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DATATION RELATIVE
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DATATION RELATIVE
A. Superposition
B. Recoupement
C. Continuité
D. Discordance
E. Identité paléontologique
F. Actualisme
A. Superposition
B. Recoupement
E. Identité paléontologique
F. Actualisme
A. Superposition
Dans une série sédimentaire ou pour des
coulées volcaniques, lorsque plusieurs
couches sont superposées, la couche infé-
rieure est la plus ancienne.
B. Recoupement
Lorsque deux structures se recoupent, la
plus récente recoupe la plus ancienne.
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DATATION RELATIVE
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DATATION RELATIVE
A. Superposition
B. Recoupement
C. Continuité
D. Discordance
E. Identité paléontologique
F. Actualisme
A. Superposition
B. Recoupement
E. Identité paléontologique
F. Actualisme
C. Continuité
On considère que l’âge d’une strate est le
même sur toute sa longueur.
D. Discordance
Lorsqu’une strate horizontale recouvre des
strates plissées, on parle de discordance.
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DATATION RELATIVE
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DATATION RELATIVE
A. Superposition
B. Recoupement
C. Continuité
D. Discordance
E. Identité paléontologique
F. Actualisme
A. Superposition
B. Recoupement
E. Identité paléontologique
F. Actualisme
E. Identité paléontologique
Deux couches ayant le même contenu fossi-
lifère sont de même âge. Ceci n’est valable
que lorsque les fossiles présents sont de
bons fossiles stratigraphiques qui sont ca-
ractéristiques de chaque époque. Lorsque le
principe de continuité n’est pas applicable,
l’identité paléontologique nous permet de
faire le rapprochement entre deux strates
même très distantes, d’une région à une
autre du globe.
F. Actualisme
Lyell 1830 : « les lois régissant les phéno-
mènes géologiques actuels étaient égale-
ment valables dans le passé. »
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DATATION ABSOLUE
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DATATION ABSOLUE
A. Radioactivité
B. Isotopes
C. Loi de décroissance
D. Carbone 14
E. Potassium 40
F. Rubidium 87
A. Radioactivité
B. Isotopes
C. Loi de décroissance
D. Carbone 14
E. Potassium 40
F. Rubidium 87
A. Radioactivi
Tout élément radioactif se désintègre au
cours du temps de manière continue, irré-
versible et mesurable.
B. Isotopes
Deux isotopes d’un même élément diffèrent
par leur nombre de neutrons et donc par
leur masse. Mais leurs propriétés chimiques
demeurent identiques (ex : 14C : 6 électrons,
6 protons et 8 neutrons ; et 12C : 6 électrons,
6 protons, 6 neutrons).
Un élément radioactif (instable) se désin-
tègre en élément fils stable : élément radio-
génique.
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DATATION ABSOLUE
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DATATION ABSOLUE
A. Radioactivité
B. Isotopes
C. Loi de décroissance
D. Carbone 14
E. Potassium 40
F. Rubidium 87
A. Radioactivité
B. Isotopes
C. Loi de décroissance
D. Carbone 14
E. Potassium 40
F. Rubidium 87
C. Loi de décroissance
N0 = quantité d’élément radioactif au temps
0 c’est-à-dire à l’origine de la formation de
l’échantillon (fermeture du système).
Nt = quantité d’élément radioactif au temps
t.
λ = constante de désintégration caractéris-
tique de chaque couple d’isotope.
D. Carbone 14
On admet qu’au moment de la fermeture du
système, la proportion de 14C était la même
que pour un organisme actuel (par principe
d’actualisme).
t = 1/λ . ln (14Cactuel / 14Céchantillon)
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DATATION ABSOLUE
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DATATION ABSOLUE
A. Radioactivité
B. Isotopes
C. Loi de décroissance
D. Carbone 14
E. Potassium 40
F. Rubidium 87
A. Radioactivité
B. Isotopes
C. Loi de décroissance
D. Carbone 14
E. Potassium 40
F. Rubidium 87
E. Potassium 40
De nombreux cristaux possèdent du potas-
sium et incorporent cet élément à la fois
sous sa forme stable et sous sa forme ra-
dioactive. L’avantage de cette méthode est
que l’argon est un gaz et s’échappe avant la
cristallisation des minéraux, donc avant la
fermeture du système.
t = 1/λ . ln [(40Ar / 40K)échantillon + 1]
F. Rubidium 87
La quanti de 87Sr0 est inconnue car va-
riable selon les échantillons mais le rapport
entre 87Sr0 et 86Sr0 est toujours le même
dans chaque échantillon de la roche concer-
née. On doit passer par l’établissement
d’une droite isochrone.
Y = a . X + b
t = ln (a + 1) / λ
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MAGMATISME DE DORSALE
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MAGMATISME DE DORSALE
A. Asthénosphère
B. Lithosphère
C. Rift
D. Pillow-lava
E. Basalte
F. Gabbro
A. Asthénosphère
B. Lithosphère
C. Rift
D. Pillow-lava
E. Basalte
F. Gabbro
A. Asthénosphère
L'asthénosphère (du grec asthenos, sans ré-
sistance) est la partie ductile du manteau
supérieur terrestre. Elle repose sous la li-
thosphère rigide. La distinction entre ces
deux régions se faisant sur des critères de
comportement mécanique des roches, le
passage d'un domaine à l'autre est souvent
défini en utilisant une isotherme (de l'ordre
de 1300 °C). La partie supérieure de l'asthé-
nosphère est appelée zone à faible vitesse
(LVZ = Low Velocity zone).
B. Lithosphère
La lithosphère (« sphère de pierre ») est
l'enveloppe terrestre rigide de surface. Elle
est divisée en plaques tectoniques, égale-
ment appelées plaques lithosphériques. La
lithosphère est constituée de la croûte
(océanique ou continentale) et de la partie
superficielle, rigide, du manteau supérieur.
À l'intérieur de la lithosphère, la croûte ter-
restre est séparée du manteau supérieur
par la discontinuité de Mohorovicic (plus
communément appelée "MOHO").
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MAGMATISME DE DORSALE
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MAGMATISME DE DORSALE
A. Asthénosphère
B. Lithosphère
C. Rift
D. Pillow-lava
E. Basalte
F. Gabbro
A. Asthénosphère
B. Lithosphère
C. Rift
D. Pillow-lava
E. Basalte
F. Gabbro
C. Rift
Un rift est une région la croûte terrestre
s’amincit. En surface, un rift forme un fossé
d'effondrement. Parce qu'ils sont le lieu de
l'amincissement de la lithosphère, les rifts
représentent le stade initial de la rupture
lithosphérique. Lorsque celle-ci intervient,
le rift devient une dorsale océanique et
constitue la limite entre les deux plaques
lithosphériques nouvellement formées.
D. Pillow-lava
Un pillow-lava (ou lave en coussins) est une
lave qui a été émise par un volcan sous-
marin (notamment au voisinage des dor-
sales océaniques). Sortant à une tempéra-
ture de 1 000 à 1 200 °C, elle se couvre
d'une pellicule de verre progressivement
gonflée par la lave qui continue d'être
émise. On aboutit ainsi à des empilements
de boules en forme de coussins.
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MAGMATISME DE DORSALE
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MAGMATISME DE DORSALE
A. Asthénosphère
B. Lithosphère
C. Rift
D. Pillow-lava
E. Basalte
F. Gabbro
A. Asthénosphère
B. Lithosphère
C. Rift
D. Pillow-lava
E. Basalte
F. Gabbro
E. Basalte
Verre
Pyroxène calcique (augite)
Feldspath sodique (plagioclase)
Olivine
Roche magmatique effusive peu différen-
ciée à texture microlithique. Elle est très
présente dans la croûte océanique.
F. Gabbro
Pyroxène calcique (augite)
Feldspath sodique (plagioclase)
(Olivine)
Roche magmatique plutonique peu diffé-
renciée à texture grenue. Elle est très pré-
sente dans la croûte océanique.
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MAGMATISME DE SUBDUCTION
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MAGMATISME DE SUBDUCTION
A. Différenciation
B. Cristallisation fractionnée
C. Andésite et dacite
D. Diorite et granodiorite
E. Rhyolite
F. Granite
A. Différenciation
B. Cristallisation fractionnée
C. Andésite et dacite
D. Diorite et granodiorite
E. Rhyolite
F. Granite
A. Différenciation
Processus physico-chimique par lequel un
matériau voit sa composition chimique évo-
luer. Par exemple dans le cas de la silice, le
magma est plus ou moins différencié don-
nant des roches plus ou moins riches en
quartz.
B. Cristallisation fractionnée
La cristallisation fractionnée est la cristalli-
sation progressive d'un magma. Elle se pro-
duit sur les bords de la chambre magma-
tique. Les minéraux ferromagnésiens (oli-
vine et pyroxènes) cristallisent les premiers
appauvrissant le liquide résiduel environ-
nant en Fe et Mg. Le magma résiduel quant
à lui s'enrichit globalement en silice.
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