L`ALLEMAGNE AU CŒUR DE L`EUROPE

L’ALLEMAGNE AU CŒUR DE L’EUROPE. pages 228 / 229
Définitions : économie capitaliste, économie socialiste.
1) Un Etat aux frontières récentes.
- cartes 1 p 228 . Savoir expliquer et commenter les changements territoriaux de
l’Allemagne.
- Réunification en 1990 (RDA et RFA) suite à la chute du bloc soviétique.
C’est un Etat fédéral* de 16 Länder. Voir carte 2 p 228.
2) Un carrefour de l’Europe continentale.
- Elle est plus au centre de l’Europe depuis la disparition du « rideau de fer ».
- Axe rhénan (vallée du Rhin) voir photo p 200. Axe alpin (vers la Méditerranée). Axe est-
ouest (grande plaine d’Europe du Nord) : ces axes facilitent les communications à travers
l’Europe.
2) La première puissance économique européenne.
- un PNB* des plus élevés. .
1° puissance économique européenne et 3° mondiale.
- ses activités économiques dépassent largement ses frontières (nombreux investissements à
l’étranger).
LES BASES DE LA PUISSANCE ALLEMANDE. pages 230/233
1) Des ressources importantes.
- dès le XIX° siècle, la Ruhr fut une grande région industrielle (fer, charbon surtout).
- Importance de la vallée du Rhin :population nombreuse, beaucoup d’industries, grand axe
de communication.
2) Une population dense qualifiée et à revenu élevé.
- 82M d’habitants, une densité élevée (230 hab/km2)
Population très urbanisée (carte 3 p 231). 86% des allemands vivent dans des villes.
- document 4 p 231 : la qualité de la main d’œuvre allemande. TP le résumer.
Des revenus élevés (grand niveau de vie)
3) Le capitalisme allemand.
- document photocopié les grandes entreprises allemandes (konzern*) et document 1 p 230
Grande réputation des produits made in Germany
Nombreuses usines à l’étranger (délocalisation*)
- un secteur secondaire (industrie encore très fort : 37%.
Des entreprises conquérantes (BMW, Volkswagen, Daimler-Benz) achètent d’autres groupes
étrangers (Jaguar, Rolls Royce) ou s’implantent en Europe, en Amérique ou en Asie.
L’ALLEMAGNE RHENANE ET SES BORDURES pages 234/235
1) La vallée du Rhin axe économique majeur.
- 2 grands axes industriels dans la vallée rhénane.
- Le Rhin-Ruhr, avec de grandes villes comme Cologne, Duisbourg, Dortmund.
Grande conurbation*.
Reconversion du vieux bassin industriel de la Ruhr. Document 2 page 234 à commenter

- De nombreuses entreprises travaillent à partir du pétrole (venant de Rotterdam) : BASF,
BAYER (chimie et pharmacie).
- Le Rhin-Main, avec une grande métropole, Francfort : grande place financière, grand
aéroport. Siège de grandes entreprises comme HOECHST ou AEG.
Liaison Rhin-Main-Danube depuis 1992.
2) Le dynamisme des métropoles du Sud.
- Les capitales de la Bavière (Munich) et du Bade-Wurtemberg (Stuttgart) sont de grands
centre industriels : siège de BMW à Munich, de Mercedes-Benz à Stuttgart.
- Le Sud est dynamique, industries de haute technologie, secteur tertiaire très développé.
3) Les nouveaux atouts du Nord.
- Grand développement de Hambourg qui a les Länder de l’Est comme arrière-pays.
Développement du littoral de la Baltique depuis 1990.
- Développement de l’axe est-ouest passant par Hanovre et Berlin.
LES MUTATIONS DE L’ALLEMAGNE ORIENTALE. pages 236/239
1) Une réunification économique difficile.
- L’Allemagne de l’Est (RDA) fut pendant 40 ans sous économie socialiste* (économie
planifiée*)
- étude du document 1 p236
La réunification a vu l’effondrement économique de l’ex RDA (production mal adaptée à la
concurrence). D’où montée du chômage.
2) Des mutations nécessaires.
- privatiser*
Treuhand* document 2 p 236
- reconstruction des länder de l’Est : routes, villes, environnement.
- Le principal souci est de combler l’écart de niveau de vie entre l’Est et l’Ouest, les
« Ossis et les Wessis » (lire document montrant le fossé entre les 2 : les Ossis se sentent
méprisés par les Wessis et les Wessis rendent responsables les Ossis de leurs problèmes
économiques.
3) La nouvelle capitale : Berlin.
- Berlin est redevenue la capitale officielle de l’Allemagne.
- Grand avenir de Berlin en pleine transformation : étude du plan 3 p 238
document 5 p239. Lire dossier p 238/239.