Tuyaux_de_Psycho_Soc..

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Tuyaux de Psycho Sociale :
La Facilitation sociale :
1. L’idée qui sous-tend la facilitation sociale est
a) que l’on réagit à la présence d’autrui par une meilleure performance
sur des tâches faciles
b) que l’on tend à persuader bcp plus facilement les gens qui nous
ressemblent
c) que les individus se conforment moins aisément quand leur position est
proche des autres.
2. Les travaux de Codol sur l’effet PIP attestent
a) l’importance de la générosité dans les rapports humains
b) le fait que les leaders ne sont pas les personnes les plus chaleureuses
c) le fait que les gens veulent à la fois ressembler aux autres mais rester
différents.
3. La facilitation sociale renvoi à l’observation que
a) Les gens sont davantage confiants dans leur réponse quand ils doivent
l’exprimer en public
b) Les gens réalisent mieux certaines tâches quand ils sont entourés par
d’autres personnes
c) Les gens se conforment plus vite quand il y a plus de membres dans le
groupe majoritaire.
4. Pour Harlow, les études sur l’isolement social chez les rhésus montrent que
a) Les animaux peuvent toujours récupérer après une privation de
contacts sociaux
b) Les rhésus sont avant tout sensibles au réconfort social et moins à la
fonction nourricière
c) Les rhésus ont des tendances suicidaires dès l’instant où on les force à
vivre en groupe.
5. Selon Zajonc, la simple présence d’autrui a pour effet
a) D’améliorer la performance
b) De détériorer la performance
c) D’améliorer ou de détériorer la performance selon le degré de
maîtrise
6. Grâce aux travaux stimulés par Schachter, on sait maintenant que l’anxiété
a) Est largement diminuée par le fait d’attendre le groupe
b) Fait en sorte que les gens réussissent mieux les tâches qu’on leur
assigne
c) Génère une forte tendance à se comparer avec autrui et donc à se
montrer grégaire.
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La formation d’impression :
1. Dans le domaine de la formation d’impression, les deux dimensions critiques
sont
a) la moralité et la sociabilité
b) la sociabilité et l’intelligence
c) l’intelligence et la compétence
2. Dans son modèle du continuum, Susan Fiske met en évidence
a) le rôle de la dépendance de l’observateur à l’égard de la cible
b) le rôle de la différence entre l’observateur et la cible
c) le rôle de l’influence de la cible et de l’observateur
3. Le choix de la catégorisation initiale est notamment influencée par
a. Le nombre de personnes présentes dans l’environnement
b. Le nombre de fois que l’on a déjà vu la personne cible dans de
pareilles circonstances
c. Les objectifs poursuivis par l’observateur au moment de la
catégorisation
4. La confirmation d’hypothèse est notamment causée par le fait
a. Que les gens sont réticents à changer d’avis une fois qu’ils se sont
exprimés
b. Que les gens posent des questions qui contraignent les réactions de la
cible
c. Que les gens apprécient les interlocuteurs qui leur ressemblent
5. Pour Asch, l’impression d’autrui est surtout affectée par
a. Les informations qui sont rencontrées en dernier lieu
b. Les informations qui sont rencontrées en premier lieu
c. Les informations qui concernent la compétence sociale
6. Nous fonctionnons avec une théorie implicite de personnalité comprenant
deux dimensions. Si l’on fonctionnait avec une théorie implicite ne
comprenant qu’une dimension
a. On ne trouverait plus de traits centraux
b. On ne trouverait plus d’effet de primauté
c. On trouverait encore des traits centraux et un effet de primauté
7. L’intérêt des expériences sur la désindividualisation est d’illustrer
a. Le pouvoir de la norme de réciprocité
b. Les conséquences de la dissonance
c. Le poids des rôles sociaux
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8. Selon le modèle de continuum de Fiske et Neuberg,
a. Le traitement de l’info est toujours dirigé par les spécificités de la cible
b. Etre pressé par le temps augmente le recours aux stéréotypes
c. La motivation ne joue aucun rôle dans la formation d’impression
9. Asch rend compte de ses résultats sur la formation d’impression en disant que
a. Les dernières informations permettent de réinterpréter les premières
b. Le contexte détermine la centralité des traits
c. L’impression se forme par l’addition des différentes informations
10. La vision qu’offre Devine du fonctionnement des préjugés est
a. Qu’il n’y a guère de différences entre les stéréotypes culturels et les
opinions personnelles des gens
b. Que les gens sans préjugés peuvent échapper aux stéréotypes s’ils se
rendent compte de leur possible influence
c. Que nous sommes tous condamnés à juger autrui de manière
stéréotypée
Attribution causale :
1. La théorie de la perception de soi soutient que les individus
a. Sont mieux placés pour parler de leur propre attitude
b. Etablissent leur attitude sur base de leur comportement et des
circonstances qui l’entourent
c. Tiennent surtout à paraître cohérents aux yeux des autres
2. Selon le modèle attributionnel de la covariation de Kelley,
a. Les observateurs attribuent des traits de personnalité dès qu’ils
perçoivent un comportement
b. Les observateurs exploitent, entre autres, les informations relatives à la
consistance pour effectuer leurs attributions
c. Les observateurs s’attachent à déceler les intentions qui sous-tendent le
comportement de quelqu’un.
3. Une explication courante de l’erreur fondamentale est que
a. Les auteurs du comportement se croient plus responsables qu’ils ne
le sont en réalité
b. Les observateurs et les auteurs du comportement prêtent différemment
attention à la situation
c. Les auteurs du comportement sont plus intelligents que ceux qui les
observent.
4. D’après le modèle de Kelley, une attribution à la personne est le résultat de la
conjonction
a. D’un consensus faible, d’une distinguabilité faible, et d’une
consistance forte
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b. D’un consensus fort, d’une distinguabilité faible, et d’une consistance
forte
c. D’un consensus fort, d’une distinguabilité forte, et d’un consistance
faible
Attitudes :
1. Dans la théorie de l’action du comportement planifié, Ajzen
a. Considère que la perception de contrôle joue un rôle mineur pour
orienter l’intention
b. Voit l’intention comportementale comme l’antécédent direct du
comportement
c. Ne prend pas en compte le comportement sur lesquels les gens ont un
contrôle important
2. Les attitudes
a. Sont organisées horizontalement et verticalement
b. Comportent une composante affective, informative et cognitive
c. Ne sont acquises que par l’expérience directe
3. La théorie de l’inoculation suggère qu’il vaut mieux
a. Répéter les tentatives de changements d’attitude pour que cela
réussisse
b. Armer l’audience à l’avance face à des tentatives d’influence
c. Utiliser les arguments des incrédules pour mieux convaincre les autres
4. Selon le modèle de probabilité de l’élaboration
a. L’intérêt accru de l’auditoire à l’égard du message augmente la
persuasion
b. Les gens incapables de traiter l’information seront moins sensibles aux
caractéristiques de la source qu’aux arguments
c. La distraction qu’on impose à l’audience est une bonne alliée lorsque
le message est de piètre qualité
5. Dans le domaine des attitudes, la technique de l’amorçage consiste à
a. Demander la réalisation d’un acte initial peu coûteux pour accroître les
chances d’extorquer ensuite un acte plus coûteux
b. Provoquer la réalisation d’un acte contre-attitudinal de sorte que
l’individu puisse ensuite intérioriser la décision qui vient d’être prise
et changer son attitude
c. Ne dévoiler les coûts réels d’un acte qu’après avoir obtenu un accord
initial quant à sa réalisation.
6. La théorie des deux facteurs de Mc Guire postule que
a. La crédibilité et l’attrait sont deux composantes très importantes de la
source persuasive
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b. L’estime de soi produit un effet inverse sur la réception et l’acceptation
des messages
c. L’effet de primauté et l’effet de récence sont les deux atouts majeurs
d’un orateur
7. L’attitude prédit le comportement si
a. Il y a compatibilité entre l’attitude et comportement
b. On n’utilise pas la technique de l’agrégation
c. On fait jouer un jeu de rôle
8. Selon Petty et Cacioppo,
a. La distraction peut constituer un bon moyen de persuader les gens
b. Ce sont les facteurs de réception qui conditionnent le changement
d’attitude
c. Les gens motivés et capables de traiter le message se rangent à l’avis de
la source
Les Normes sociales :
1. L’anonymat
a. Augmente très nettement les tendances humaines négatives et
agressives
b. Augmente globalement la conscience de soi
c. Fait qu’on réagit aux prescriptions normatives émanant d’autrui
2. Les résultats obtenus dans le cadre des travaux de Sherif montrent notamment
que
a. Les gens ont beaucoup de mal à se mettre d’accord quand ils sont
confrontés à une réalité ambiguë
b. Les normes proposées face à une réalité ambiguë sont intériorisées
c. La réponse normative correspond tout simplement à la moyenne des
réponses des individus isolés
3. Pour Bandura, les individus qui subissent un apprentissage vicariant
a. Sont sensibles à la similitude entre eux et le modèle
b. Acquièrent en fait moins qu’ils ne réalisent
c. Ne font guère attention aux récompenses du modèle
4. La peur du rejet social
a. Contribue à augmenter le taux de conformité
b. Renvoi à la dépendance informationnelle des gens
c. S’oppose rarement au désir d’être correct
5. L’imitation peut jouer un rôle important dans l’apparition de comportements
pour autant que
a. Le modèle est suffisamment différent de l’élève
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b. Le modèle est récompensé
c. Le modèle pose des comportements insolites
6. L’émergence de nouvelle normes se fait surtout dans les cas où
a. Un leader indique clairement les schémas comportementaux à suivre
b. Le groupe est d’accord pour s’opposer à une minorité
c. La situation est ambiguë et nécessite la coordination de tous
7. Pour Reicher, la dépersonnalisation peut se définir
a. Comme l’abandon des normes individuelles au profit des normes
sociales
b. Comme l’exacerbation des tendances agressives dans le comportement
c. Comme l’utilisation de critères personnels dans les situations
d’influence
8. Dans sa fameuse expérience de la prison, Zimbardo montre à quel point
a. La personnalité des gens a un rôle négligeable dans l’émergence de
comportements violents
b. La personnalité des gens joue un rôle important dans les manifestations
d’agressivité
c. Les prisonniers se réintègrent mieux après un régime d’isolement total
9. Pour les psychologues sociaux, il est clair que l’influence minoritaire
a. Est l’apanage des personnes qui occupent les positions de pouvoir
b. Est conditionnée par une volonté ferme de la majorité de s’en tenir à ses
opinions
c. Est un facteur qui favorise bien souvent la qualité de la prise de
décision
10. Les scientifiques songeront volontiers au phénomène de pensée de groupe
lorsque
a. Des individus réalisent des performances intellectuelles meilleures en
groupe que seuls
b. Des individus censurent l’information qu’ils confient aux membres
de leur groupe
c. Les membres d’un groupe prennent soin d’écouter les opinions de tous
les membres
11. La soumission manifestée par certains dans les situations d’influence
a. Est plus fréquente face à une majorité que face à une minorité
b. Est une manifestation de l’erreur fondamentale d’attribution
c. S’interprète généralement en invoquant la norme de réciprocité
12. La norme de réciprocité
a. Peut expliquer l’effet de l’anonymat
b. N’est pas plus efficace si la demande émane de quelqu’un de
sympathique ou d’antipathique
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c. Est soumise à de fortes variations culturelles
13. L’anonymat
a. Augmente uniquement les tendances humaines négatives et agressives
b. Augmente la conscience de soi
c. Fait davantage réagir aux messages venant de la situation
14. L’émergence de nouvelles normes se fait surtout dans le cas où
a. Les personnes évitent soigneusement d’entrer en conflit les unes avec
les autres
b. Le groupe est d’accord pour s’opposer à une minorité
c. La situation est ambiguë et nécessite la coordination de tous
15. Les scientifiques songeront volontiers au phénomène de pensée de groupe
lorsque
a. Des individus réalisent des performances intellectuelles meilleures en
groupe que seuls
b. Des individus censurent l’information qu’ils pourraient confier aux
membres de leur groupe
c. Les membres d’un groupe prennent soin d’écouter les opinions
d’autrui
16. La norme de réciprocité
a. Peut expliquer l’effet « porte au nez »
b. Peut expliquer l’effet « pied dans la porte »
c. N’est pas universelle selon Gouldner
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