Commentaires.
L’instruction L :=[] crée une variable liste vide L.
On n’affiche pas les tirages de chacune des 1000 expériences. On ne s’intéresse qu’à la valeur de c.
Au lieu de les afficher directement, on stocke les 1000 valeurs de c dans une liste L.
On remplace les instructions d’affichage par l’instruction « append » qui ajoute le résultat à la fin de la liste L.
L’instruction « evalf » permet d’obtenir l’écriture décimale d’un réel.
a. Ecrire (en modifiant l’algorithme 1 déjà existant) et exécuter cet algorithme sur xcas.
b. Evaluer le nombre de parties que Vincent peut espérer attendre, en moyenne, pour que son numéro apparaisse.
II. Modélisation.
L’expérience peut être représentée à l’aide d’un arbre ressemblant à l’arbre ci-dessous où on s’est limité à la
représentation de 3 parties.
1/9 S
S
1/9 1/9 S
8/9
8/9
8/9
…
On note X la variable aléatoire égale au rang de la première apparition du numéro 7, ou égale à 0 si le 7 n’est pas
apparu pendant les 20 parties.
1. Déterminer la loi de probabilité de X en déterminant
pour tout entier k compris entre 0 et 20.
2. Montrer que
1
20
1
81
EX 99
k
kk
.
Calculer cette espérance à l’aide d’un logiciel de calcul formel (xcas par exemple), et interpréter le résultat.
3. Calculer de même l’espérance de X lorsque le nombre maximum de parties n’est plus 20 mais 100 ou 200.
4. Vers quelle valeur tend l’espérance lorsque le nombre maximum de parties devient infiniment grand (c’est-à-
dire illimité) ?