuline et limite
ainsi le stockage.
o Les acides gras polyinsaturés, et notamment les
« oméga 3 » (graisse de poisson, huile de colza, de lin…) sont systématiquement utilisés,
(notamment par une augmentation de la thermogenèse) après avoir été absorbés (acides
gras circulants).
De plus, ils stimulent la lipolyse ce qui entraîne un déstockage des graisses de réserve
contribuant ainsi à l’amaigrissement.
En conséquence, à valeur calorique égale, les différents types d’acides gras ont des effets
métaboliques qui ne sont pas les mêmes. Ils peuvent même être totalement opposés.